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  • Angers : les “Accroche-cœurs” censurés par l’islam avec l’accord du maire

     L’affaire est symptomatique de l’islamisation du pays, où une religion encore minoritaire pèse de plus en plus sur la société, imposant son diktat moral, ses tabous et ses interdits. Elle est révélatrice également du silence gêné, voire de la soumission de la part des médias locaux comme des autorités politiques et administratives…

    À Angers se déroule chaque année en septembre le festival des« Accroche-cœurs » consacré au théâtre et aux arts de la rue. Durant trois jours, la ville vit au rythme des représentations publiques sur les places et dans les rues avec une soixantaine de compagnies offrant plus de 100 spectacles drainant plus de 250 000 spectateurs.

    L’édition 2014 du festival a débuté ce vendredi 12 septembre en soirée par une représentation théâtrale dite des « squames » qui visait à dénoncer les intégrismes religieux. Joué sur une des places centrales d’Angers devant un millier de spectateurs, la pièce fut interrompue par un groupe d’islamistes brandissant le Coran, traitant le spectacle « d’impur » et menaçant de s’en prendre physiquement aux acteurs.  Les comédiens ont alors décidé d’arrêter la représentation et la police est intervenue pour éviter que l’incident ne dégénère. Aucune interpellation n’a été effectuée.

    L’incident fut pris très au sérieux par le maire UMP d’Angers, Christophe Béchu, qui décida d’annuler séance tenante les deux autres représentations de la compagnie prévues les samedi et dimanche. Cédant non seulement sur le champ aux menaces des islamistes, le communiqué de la mairie s’empressa même d’indiquer que “Christophe Béchu et la municipalité souhaitent présenter leurs excuses aux spectateurs qui ont pu être heurtés par ce spectacle“…

     

    La décision d’annulation, prise dès le vendredi soir et publiquement annoncée le samedi matin, manqua d’entraîner l’annulation pure et simple du festival, la déprogrammation du spectacle étant vécue comme une véritable censure par les autres compagnies qui menacèrent de cesser de jouer par solidarité. Devant la catastrophe annoncée, un compromis fut trouvé, la représentation étant finalement rejouée le dimanche mais dans un espace fermé, le théâtre de la ville, et sous bonne garde policière.

    L’épisode est révélateur à plus d’un titre :

    - Angers n’est pas Marseille, ni la Seine-Saint-Denis et même si cette ville moyenne est, comme toutes les grandes villes du pays, touchée par une immigration endémique, on pouvait encore la croire à l’abri de provocations islamistes. Ce n’est visiblement plus le cas.

    - Une vingtaine de jeunes musulmans brandissant des corans auront suffit à remettre en cause l’organisation d’un festival important, brassant 250 000 spectateurs, sans que les autorités publiques ne réagissent fermement pour assurer l’ordre et maintenir les représentations. Pire, elles ont aussitôt cédé au diktat en déprogrammant la pièce et en s’excusant piteusement.

    - Tout a été fait par les politiques et les médias locaux pour minorer, voire cacher, les aspects politico-religieux de cet incident. Ainsi dans une touchante unanimité, les journaux locaux se sont employés dès le lendemain à oublier les causes réelles de cette déprogrammation… De manière évidente, il ne fallait surtout pas trop en parler et veiller à ce que les Angevins en sachent le moins possible.

    Un nouveau cap a-t-il ainsi été franchi ce week-end dans l’état de dhimmitude volontaire ? Après les horaires réservées dans les piscines, la disparition du cochon dans les assiettes des cantines scolaires, la généralisation du halal, voilà désormais le temps des spectacles interdits…

    http://fr.novopress.info/175018/angers-les-accroche-coeurs-censures-lislam-laccord-du-maire/

  • L’Histoire inacceptable : Le premier propriétaire esclavagiste américain était noir

     Avant 1655 il n’y avait aucun esclave légal dans les colonies américaines britanniques qui deviendront les Etats-Unis, seulement un contrat bilatéral appelé « indenture » pour des serviteurs qui proposaient leur service en échange d’une aide matérielle. Concrètement des noirs acceptaient de partir dans ces colonies britanniques et de travailler pendant un certain nombre d’années pour rembourser leur voyage et leur entretien. Avec cette pratique tous les maîtres étaient tenus de libérer leurs serviteurs après un certain temps. La durée limite de ces contrats était de sept ans. À leur départ on leur accordait 50 acres de terre (environ 20 hectares). Cela était valable pour n’importe quel Africain acheté à des marchands d’esclaves. Eux aussi avaient droit à leurs 50 acres à l’expiration de leur contrat.

    Anthony Johnson était un africain venu de l’actuelle Angola. Il avait été amené aux Etats Unis pour travailler dans une ferme de tabac en 1619. En 1622 il  failli mourir quand des Indiens Powhatan attaquèrent sa ferme. 52 des 57 personnes présentes périrent dans l’attaque.  Et c’est aussi pendant son  passage dans cette ferme qu’il épousa une servante noire.

    L’Histoire inacceptable : Le premier propriétaire esclavagiste américain était noirQuand Anthony fut libéré il fut aussi légalement reconnu comme “Noir libre” et fit fructifier son lopin de terre avec beaucoup de succès grâce à son dur labeur et son intelligence. En 1651 il possédait 250 acres et cinq serviteurs africains en « indenture ».

    Puis en 1654 Johnson aurait dû libérer John Casor, un de ses serviteurs. Au lieu de cela Anthony  dit à Casor qu’il prolongeait son temps. Casor s’enfuit et devint l’employé d’un fermier blanc, Robert Parker.

    Anthony Johnson poursuivi aussitôt en justice Robert Parker devant  le tribunal de Northampton et en 1655 la cour jugea qu’Anthony Johnson pourrait retenir John Casor indéfiniment. La cour autorisa ainsi les noirs libres à posséder des êtres de leur propre race comme  biens meubles, c’est-à-dire comme esclaves. Voilà comment John Casor est devenu le premier esclave à vie et Anthony Johnson le premier propriétaire américain d’esclave.

     

    Les blancs eux par contre ne pouvaient toujours pas  légalement avoir un serviteur noir comme esclave. Mais en 1670 l’assemblée coloniale passa une loi donnant le droit à des blancs libres (ndlr : des blancs pouvaient aussi être en « indenture ») ainsi qu’aux noirs et aux indiens de posséder des noirs comme esclaves.

    En 1699 le nombre d’africains libres suscita de telles craintes de voir une insurrection raciale que l’état de Virginie  ordonna le rapatriement des noirs libérés en Afrique. Beaucoup de noirs se vendirent alors à des maîtres blancs pour ne pas retourner sur le continent Africain. Mais des milliers d’autres furent rapatriés dans des pays comme la Sierra Leone et le Libéria qui de fait devinrent des colonies d’anciens esclaves africains américains longtemps financées par les divers gouvernements d’Amérique.
    Monrovia, la capitale du Libéria a été ainsi nommée en honneur du Président US James Monroe et Freetown, la capitale du Sierra Leone, en honneur à la liberté accordée par l’Amérique.

    Néanmoins les propriétaires noirs d’esclaves noirs continuèrent à prospérer aux États-Unis.

    En 1830 il y avait 3775 familles noires vivant au Sud ayant des esclaves noirs.
    Et avant la guerre de sécession en 1860 il y avait environ 3,000 esclaves appartenant aux ménages noirs dans la seule ville la Nouvelle-Orléans.

    Des faits qui nous donnent à méditer la vision d’Orwell : « Qui contrôle le passé contrôle le présent. Qui contrôle le présent contrôle le passé. »

    Henri Guillaumet pour Novopress

    http://fr.novopress.info/174772/lhistoire-inacceptable-premier-proprietaire-esclavagiste-americain-etait-noir/#more-174772

  • Percée historique de la droite patriote en Suède

    Assisterait-on à un réveil des peuples chez nos cousins scandinaves ? En effet, la formation patriotique (les Démocrates de Suède) est devenue la troisième formation du pays aujourd’hui à l’issue des élections législatives, “avec quelque 10,5% des voix, contre 5,7% il y a quatre ans”. Un signe dans un pays gangrené par l’immigration et l’islamisation.

    “C’est un nouveau triomphe personnel pour leur président, Jimmie Åkesson, 35 ans, qui a fait de cette formation anti-immigration, autrefois marginale dans l’électorat, une force qui compte. Toutefois, les Démocrates de Suède (SD) restent frappés d’ostracisme par les sept autres partis du Riksdag , qui ont exclu de discuter avec eux.”

    Pour lire l’article dans son intégralité

    http://fr.novopress.info/174957/percee-historique-droite-patriote-en-suede/

  • Impossible n’est pas Français

    Kadhafi s’y était engagé auprès de la France et des Européens et il avait tenu sa promesse, l’Etat libyen contenait efficacement à ses frontières dans les années qui ont précédé son élimination les flux de clandestins en direction de l’UE. Depuis l’agression militaire de l’Otan, un chaos sanglant règne dans ce paysdevenu de surcroît du fait de son délitement (le FN avait encore vu juste…), une véritable passoire pour les Africains candidats au départ vers la vieille Europe. Avec son lot de drame qui va croissant. Avant-hier, l’énième naufrage d »une embarcation partie des côtes libyennes et transportant des immigrés illégaux a entraîné au bas mot la mort de dizaines de ces malheureux; pire encore, 500 se seraient noyés enMéditerranée la semaine dernière. Une nouvelle conséquence, indirecte certes, mais bien réelle, des agissements d’apprentis sorciers en Libye du trio Sarkozy-Juppé-BHL alors « aux affaires ».

    Le scan du Figaro le rapportait hier, Brice Hortefeux compare désormais Nicolas Sarkozy au général De Gaulle, celui du retour au pouvoir en 1958…Cette année, l’Union des jeunes pour le progrès (UJP) présidé par l’inénarrable Rudolph Granier a remis le prix dit de  l’Appel du 18 juinà Nicolas Sarkozy au motif qu’ « il n’a eu de cesse de défendre les intérêts de la France tout en restant attaché aux valeurs du gaullisme » (sic). Une mauvaise plaisanterie? Une récidive en tout cas puisque ce prix fut attribué en 2011 à l’euro-immigrationniste bobo Nathalie Kosciusko-Morizet«pour son parcours personnel exemplaire et pour sa confrontation politique avec le Front National»… Nous laisserons les Français  juger des assertions de M. Hortefeux et  de ses amis de l’UJP, mais bon un tel degré de flagornerie et/ou d’aveuglement laisse tout de même pantois!

    Face aux mensonges, aux manipulations, à l’emprise des faiseurs d’opinion qui font (ré)apparaître régulièrement des « sauveurs » en carton pâte pour convaincre les Français qu’ils n’ont pas d’autre choix que de garder leur laisse, de ne pas voter  pour leurs idées,une alternative politique est-elle vraiment possible?

    C’est en effet une évidence, si le Système entraîne la France vers le fond, il sait cependant remarquablement se défendre, aussi, les plus pessimistes, même convaincus du bien fondé des idées nationales -chacun d’entre nous en connaît au moins un!- affirment que le combat mené par le FN serait perdu d’avance.

    C’est ainsi  la conviction de l’ancien militant nationaliste et journaliste globe-trotter Nicolas Bonnal, qui l’a (de nouveau) écrit sur Boulevard Voltaire le 13 septembre. « Cela se gâtera si le FN arrive au pouvoir » pronostique-t-il. « Le FN est considéré comme un parti fasciste par tout le gratin mondial, par le bobo parisien, par l’islamiste de banlieue, par l’homme d’affaires allemand, par le fou de Bruxelles, par le patron de l’UKIP et par l’ambassadeur des États-Unis qui déclenchera sans barguigner sa révolution orange contre les bleu-blanc-rouge« . « Lisez, pour voir, le manuel deGene Sharp » précise M. Bonnal – G. Sharp est un politologue américain né en 1928, théoricien de la résistance et des révolutions non violentes contre les dictatures, considéré par ses détracteurs comme un agent subversif utilisé par la CIA à l’œuvre derrière les révolutions colorées ou arabes de ces dernières années.

    Bref le nouvel ordre mondial, « ce fascisme mondialisé et eschatologique aux ordres du capital financier et de la technoscience« , ne permettra pas que la France échappe à la mort lente, à sa dilution dans le multiculturalisme au destin atlanto-planétarien qui lui a été choisie... « On  nous a prévenus et on a bien fait parce que cela ne se passera vraiment pas comme ça, pas plus que cela s’est passé comme ça pour Allende (un programme patriote et social proche de celui du FN, en fait), pour la Serbie, pour la Libye, pour la Syrie, la pauvre Ukraine ou pourPoutine — plus gros morceau à avaler (…). »

    Alors, bien sûr, « il ne faut pas se faire intimider affirme Nicolas Bonnal (…), mais il faut quand même s’attendre à être traité d’une manière  démocratique  qui dégénérera en attentats, guerre civile larvée ou déclarée, mur d’argent, franc fracassé, harcèlement ploutocratique, drone écrasé, malveillance nucléaire,  manifestation spontanéeprintemps arabe – ce sera le cas de le dire en France —, ce qu’on voudra… »

    Avant d’envisager la réalité, la probabilité de ce scénario catastrophe, la première question qu’il s’agit surtout de se poser affirme Bruno Gollnisch, est celle de savoir ce à quoi « il faut quand même s’attendre » si les idées nationales justement ne parviennent pas rapidement au pouvoir?Nous estimons pour notre part que c’est la politique menée par nos adversaires qui conduit inéluctablement notre pays à la ruine, au chaos, à sa balkanisation-ghettoïsation, à sa tiers-mondisation à terme de plus en plus violente, à la disparition du peuple français.

    Jacques Bainville l’a remarquablement mis en relief dans son  Histoire de France,  les Français forment un peuple mesuré, porté à la stabilité, industrieux, travailleur qui a su après chacun des drames qui ont frappé la France, lui faire recouvrer rapidement sa prospérité et sa grandeur, pour peu qu’il soit gouverné  avec sagesse.  Au cours de sa longue histoire, notre pays a été menacé de nombreuses fois de sombrer. De disparaître corps et âmes sous les coups déjà, d’empires étrangers, souvent  soutenus sur notre sol par un  parti du même nom. La France est aujourd’hui en sursis au bord du précipice, mais elle est toujours là.

    Plus vieille nation du monde avec la Chine, le FN reste persuadé que la  France a un avenir autre que sa mort plus ou moins rapide et violente sous le joug de l’euromondialisme.  Nous estimons quefort du  soutien d’une majorité de nos compatriotes, nous saurons garantir le respect de l’Etat de  droit, des choix du peuple souverain,  impulser avec l’énergie et la fermeté nécessaire les réformes qui s’imposent.

    Nous pensons aussi qu’un  pays comme le notre, historiquement  porteur d’une voix à part dans le concert des nations, saura aussi s’agréger des soutiens de taille sur la scène internationale en  recouvrant sa pleine  souveraineté et  indépendance…

    Marine Le Pen  aime à le répéter « unis les Français sont invincibles« …et nous faisons le pari que nos compatriotes ne veulent pas sortir de l’Histoire et n’ont pas renoncé à étonner le monde.  Impossible n’est pas Français!

    http://gollnisch.com/2014/09/16/foutu/

  • « L’humanisme politique de saint Thomas d’Aquin » : un ouvrage fondamental réédité !


    Un bel ouvrage soigné et relié, pour une œuvre majeure : « un exposé systématique de la philosophie politique de saint Thomas d’Aquin, livrant sa pensée authentique ».

    L’auteur, le dominicain Louis Lachance († 1963) – docteur agrégé de philosophie, maître en théologie, professeur à l’université canadienne – fut un grand connaisseur des écrits du « Docteur Commun » et de ceux d’Aristote.

    Cet ouvrage est son maître-livre, incontournable sur les relations entre individu et État.

    L’édition de 1948 était devenue introuvable depuis un moment, et ce texte vient de faire l’objet d’une réédition revue et soigneusement présentée.

    536 pages, Ed. Quentin Moreau, 48 €. Reliure pleine toile avec jaquette.
    On peut l’acheter en ligne ici ou à la boutique parisienne de la Librairie française.

    Présentation de l’éditeur :

    « l’auteur s’attache à replacer la politique sur le plan moral c’est-à-dire sur le plan de l’agir humain. Ceci est à l’opposé de certaines conceptions qui ne voudraient voir dans la politique d’une métaphysique ou qu’unephysique sociale.

     

    L’Etat doit être à la poursuite du bien commun, bien commun qui doit correspondre véritablement aux aspirations et aux exigences de la nature humaine.
    L’Etat travaille donc à la poursuite d’un véritable humanisme.
    Ce bien humain, quel est-il ? L’auteur entreprend une vaste enquête pour nous le faire (re)découvrir en compagnie de saint Thomas d’Aquin.
    Le père Lachance se refuse d’entrer dans une distinction abusive entreindividu et personne, qui dénature toute la perspective de la vie politique et humaine.  L’Etat n’est pas au service de la personne. Au contraire la personne est sub-ordonnée à l’Etat.
    C’est dans la vie sociale que l’homme trouve sa perfection et rien ne peut faire disparaître la dimension politique de sa vie morale. »

    http://www.contre-info.com/lhumanisme-politique-de-saint-thomas-daquin-un-ouvrage-fondamental-reedite#more-34512

  • Le CSA critique la désinformation de Caroline Fourest

    Communiqué du CSA :

    "Le Conseil a été saisi de plaintes au sujet de l’émission Le Monde selon Caroline Fourest diffusée sur France Culture le 6 mai 2014, en raison d’une chronique qui portait sur le conflit en Ukraine et au cours de laquelle la chroniqueuse a fait état d’exactions qui auraient été commises à l’encontre d’officiers ukrainiens, en précisant notamment que « les paramilitaires séparatistes venaient de leur arracher les globes oculaires avec un couteau ».

    Il a considéré que cette information – eu égard à sa sensibilité – n’avait pas fait l’objet de vérifications préalables suffisantes.

    Le Conseil a rappelé fermement à la société Radio France la nécessité de faire preuve de davantage de vigilance et de rigueur, notamment pour des sujets sensibles d’actualité. Il a, à cette occasion, rappelé les orientations de la recommandation du Conseil du 20 novembre 2013 relative au traitement des conflits internationaux, des guerres civiles et des actes terroristes par les services de communication audiovisuelle."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/09/le-csa-critique-la-d%C3%A9sinformation-de-caroline-fourest.html

  • Partir ou pourrir, le dilemme de François Hollande

    La seconde moitié du quinquennat ne pourra suffire à faire oublier les erreurs et errements de la première.   

    C’est fou, comme la politique ressemble depuis 28 mois à une jolie frise à motifs réguliers : une photo du président de la République trempé jusqu’aux lunettes, un couac gouvernemental, le chômage en hausse, un ministre épinglé pour fraude fiscale, l’annonce du retour de la croissance, les passades du Président étalées en public, la délinquance en hausse, la croissance en berne, un ministre viré, un sondage catastrophe, une fronde interne au PS. Et on reprend : une photo du président de la République trempé jusqu’aux lunettes, un couac gouvernemental, le chômage en hausse…

    Dans cette litanie sans fin, par bonheur, le nombre de tués sur les routes est orienté à la baisse, sans quoi on en viendrait presque à douter de ceux qui nous gouvernent… Malgré tout, la question de la démission du Président, qui bruissait dans bien des chaumières, est désormais posée ouvertement par nombre de politiciens et de médias. Dans ce contexte, François Hollande peut-il rebondir ? Assurément non. D’abord parce que d’autres mauvaises nouvelles s’amoncellent déjà : un secrétaire d’État visé par une enquête pour favoritisme ; les brûlots à venir de Delphine Batho ou Aquilino Morelle ; des frondeurs qui vont grossir avec le fossé entre les promesses de lendemains qui chantent et la nouvelle politique économique ; l’objectif ridiculement pathétique de stabiliser le chômage, qui sera manqué de nouveau, faute de croissance.

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