
La haine allogène, on a longtemps voulu nous faire croire qu’elle n’existait pas malgré la réalité. On appelait ça un « sentiment d’insécurité » qui est, selon la définition vieillie, une sensation, c’est-à-dire une impression. Puis on a parlé de « phénomènes marginaux ». Mais on a toujours refusé de nommer le Mal parce que ce Mal provenait de la diversité.
Souvenons-nous ainsi de la gêne des médias français à évoquer les motivations religieuses des Merah, frères Kouachi, Coulibaly, de la bande meurtrière du 13 Novembre 2015 ou de l’assassin de masse du 14 Juillet à Nice, de ceux du couple de policiers à Magnanville, du père Jacques Hamel célébrant la messe, du colonel Beltrame, etc. Il ne fallait pas faire d’amalgame, ne pas relier ces crimes à l’islam, dont ils n’étaient pourtant qu’une application coranique stricte.
Puis il y a eu le wokisme, ce vivier de haine anti-Blancs, donc anti-occidental, donc anti-France. Haine dont s’est nourri un politicien raté, bilieux, écumant de rage de n’avoir pu accéder à ce jour à la fonction présidentielle, en espérant qu’il n’y parvienne jamais : Jean-Luc Mélenchon. En effet, ce sombre individu, clone de Robespierre, Marat, Carrier et Fouquier-Tinville réunis. Ainsi, avec sa création politique monstrueuse, LFI, il a produit des créatures venimeuses. Hélas, la justice, l’enseignement, la culture et la plupart des médias leur étant acquis, ces créatures peuvent à loisir diffuser leurs messages fielleux qui ne visent qu’un seul but : retourner la France historique – comme le soc de la charrue retournait jadis la terre – pour y faire pousser des multitudes d’ennemis de notre nation, prêts à faire pire que les Enragés de 1793. Ce que le député LFI Carlos Bilongo traduisait ainsi il y a quelques jours : « On va leur montrer qu’on est plus nombreux. »
Depuis, on assiste à une détestation publique de la France – et inspirante pour nos ennemis les plus homicides – qui s’exprime par les voix dissonantes et cependant très bruyantes des Rima Hassan, Carlos Bilongo (bis repetita), Sophia Chikirou, Sébastien Delogu, Danièle Obono, etc.
Et puisque des élus se le permettent, les réseaux sociaux sont à leur tour infestés par des influenceurs de la haine anti-France. Mais cela ne s’arrête pas à l’espace virtuel et se répand telle une peste noire dans nos rues, sans parler du narcotrafic, presque exclusivement aux mains d’une diversité qui n’hésite pas à tirer en plein jour à la Kalachnikov, au mépris des victimes collatérales. Car ces gens-là méprisent à ce point notre pays qu’ils le considèrent comme la Maison de Guerre, ainsi que prescrit dans le Coran au sujet des terres non encore conquises par l’islam.
Précisons toutefois que ce rejet communautariste et ultraviolent de la France n’est pas réservé à l’islam, il touche aussi les Noirs non musulmans atteints – pour un nombre appréciable d’entre eux et à force de matraquage idéologique – de bouffées délirantes au point de s’imaginer en Louisiane dans les années 1830 ! Et de nous farcir la tête avec l’esclavage, ce qu’un internaute avait résumé jadis sur Facebook en ces termes : « J’ai jamais eu d’esclaves, t’as jamais vu de champs de coton, fin du sketch ! ».
Dernière sortie en date, une influenceuse algérienne et française de papiers, une certaine Sofia Benlemmane, connue depuis longtemps pour son dégoût d’une France dont elle suce le sang comme un vampire, a encore déchaînée sa hargne répugnante contre notre pays. Déjà condamnée pour avoir menacé de mort des opposants au régime dictatorial algérien, cette furie a donc entonné à Lyon, avec d’autres, un chant anti-France à l’occasion de la victoire de l’Algérie lors d’un match de la Coupe d’Afrique des Nations, pendant une manifestation de violence festive comme sait en organiser cette engeance. D’autres manifestations de cette sorte ont eu lieu dans toute la France, sans que les pouvoirs publics n’interviennent aussi vaillamment qu’ils surent le faire avec les Gilets jaunes !
https://x.com/ChawkiBenzehra/status/2005540359829438790
« Vous nous avez colonisés… maintenant vous êtes dans la merde ! » hurlait cette meute excitée par son égérie repoussante dans la capitale des Gaules, sans que, répétons-nous, nul ne soit mis en joue, contrairement aux éleveurs visés par de braves et zélés fonctionnaires de police ayant dégainé leur arme de service. Mais l’on sait que ces gens-là ont des droits que nous autres n’avons pas. « Ce pays est le nôtre et on fait ce qu’on veut ! » mugissait encore cette masse grouillante. Autrement dit, ils nous signifiaient que nous ne sommes plus chez nous.
Face à cet état de fait, à savoir qu’ils veulent nous faire la guerre par tous les moyens, qu’ils torturent, tuent et/ou violent déjà nos enfants parce que blancs, la lutte des mots ne suffira pas et il est à craindre – certains diraient « à souhaiter » – qu’il nous faille très prochainement nous battre physiquement pour survivre ou alors nous périrons. Car ces hordes veulent notre mort et pas juste symbolique : dit plus clairement, ils veulent nous exterminer.
Aussi, à notre tour de leur faire savoir par tous les moyens que nous sommes chez nous ou, selon le mot de Mac-Mahon au fort de Sébastopol : « J’y suis, j’y reste ! ».
https://ripostelaique.com/ils-veulent-nous-exterminer-alors-preparons-nous-au-combat.html