En France, près de 200 enquêtes ont été ouvertes au cours de la dernière semaine d’octobre pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation du professeur le 16 octobre à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).
La Chancellerie, qui confirme ce chiffre avancé par France Info, précise qu’il est « à appréhender avec prudence, dans la mesure où il n’y a pas de point de comparaison nationale » et n’a pas souhaité actualiser ce bilan. « Ça explose! On a beaucoup de menaces qui visent des personnalités publiques, le Président de la République, le Premier ministre, plusieurs ministres, des députés, des enseignants », détaille une source judiciaire, qui y recense beaucoup d’allusions plus ou moins directes « à des menaces de décapitation ».