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  • L'orage gronde dans l'Armée

    Antoine Martinez, Général (2S), Président de l’association des officiers de réserve, écrit dans Les 4 vérités :

    "[...] Nos forces armées n’en peuvent plus, depuis qu’avec la fin de la guerre froide, nos responsables politiques, manquant de vision à long terme, ont considéré qu’il était temps d’engranger les dividendes de la paix, démontrant ainsi qu’ils n’avaient rien compris à la conduite des affaires dans un monde régi par les rapports de force. « Si vis pacem, para bellum. » C’est parce que l’État consent un effort pour disposer d’une défense efficace que la nation peut vivre en paix avec tous les bienfaits qui en découlent. Car les menaces n’ont pas disparu, bien au contraire. Et, paradoxalement, nos forces armées n’ont, depuis 25 ans, jamais été aussi lourdement engagées à l’extérieur. Pourtant, elles sont confrontées à une baisse drastique et continue de leurs budgets. Et cette baisse affaiblit dangereusement notre outil militaire et met en péril la sécurité de la France. C’est ainsi que, depuis 25 ans, l’armée de terre a perdu plus des deux tiers de ses effectifs, l’armée de l’air plus de la moitié de ses avions et la marine opère avec un porte-avions indisponible au moins dix-huit mois tous les sept ans. Déjà, avec le Livre Blanc de 2008, un lourd tribut était imposé à nos armées avec, notamment, une réduction de 54 000 hommes à réaliser entre 2009 et 2014. On pouvait penser qu’un arrêt serait alors décidé dans le démantèlement de notre outil militaire après cette sérieuse saignée. C’était mal connaître l’inconséquence de nos responsables politiques qui considèrent les budgets de la Défense comme une variable d’ajustement. Finalement, sur le seul plan des effectifs, en dix ans, c’est 80 000 hommes que les armées auront perdus. Ce n’est plus une saignée, c’est une hémorragie insupportable qui pourrait conduire à une réaction dont nul ne peut prédire, à ce stade, la nature.

    Une chose est certaine : l’orage gronde. Selon nos autorités politiques, les nouvelles déflations d’effectifs n’entraîneraient pas une diminution de nos capacités. On croit rêver devant un tel déni de la réalité. Et ce déni révèle une méconnaissance totale du fonctionnement d’une force armée au combat. Nos camarades de l’armée de terre sont certainement les plus touchés car, manquant d’un minimum de culture militaire, nos élites politiques les considèrent comme des pions peu spécialisés et donc interchangeables sur le terrain en fonction des besoins, ce qui est complètement faux. Nos forces armées n’en peuvent plus de s’entendre dire que la Défense doit participer à l’effort budgétaire actuel. Faut-il rappeler que la part du PIB consacrée à la Défense est passée, en 30 ans, de 3 % à moins de 1,5 %? En revanche, des milliards sont gaspillés, chaque année, par exemple pour couvrir des dépenses de toutes sortes causées par une immigration extra-européenne incontrôlée ou par l’Éducation nationale incapable de remplir sa mission. Face à ces gaspillages irresponsables comparés au démantèlement suicidaire de notre outil militaire, les langues se délient aujourd’hui pour dénoncer le comportement des hommes politiques. Sous quelle forme se produira ce grand coup de gueule de la Grande Muette qui semble désormais inévitable? Démissions? Manifestations? Désobéissance? Jusqu’à ce jour, les gouvernements étaient sereins quant à la gouvernance des armées; il se pourrait, si les chefs militaires soucieux de l’intérêt général, refusent de nouvelles restrictions, que ce scénario idyllique ne soit plus d’actualité."

    Michel Janva

  • François Hollande relance la polémique sur le droit de vote des étrangers

    « Je suis favorable au droit de vote des étrangers », c’est ce que a nous rappelé François Hollande, hier après midi durant son discours d’inauguration au musée de l’Histoire de l’immigration ouvert en 2007. Alors que sa côte de popularité est au plus bas et que le fameux collectif des « frondeurs » prend de l’ampleur, François Hollande souhaite unifier la gauche en reprenant un de ses thèmes favoris : l’accueil des étrangers. « Il faut que la France soit représentée par toutes les couleurs, toutes les forces vives du pays »  a‑t‑il expliqué avant de comparer l’arrivée des 200 000 immigrés par an sur le sol français à une accumulation de« talents » et de « chances ».

    Dans cet éloge de l’immigration, François Hollande évoque tout de même la poussée du Front National

    Tout à fait. Si il attaque le Front National en les traitant de démagogues, mais il dénonce aussi la poussée des nationalismes en Europe dont on a vu l’illustration aux dernières élections européenne, en les comparant, je cite : « A des vents mauvais qui soufflent de plus en plus ». Quant à la montée de l’islam radical en France, il assure que l’islam est tout à fait compatible avec les lois de la République.

    Le président qui voulait rassembler les Français, ignore une fois de plus les Français de souche

    Eh oui ! Le président refuse toujours de prendre en compte l’avis des Français sur le sujet. Pourtant, dans un récent sondage Odoxa, 60 % des Français, seraient opposés au droit de vote des étrangers.

    L’immigration n’est pas une fatalité ? 

    Eh non ! Contrairement à l’idéologie bien pensante qui sévit en France depuis près de 40 ans. En Espagne par exemple, une loi de sécurité citoyenne a été adoptée jeudi dernier par le congrès des députés qui prévoit une reconduite immédiate des immigrés clandestins à la frontière.

  • Qu’est-ce que la base de l’UMP aujourd’hui ?

    Lu dans Minute :

    "La stratégie de reconquête arrêtée par Sarkozy est claire. Les nominations de Laurent Wauquiez au poste de secrétaire général ou de Madeleine Bazin de Jessé, fondatrice du mouvement des Veilleurs et de Sens commun, dans l’esprit de la Manif pour tous, sont clairement des signaux envoyés à la droite conservatrice, celle qui va à la messe. Mais qu’est-ce que la base de l’UMP aujourd’hui ? En majorité des sexagénaires et septuagénaires retraités, souvent éligibles à l’ISF, acquis à la droite pour des raisons financières et accessoi - rement par un réflexe de « common decency », ce concept cher à George Orwell qui rejette le paraître et l’artificiel au profit des éléments structurants de notre société. Laurent Wauquiez, sorte de gendre idéal, coïncide parfaitement avec ce moule et assume sa proximité idéologique avec Patrick Buisson. Nathalie Kosciusko-Morizet, première vice-présidente est évidemment en décalage."

    Michel Janva

  • Revue de presse : ça déménage

    Le monde politique est un monde dur, souvent violent et cruel. Pas seulement en raison des luttes pour le pouvoir entre dirigeants politiques, voire des rivalités qui peuvent apparaître au sein des mêmes formations, mais aussi du fait de l’adversité que l’exposition de ses idées sur la place publique peut générer. A fortiori pour ceux qui ne manient pas les concepts mous et consensuels des docteur Morphine de l’Etablissement et luttent frontalement contre le Système. Les militants frontistes en savent quelque chose. Surtout les plus anciens. Certes, le climat autour du FN s’est majoritairement sensiblement pacifié ces dernières années. Mais la longue liste des militants, élus, candidats frontistes agressés physiquement, calomniés, victimes de mises à mort sociale, dont les enfants, les conjoints ont été eux aussi parfois persécutés et menacés est là pour témoigner de la haine qui anime les adversaires du courant national et patriotique.

    Nous n’oublierons jamais, et Bruno Gollnisch le rappelle souvent, les sacrifices consentis par les parias du FN et autres militants de la première heure de la cause nationale, populaire et sociale, traînés dans la boue par la caste des bien-pensants. Ce sont eux qui ont permis au FN d’être et de durer. Sans eux, le FN ne serait pas aujourd’hui, sous la conduite de Marine Le Pen, dans la situation historique de mener enfin nos idées au pouvoir.

    Une violence dont le journaliste de télévision qui accompagne Florian Philippot sur les photos publiées par Closer témoigne indirectement dans une lettre ouverte adressée hier à la directrice de ce magazine pipole, madame Pieau, et publiée sur le site Rue 89.

    Sous le pseudonyme de « Tyto Alba » ( pour les curieux il s’agit du nom savant de la chouette effraie ou dame blanche) il explique les conséquences sur sa vie privée et professionnelle des photos publiés par Closer. Ainsi, alors même dit-il qu’il ne partage pas les idées du FN, et malgré son engagement pour « les causes gays » et « la lutte contre l’homophobie », il a été « la cible de menaces de mort, d’une chasse à l’homme venant s’ajouter à la violence de cette exposition», «(marquant son) image» «de façon indélébile au sein de (sa) profession ».

    Si le microcosme politico-médiatique a globalement dénoncé les méthodes de Closer, la presse s’est aussi penchée sur l’arrivée au FN, au sein du cabinet de Marine Le Pen, plus précisément auprès son directeur Philippe Martel, de Julien Odoul, 28 ans, historien de formation, aux évolutions politiques assez fulgurantes.

    Après un court passage par le PS pour voter Laurent Fabius à la primaire de 2006 est-il rapporté, il devient ensuite centriste, occupant notamment les fonctions de secrétaire national en charge du Conseil militant chez les Jeunes du Nouveau centre, le parti d’Hervé Morin. Sa carrière politique débuta véritablement entre 2009 relate L’Express, comme assistant du centriste André Santini jusqu’en 2011, avant de devenir secrétaire général du groupe du parti européiste UDI, au conseil général de Seine-Saint-Denis.

    En janvier 2011 il déclarait encore à L’Express : « Le centre véhicule toutes les valeurs qui sont les miennes ». Mais n’est-ce pas Bruno Gollnisch qui évoquait ces derniers jours la conversion fulgurante du futur Saint Paul sur le chemin de Damas ?

    Valeurs actuelles précise que «c’est Marion Maréchal-Le Pen, qu’il a rencontrée lors des universités d’été du FN à Marseille, en 2013, qui lui a présenté la présidente (du FN). Julien Odoul l’affirme: «Marine Le Pen est la seule alternative pour 2017, c’est elle qui arrive à rassembler les patriotes». Il se définit volontiers comme souverainiste, anti fédéraliste et étatiste» , c’est-à-dire à l’exacte opposé de la doxa centriste.

    Ce magazine et Libération ajoutent avec une petite pointe de perfidie que « petite particularité, Julien Odoul a posé pour Têtu. Si en 2011 il se disait très fier d’avoir fait ces photos pour le magazine gay, maintenant qu’il est au FN il assure que c’était pour payer ses études : «Je ne suis pas gay, d’une part, (et) pas communautariste, d’autre part Je ne suis pas un militant LGBT». Ce qui est plutôt une bonne nouvelle puisque ce militantisme là, mais est-il nécessaire de le redire ici, est inconciliable avec le fait de militer au FN.

    L’amour de la France et des Français d’abord, la constance dans son engagement patriotique, autant de qualités basiques mais essentielles du militant national. Nous évoquions lundi le cas de Fatima Allaoui, membre de l’UMP passée au SIEL une de composantes du RBM , il y a quelques mois, avant de le quitter pour rejoindre de nouveau l’UMP où elle a été nommée secrétaire nationale à la formation professionnelle par NKM. Finalement démise de ses fonctions au sein du parti sarkozyste au bout de quatre jours, Florian Philippot a proposé lundi sur i-Télé à la jeune femme de « venir au Front National. Si elle est patriote, sincèrement patriote -je pense qu’elle l’est, d’après ce qu’on m’a dit-, alors elle a sa place au Front National.»

    C’est a contrario un problème de place qui a conduit à la mise en examen le 11 décembre (automatique dans les affaires de diffamation et d’injure publique) de l’ex ministre aux Personnes handicapées, la députée socialiste Marie-Arlette Carlotti, pour injure publique à caractère racial. Selon le militant PS et avocat Hacen Boukhelifa, Mme Carlotti aurait déclaré en début d’année lors d’une réunion qu’elle refusait de faire un « ticket » avec lui pour les élections municipales au motif qu’elle avait « déjà un candidat arabe de la diversité sur (sa) liste ». « Il n’a qu’à aller voir Samia Ghali (candidate PS dans le 8e secteur) pour qu’elle le prenne dans les quartiers nord)», aurait-elle poursuivi.

    Le racisme, réel ou supposé est pourtant une obsession affichée de la gauche et même d’une large partie de la droite. Eric Zemmour est ainsi de nouveau la cible de toutes les attaques suite à son entretien accordé au quotidien italien Corriere della Sera en date du 30 octobre. Celui-ci a été «opportunément» traduit par Jean-Luc Mélenchon et mis en ligne sur son blogue lundi. Une suite en quelque sorte du débat qui a opposé les deux hommes sur RTL le 12 décembre.

    Sur cette antenne, le dirigeant du Front de Gauche avait de nouveau étalé son immigrationnisme gaga digne du Medef et sa vision désincarnée du peuple français et d’une France réduite à l’héritage de 1789. Tout à fait dans la ligne des élucubrations cosmopolites de la secte du Grand orient à laquelle il appartient.

    Dans ce même article posté sur son blogue, le sans-culotte du Front de Gauche ose laver le catastrophique Front populaire, le gouvernement de Léon Blum de ses responsabilités dans le désastre de 40! Classe politicienne qui a refilé au vieux Maréchal, accessoirement homme de gauche et républicain, l’ardoise de ses erreurs et de ses lâchetés. Ce qui n’empêche pas M. Mélenchon de conspuer de manière obsessionnelle le « traitre Pétain » dont le portrait indique-t-il, orne «l’horrible affiche (sic) qui invite à aller voir l’exposition aux archives de France sur la collaboration. Beuark ! ».

    « Beuark »? M. Mélenchon, les collabos d’un mondialisme dont l’immigration de peuplement est une conséquence parmi d’autres, reprochent à M. Zemmour d’avoir déclaré à ce journal transalpin que les musulmans «vivent entre eux, dans les banlieues», que «les Français ont été obligés de les quitter». «Cette situation d’un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile».

    A la question « mais alors que suggérez-vous de faire : déporter 5 millions de musulmans français? », l’essayiste répond: « Je sais, c’est irréaliste, mais l’histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 qu’un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d’Algérie pour revenir en France? ».

    Pour ceux qui se penchent honnêtement sur le programme du FN, qui connaissent la position ferme mais mesurée qui est celle de l’opposition nationale et patriotique quand il traite d’immigration, les différences (de taille) apparaissent entre le discours zemmourien et celui du Front.

    Le FN n’a jamais stigmatisé les immigrés (ce dont se défend également M. Zemmour dont les propos sont plus nuancés que leur résumé), mais dénonce les politiques d’immigration massive mises en place par la droite et la gauche depuis Giscard.

    Le FN n’est certainement pas en guerre contre les musulmans et l’islam. On peut être de toute évidence un parfait musulman et un authentique patriote français. Mais il est certain que les revendications religieuses, le prosélytisme communautariste de certains extrémistes mahométans sont nourris mécaniquement par l’immigration de peuplement. Celle-ci interdit de facto toute assimilation et transforme effectivement la physionomie et le climat régnant dans de nombreux quartiers. C’est en niant cette réalité là que le mal prospère.

    Le programme défendu par le FN vise justement à éviter cette « guerre civile » ou à tout le moins ce chaos social, économique, identitaire, qu’Eric Zemmour juge inéluctable. Contrairement à l’auteur du « suicide français », le FN ne sombre pas dans un fatalisme, bien étranger au génie de notre pays, de notre civilisation helléno-chrétienne. Sinon à quoi bon se battre? Aide-toi le ciel t’aidera!

    Il n’en reste pas moins que Bruno Gollnisch, partisan de la liberté d’expression, du droit de penser en dehors des clous, exprime instinctivement sa solidarité avec Eric Zemmour qui voit s’abattre sur ses épaules les pires anathèmes et amalgames.

    Dans sa recension de cette « affaire » Europe 1 qui croit utile de rappeler qu’ Eric Zemmour est «un juif originaire d’Afrique du nord» (une information utile au débat ?) évoque les réactions du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve qui parle « d’odieuses attaques » contre «le vivre-ensemble». Ou encore «l’Observatoire national contre l’islamophobie, qui dépend du Conseil français du culte musulman (CFCM) », qui dénonce des «propos (qui) viennent s’ajouter à une litanie de déclarations abjectes et sans fondement de ce prêcheur de haine patenté à l’encontre de l’islam et des musulmans ».

    Pour faire bonne mesure, le pseudopode du PS SOS racisme annonce qu’il va porter plainte contre un homme « mû par une haine tenace envers les populations arabo-musulmanes ». Pas en reste, le patron des députés socialistes, Bruno Le Roux, appelle à chasser M. Zemmour des médias: «il est temps que les plateaux télé et les colonnes des journaux cessent d’abriter de tels propos». Toujours cette vieille pulsion totalitaire qui est dans l’Adn de la gauche…

    Nous ne pouvons que conseiller à nos belles âmes antiracistes, aux bourgeois du PS, du Front de gauche, des médias, à tous les militants béats et /ou hypocrites du vivre-ensemble, de quitter les quartiers white, blancos comme dirait Manuel Valls, dans lesquels ils vivent tous. Qu’ils mettent leurs actes en conformité avec leurs propos, déménagent et s’intallent dans les quartiers pluriels que décrit Eric Zemmour.

    Ce serait là le signe d’un engagement citoyen fort et la preuve indubitable que M. Zemmour est un fou haineux aux fantasmes délirants. Après tout l’immersion dans le quotidien des Français est parait il très tendance dans les médias…

    http://gollnisch.com/2014/12/17/revue-de-presse-ca-demenage/

  • Les Verts veulent créer un centre d’archives LGBT aux frais du contribuable

    Le groupe écologiste du Conseil de Paris a déposé un vœu qui «appelle à la création d’un centre d’archives national LGBT». EELV souhaite que le Conseil de Paris propose :

     » – dès 2015 un local d’accueil pour stocker et rassembler toutes les archives LGBT collectées auprès d’associations et de particuliers volontaires.

    - à moyen terme un lieu parisien où pourra s’établir un véritable centre d’archives et de documentation LGBT de dimension nationale, co-élaboré avec toutes les associations intéressées. »

    L’auteur de ce vœu est David Belliard, conseiller de Paris et co-président du groupe des élus écologistes de Paris, mais aussi journaliste et par ailleurs lui-même militant homosexuel et membre de l’Association des Journalistes LGBT (AJL).

    Un tel projet avait déjà été évoqué par Bertrand Delanoë lors de son premier mandat comme maire de Paris. La mission avait alors été confiée à  Jean Le Bitoux,  militant homosexuel et défenseur de la pédophilie, individu aujourd’hui honoré par un square portant son nom !

    http://www.medias-presse.info/les-verts-veulent-creer-un-centre-darchives-lgbt-aux-frais-du-contribuable/20527

  • L'UMP démet de ses fonctions sa secrétaire nationale passée par l'extrême droite

    Cette élue du Languedoc-Roussillon avait adhéré au Siel, un parti affilié au Rassemblement Bleu Marine, et tenté de se rapprocher de Robert Ménard en espérant une investiture gagnante pour les prochaines élections départementales.

     

    « Je n’aime pas les fascistes ». Selon le Canard Enchaîné de la semaine dernière, c’est l’argument massue qu’aurait lancé Nathalie Kosciusko-Morizet à Nicolas Sarkozy pour s’opposer à l’intégration de Guillaume Peltier, ex-frontiste, au nouvel organigramme de l’UMP. Une animosité contre l’extrême droite à géométrie variable ? Selon le journal Libération, c’est pourtant bien la numéro 2 de l’UMP qui aurait soufflé à l’ancien président le nom de la nouvelle secrétaire nationale du parti en charge de la formation professionnelle dont le parcours fait aujourd’hui polémique.

    Fatima Allaoui, a d’abord été nommée par Nicolas Sarkozy vendredi 12 décembre, est certes une ancienne de l’UMP. Mais au moment de son recrutement, cette conseillère régionale du Languedoc-Roussillon avait quitté le parti d’opposition pour rejoindre le SIEL (Souveraineté, indépendance et liberté). Or cette petite formation d’extrême droite, créée par Paul-Marie Coûteaux en 2011, est membre du Rassemblement Bleu Marine, nébuleuse qui agrège les partis satellites du Front National. Une adhésion qui lui vaut aujourd’hui d’être démise de ses fonctions. « Mme Allaoui, conseillère régionale UMP de Languedoc-Roussillon (...) a admis avoir adhéré il y a un mois, à un parti d’extrême droite. Dans ces conditions, sa responsabilité de secrétaire nationale lui est retirée », indique l’UMP dans un communiqué. [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-UMP-demet-de-ses-fonctions-sa

  • Vidéos des actions des groupes Savoie et Haute-Savoie Nationaliste

    Savoie


    Haute-Savoie

  • François Hollande et l’immigration : non, non, rien n’a changé…

    Il a la trouille, François Hollande, car les sondages le révèlent : les immigrés « intégrés » se tournent aujourd’hui vers Marine Le Pen !

    C’est une histoire peu commune : celle d’un musée que le président issu de la majorité qui l’avait décidé a refusé d’inaugurer et qui l’est, aujourd’hui, par son successeur, sept ans après son ouverture !

    Soucieux de récupérer des voix auprès d’une gauche qui se débine de jour en jour, François Hollande est donc allé lundi inaugurer la Cité nationale de l’histoire de l’immigration. Sur le papier, une « institution culturelle, pédagogique et citoyenne destinée à reconnaître et mettre en valeur la place des immigrés dans la construction de la France ». Dans les faits, un machin informe qui n’a jamais trouvé ni sa destination ni son public, sauf celui des élèves de banlieue qu’on y traîne de force et en rangs par deux.

    Car à quoi se résume l’histoire de l’immigration dans cette Cité qui lui est prétendument consacrée ? À des clichés éculés. À un bric-à-brac chiné aux puces du tiers monde, sorte de dépotoir dont on ne voudrait pas dans un vide-greniers de quartier. En quoi, en effet, une théière marocaine voisinant dans une vitrine avec une valise en carton font-ils un musée ? En quoi un couscoussier pendu à un fil à côté d’une statue nègre et d’un masque chinois en papier mâché parlent-ils aux immigrés de leur histoire et de leur culture ? Pas plus que ces vidéos de pauvres gens débarquant valise à la main, ces photos de “Pigeots” chargées jusqu’au ciel de matelas et de gazinières, ou les affiches d’Aznavour et d’Enrico Macias…

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