Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France :
Si j'étais aujourd'hui à la tête de l'État, je n'hésiterais pas à faire appel à une milice privée, de type Wagner, pour rétablir l'ordre en France avec une impitoyable férocité.
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Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France :
Si j'étais aujourd'hui à la tête de l'État, je n'hésiterais pas à faire appel à une milice privée, de type Wagner, pour rétablir l'ordre en France avec une impitoyable férocité.
par Andrei Martyanov
Maintenant, le pays 404 veut naturellement… des navires. Oui, ils exigent des navires des pays de l’OTAN. Ils veulent des navires modernes, rien de moins.
«L’Ukraine s’attend à recevoir des partenaires occidentaux des navires de guerre dotés d’une capacité et d’un potentiel conçus pour servir pendant 10 à 15 ans à un niveau technique élevé, a déclaré le vice-amiral Oleksiy Neizhpapa, commandant des forces navales du pays. «En tant que commandant, j’attends évidemment beaucoup (des partenaires occidentaux – ndlr) et j’aimerais avoir des navires plus modernes ? Bien sûr, la construction de nouveaux navires est un processus assez long. Dans le même temps, il est prévu de recevoir certains navires qui ont la puissance et le potentiel nécessaires pour servir dans les forces navales pendant encore 10 à 15 ans à un niveau technique élevé», a déclaré Neizhpapa dans une interview accordée au média en ligne du ministère ukrainien de la Défense, ArmiyaInform».
par Larry Johnson
De nombreux dirigeants occidentaux mettent aujourd’hui en avant le thème de propagande d’une impasse inévitable dans la guerre d’Ukraine. En d’autres termes, l’Ukraine se battra contre la Russie jusqu’à l’immobilisme. C’est l’espoir illusoire. Ne me croyez pas sur parole. Il suffit de parcourir ces titres récents :
«Les États-Unis doivent prévoir une impasse en Ukraine» (New York Magazine)
«L’Ukraine tente de mettre fin à l’impasse sur le champ de bataille» (AP News)
«L’Ukraine doit saisir l’opportunité de Wagner» (The Washington Post)
«Trêve ou impasse sanglante ? Tout dépend du printemps ukrainien» (The Guardian)
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Depuis le 27 juin dernier, date à laquelle un policier français a assassiné impitoyablement et avec sang froid un adolescent âgé de 17 ans à Nanterre, l’une des plus importantes banlieues populaires de Paris, la France subit des troubles, violences urbaines et des émeutes qui ont embrasé plusieurs dizaines de banlieues à travers l’ensemble des grandes agglomérations françaises. Et cet embrasement a, semble-t-il, largement profité au pouvoir algérien qui n’a pas hésité dès les premières minutes de ces évènements dramatiques à lancer une stratégie d’instrumentalisation et de récupération politique pour déstabiliser l’establishment français avec lequel est il est en froid depuis de longues semaines, notamment en raison du report, voire de l’annulation, de la visite d’Etat prévue d’Abdelmadjid Tebboune, le président algérien, en mai et, plus tard, en juin dernier.
Selon diverses sources approchées par Maghreb-intelligence, Alger a déployé une stratégie des plus « diaboliques » pour tirer profit de ces violences urbaines et de la colère populaire qui a émergé dans les banlieues françaises au lendemain de la mort tragique du petit Nahel de Nanterre. Pour Alger, cette crise qui a secoué la France est une opportunité inespérée de se repositionner sur le champ politique français et d’intensifier son influence sur la diaspora algérienne qui forme la première communauté étrangère établie sur le sol français.