
Le scandale des gangs de violeurs pakistanais musulmans qui secoue le Royaume-Uni n’a pas fini de livrer ses sombres secrets. L’on apprend aujourd’hui la vérité choquante sur le blanchiment des gangs asiatiques par le Parti travailliste, et comment Keir Starmer et son parti ont trahi les filles blanches de la classe ouvrière.
Les membres du Parti Travailliste (équivalent du parti socialiste) sont-ils presque tous devenus fous au Royaume-Uni ? Alors que des gens sont envoyés en prison pour des publications sur les réseaux sociaux jugées incorrectes car visant les « minorités » religieuses, les victimes des gangs de violeurs pakistanais sont invisibilisées au nom de l’antiracisme et se voient refuser la justice qu’elles méritent dans le cadre d’une véritable enquête nationale.
Les victimes des gangs de violeurs pakistanais se voient refuser la justice qu’elles méritent dans le cadre d’une véritable enquête nationale
Les ministres actuels, y compris le premier ministre Keir Stramer, -un des pires de l’histoire de la Grande-Bretagne et grand allié de Macron pour envoyer les petits blancs se faire tuer en Ukraine-, ont été et sont complices de l’occultation de ces faits de viols, d’abus, de violence, de prostitution, de torture, de meurtres, et de l’obstruction à toute enquête.
« Hier, lit-on dans l’édition du Daily Mail du 9 avril dernier, nous avons vu l’horrible vérité. (…) Il y a une dissimulation. Les ministres sont complices. Et, par conséquent, les victimes de certains des pires abus de l’histoire britannique sont effectivement privées de la justice qu’elles méritent.
« C’est Jess Phillips, dont la principale responsabilité est censée protéger et prévenir la violence à l’égard des femmes et des filles, qui annonce la trahison.
« En janvier dernier, dans le but d’enrayer la colère croissante de la population face à l’incapacité à maîtriser le scandale, le gouvernement a annoncé une série de cinq enquêtes locales.
« Hier, Phillips a révélé que celles-ci étaient maintenant édulcorées en faveur d’une « approche flexible » qui impliquerait « un travail plus sur mesure, y compris des panels locaux de victimes ».
« Ce nouveau plan a été adopté « à la suite des commentaires des autorités locales », a-t-elle déclaré. »
Il est difficile de quantifier pleinement la duplicité et le cynisme du Parti Travailliste de Keir Stramer, l’actuel Premier ministre britannique
On sent à la lecture de l’article, la colère et l’indignation chez Dan Hodges, le journaliste qui couvre ces affaires abominables depuis des années et enquête sur leurs auteurs, les Pakistanais musulmans, et leurs victimes, les petites filles de la ‘working class’ britannique :
« La politique est une affaire sordide. Mais il est difficile de quantifier pleinement la duplicité et le cynisme qui accompagnent cette déclaration. À mon avis, l’annonce a été délibérément programmée pour la dernière séance avant les vacances de Pâques, lorsque le Parlement fait une pause. »
Pire encore, l’opposition, c’est-à-dire le parti conservateur, « n’a eu qu’un préavis de 45 minutes ». Ainsi, ironise Dan Hodges « pour utiliser le langage de Westminster, le gouvernement a décidé que mardi était un bon jour pour enterrer les mauvaises nouvelles, et les victimes des gangs de violeurs » dont il veut minimiser également les abus subis et « en particulier, le racisme manifeste qui a vu des hommes principalement d’origine pakistanaise cibler délibérément des victimes blanches ».
Peut-être en raison du peu de temps imparti pour préparer sa réponse, le député conservateur, Katie Lam, n’en a été que plus percutante au cours de son intervention. Elle a notamment rappelé comment l’un des auteurs des abus s’était vanté :
« Nous sommes ici pour baiser toutes les filles blanches ».
Mais ne demandons pas à ces Travaillistes qui ménagent leur électorat pakistanais musulman d’avoir de la compassion pour ces Anglaises blanches et pauvres. Jess Philipps a osé répondre :
« Je pense qu’il est dommage qu’elle n’ait fait référence qu’à un seul type de victime d’abus d’enfants, alors que la déclaration concerne clairement toutes les victimes d’abus d’enfants. Il ne devrait pas y avoir de hiérarchie. »
Les ministres travaillistes ménagent leur électorat pakistanais musulman sans aucune compassion pour les petites Anglaises blanches et pauvres
« Mais le plus stupéfiant, et le plus flagrant, souligne Dan Hodges, a été la justification du gouvernement lui-même pour mettre de côté même les enquêtes limitées auxquelles il s’était engagé. Toutes les enquêtes menées sur les abus ont révélé que les autorités locales des zones où ils ont été perpétrés étaient coupables – par péché de commission ou d’omission – de ne pas les avoir empêchés. Et pourtant, selon les propres mots de Phillips, le changement de stratégie est le résultat direct du lobbying de ces mêmes autorités locales » souvent travaillistes et/ou pakistanaises d’origine.
Tout ceci est une affaire de basse politique, on voit les mêmes procédés en France avec le parti de Melenchon, chez qui les Travaillistes de Stramer n’ont pas besoin de prendre de leçon de marxisme et d’immigrationnisme ni de clientélisme auprès des classes progressistes et de la « minorité » musulmane de plus en plus puissante, de moins en moins « minorité ».
« C’est évident, affirme Dan Hodges. Le numéro 10 (la résidence du Premier ministre britannique, ndlr) a décidé qu’il était tout simplement trop toxique politiquement de permettre à toute la vérité sur le scandale du ‘toilettage’ (les grooming gangs, ndlr) en Grande-Bretagne de voir la lumière du jour (…) pour ne pas éroder davantage leur base électorale au sien de la communauté musulmane. Il y a, en réalité, une hiérarchie des priorités. Une hiérarchie dans laquelle, pour des raisons d’opportunisme politique, les filles blanches et les femmes blanches sont placées au bas de l’échelle. Le Parti travailliste ne fait même plus semblant de masquer sa stratégie. »
Voilà la gauche dans toute sa splendeur hypocrite, voilà où mène son idéologie d’« un meilleur des mondes progressistes ». Et, aucune illusion : elle agit ainsi dans tous les pays du monde, c’est son ADN, sa marque… satanique !
Francesca de Villasmundo