Mercredi 7 Mai 2025. Elisabeth Borne, ministre de l’Education nationale annonce son plan « Filles et garçons » : ouvrir les classes de 4e et 3e à horaires aménagés, avec un quota de 50 % de filles, et ainsi dégenrer les cours de maths. Le but : 20 % de femmes dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026, 30 % en 2030. Les moyens : sensibiliser les professeurs aux biais de genre. L’idéologie du genre aux dépens de la simple nature. La quantité au détriment de la qualité. L’égalitarisme contre la perte de la différence. Nouvel exemple de discrimination positive. Madame Borne s’inscrit bien dans la continuité de ses prédécesseurs qui ont détruit l’école.
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Les États-Unis abandonnent les «pourparlers de paix» avec l’Ukraine, la continuité prévisible de leur agenda suit
par Brian Berletic
Bien qu’il se soit présenté aux élections en promettant de résoudre le conflit en Ukraine dans les «24 heures», le président américain Donald Trump et les intérêts particuliers qu’il sert avaient l’intention, avant même son entrée en fonction, de poursuivre la guerre en Ukraine, tout en se tournant vers l’Est pour mener un conflit similaire avec la Chine dans la région Asie-Pacifique.
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Violences et dégradations après le match PSG-Arsenal : casser la joie
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Carcassonne (11) : un jeune homme tué lors d’une rixe, massacré près d’un point de deal du quartier sensible de La Conte
Un important dispositif de police a été déployé ce jeudi 8 mai 2025 en fin de matinée dans le quartier sensible de La Conte, à Carcassonne, après la découverte du corps d’un jeune homme rue Diderot. (…)
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Créer des problèmes et faire semblant de les résoudre…
La loi Garot, la fin de la libre installation des médecins, ou l’exemple de la contrainte illégitime. Face à une médecine en déshérence, qui ne parvient plus à soigner correctement, ni a être présente sur l’ensemble du territoire, le législateur s’est une fois de plus mû en pourfendeur d’injustice, en redresseur de torts. L’intention est louable, mais la méthode est insuffisante et décalée. Comment en est-on arrivé là ? Peu importe, vont vous dire les tenants de l’interventionnisme et pourtant il est tout de même salutaire de se souvenir que c’est dans les années 90 que Juppé a contribué à assécher lentement mais durablement le réservoir de médecins. Brillante idée d’énarque qui savait que les effets pervers ne se feraient sentir que bien plus tard et qu’on oublierait qui est à l’origine de ce désastre. Trente ans après nous y sommes. Mais le massacre de notre médecine n’a pas été isolé, non, il s’est accompagné d’une savante orchestration de la désertification des campagnes. Sous couvert d’une nécessaire efficience des services publics, ils se devaient de répondre aux besoins modernes des populations, qui vieillissantes, se demandaient bien comment elles allaient trouver dans le vide naissant, les services capables de leur assurer un minimum vital d’administrations de proximité, et plus largement d’activités, dans ces villages oubliés, puis ces villes moyennes.