
Nous sommes à la veille du 13 Novembre… dix ans déjà et, depuis, combien de renoncements, d’accommodements et d’accouplements contre-nature de traîtres intérieurs avec l’islam le plus revendicatif ?
Pas un jour sans que cette religion ne nous fasse durement ressentir le mal qu’elle nous inflige – et quelle inflige aussi à ses fidèles les moins observants qui voudraient vivre à l’occidentale, dont certains décident d’ailleurs de la fuir parce que précisément trop tyrannique et violente –, s’immisçant dans les moindres interstices de notre civilisation.
Ainsi, on apprend que l’ex-copine fanatisée de l’abject Salah Abdeslam – lequel veut se racheter une vertu halal parce qu’il n’a pas eu le « courage » de mourir ce fameux 13 Novembre – projetait un attentat : « À trois jours des commémorations des attentats du 13 novembre 2015, l’ex-compagne de Salah Abdeslam, Maëva B., a été doublement mise en examen, ce lundi, dans des enquêtes puis incarcérée, pour une clé USB remise à son ex-compagnon et surtout pour un projet d’attentat jihadiste déjoué. »
On notera au passage non pas les failles mais le trou béant dans la sécurité autour du pire individu emprisonné en France et dont la peine de mort aurait judicieusement aboli le souffle.
Nous sommes donc tous, et en permanence, des proies potentielles de l’islam, l’attentat à la voiture sur l’île d’Oléron nous le démontre, même si le déséquilibre mental du « chauffard » – comme l’appellent pudiquement ou hypocritement la plupart des journalistes – semble avéré. Mais ne faut-il pas être un peu déséquilibré pour, par exemple, massacrer des gosses dans une école ou rouler sur des spectateurs en train de regarder un feu d’artifice en famille ? Déséquilibre qui n’excuse rien, sauf pour la justice rouge.
Il était question plus haut des traîtres, ceux qui, reniant leurs origines culturelles, sont capables des pires sorties. Eh bien, dans une émission de l’insupportable audiovisuel public – « C dans l’air » –, un spécimen de traître décomplexé, l’écologiste Cyril Dion, a osé prononcer cette phrase : « Le terrorisme islamiste, entre 2012 et 2023, ça fait 273 morts en France. La pollution de l’air ça a fait entre 500 000 et 1 million de morts en dix ans, sur la même période. Qu’est-ce qui nous rend le plus en insécurité ? » Comparaison absurde, autant qu’immonde…
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On pourrait parler de maladresse mais étant donné le gauchisme débridé de ce Cyril Dion, activiste écologiste revendiqué – c’est-à-dire potentiellement capable de comprendre les actions violentes pour défendre une idéologie, si odieuse fût-elle –, il ne faut voir là qu’une intention délibérée de nier les victimes des attentats islamiques du 13 Novembre et non pas « islamistes », car ils obéissent à la lettre au Coran. Assez des euphémismes pour cacher la réalité !
Partout où elle sévit, cette gauche wokiste non seulement ne reconnaît pas la violence islamique mais encore elle promeut l’islam, LFI en tête qui est devenu le parti de cette religion, avec des paravents comme la défense de la Palestine ou l’antiracisme pour cacher ses intentions, à savoir imposer l’islam. La réalité c’est que nombre d’adhérents à LFI sont des partisans de la charia.
Pour preuve des accointances de LFI avec l’islam le plus littéral donc le plus conquérant –, ses membres avaient déposé, en avril dernier, une « proposition de résolution, tendant à la création d’une commission d’enquête portant sur l’islamophobie ». Autrement dit, LFI proposait insidieusement d’imposer à la France un délit de blasphème, mais au profit d’une seule et unique religion : l’islam.
Le pouvoir de nuisance de LFI ne s’arrête pas aux porte du parti. Au contraire, il essaime dans tous les autres partis de gauche, dont les Écologistes, ce que vient de nous démontrer odieusement Cyril Dion en minimisant le caractère atroce des attentats du 13 Novembre.
Et il n’est pas étonnant que ces propos aient été tenus sur le service odieux visuel public, qui vient de produire un documentaire où, sur trois périodes distinctes, des survivants et témoins des ravages du Bataclan, des terrasses de cafés et restaurants, et du Stade de France, ainsi que des membres de familles de victimes y exposent leur état au fil du temps : « 13 Novembre, nos vies en éclats ». Documentaire touchant, voire tragique – l’un des intervenants, survivant du Bataclan, s’est d’ailleurs depuis suicidé – mais qui, en escamotant l’islam, fait le jeu de ce même islam, normalisé tandis qu’il est en réalité anormal dans nos sociétés, résolument incompatible et propagateur de malheurs.
Alors non, les propos tenus par Cyril Dion ne sont pas anodins, ils sont au contraire le signe que non seulement il existe une cinquième colonne dans notre pays, mais encore qu’elle est servie par des individus qui ont définitivement tourné le dos à leurs origines et se vendent à l’ennemi.
Certain hurleront à la provocation à la haine raciale en lisant ces lignes, mais il faudrait dans ce cas prouver que l’islam est une « race ». Il faudrait aussi extraire de la loi l’article qui stipule la sacralité inviolable de cette religion, qu’il serait de ce fait interdit de critiquer pour les rivières de sang et de larmes qu’elle fait couler dans nos villes et, maintenant, nos campagnes. Hélas, les juges tout-puissants conditionnent nos libertés de telle sorte que nous en sommes totalement privés, le jeune Jean-Eudes Gannat vient d’en faire les frais pour avoir osé filmer des migrants afghans, dont certains sont des criminels en puissance, mais ça il est interdit de le dire, car les Afghans sont…musulmans.
En attendant, nous saluons ici même le courage de Patrick Jardin, à contre-courant de la soumission des uns et des autres après le 13 Novembre. Cet édito lui est dédié ainsi qu’à sa fille Nathalie, massacrée avec tant d’autres au Bataclan par des terroristes islamiques.