
Le prévenu, jugé vendredi par le tribunal de Lyon, a été identifié via une analyse génétique de sperme. Son ADN était présent dans les fichiers de police, après de précédentes infractions. L’homme de 23 ans, un Algérien aux cheveux longs, en situation irrégulière et sous le coup d’une OQTF, a clamé son innocence.