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  • Pas d'amalgame : les Belges ne sont pas tous comme cela

    Pause sourire avec cette histoire belge vraie :

    "Le chauffeur d'un autocar qui devait emmener une cinquantaine de touristes belges dans la station alpine de La Plagne s'est trompé en entrant la destination dans son GPS et a effectué un détour de 1200 km, selon la radio flamande StudioBrussel.

    "Il y a trois +Plagne+ en France et on s'est trompé", a expliqué le chauffeur sur le site de StudioBrussel, la radio "jeune" de la chaîne publique VRT, qui organisait ces vacances pour ses auditeurs.

    L'autocar a pris la route en direction du village de La Plagne, dans le département de l'Ariège, situé sur les contreforts des Pyrénées, à plus de 600 km de la station de la Tarentaise (est), où il devait se rendre.

    L'autocar n'a rebroussé chemin qu'au niveau de Toulouse, et les vacanciers sont arrivés dans les Alpes dimanche, avec 24 heures de retard."

    Michel Janva

  • Front national : Marine Le Pen voit les signes d'une «victoire future»

    En pleine campagne pour les départementales, la présidente du Front national invite ses troupes à « accélérer le mouvement ».

    Entendant les cris d'orfraie socialistes faire écho aux appels anti-FN de la droite, la présidente du Front national regarde l'avenir avec confiance et même optimisme. Elle interprète la «panique fébrile» de ses adversaires politiques comme le signe positif du poids de plus en plus perceptible de son parti dans le paysage politique. Marine Le Pen encourage d'ailleurs ses troupes à «accélérer le mouvement» et, tout en condamnant le ton de ses adversaires contre le parti et ses électeurs, elle les mobilise en leur disant: «Tout cela est très bon signe. C'est la démonstration de notre victoire future car si la classe en est arrivée à une telle outrance, c'est qu'elle prend conscience que nous pouvons arriver au pouvoir et que le peuple va leur arracher ce pouvoir des mains, par les urnes.»

    Le vice-président du FN, Florian Philippot, croit possible une victoire en 2017. Sa confiance s'appuie sur les résultats d'une série de sondages ayant envisagé la présence de Marine Le Pen au second tour. Tout en relativisant la fiabilité des mesures deux ans avant le scrutin, il juge cependant qu'elles révèlent de réelles dynamiques et qu'avec une telle avance, la présidente du FN peut être «à peu près certaine» de se qualifier au second tour. Surtout, il pense que dans deux ans, le contexte politique sera très différent de celui de 2002. «Contrairement à ce qui s'est passé cette année-là, note-t-il, les Français auront intégré l'hypothèse d'une victoire frontiste. Les gens voteront en parfaite connaissance de cause et c'est d'ailleurs la preuve d'un vote d'adhésion et d'un vote consolidé.»

    Calcul politique

    Si le politologue Pascal Perrineau ne conteste pas le poids politique du Front national aujourd'hui, ni les perspectives ouvertes pour un parti aujourd'hui crédité de 30 % des voix, voire plus, dans les sondages, il appelle cependant à une très grande prudence sur le sujet. Nombre d'enquêtes réalisées à plus de deux ans d'une élection, rappelle-t-il, se sont révélées souvent hâtives. Et celles portant sur la prochaine présidentielle le sont d'autant plus que les acteurs du second tour ne sont pas connus. Les projections ont donné Marine Le Pen «battue dans toutes les hypothèses face à Manuel Valls, Nicolas Sarkozy et Alain Juppé», prévient-il encore. Un sondage Ifop réalisé en septembre 2014 avait néanmoins annoncé une victoire de la présidente du FN au second tour face à François Hollande (54 % contre 46 %). C'était une première.

    À l'institut CSA, Bernard Sananès identifie deux inconnues de la présidentielle: les conséquences d'une participation électorale généralement plus forte et la capacité de mobilisation du front républicain le jour J. Pour autant, il affirme ne pas pouvoir dire qu'une victoire du Front national est impossible en 2017. «La dynamique électorale du FN est telle que l'on ne peut pas écarter cette hypothèse», confie-t-il en soulignant deux atouts du parti frontiste qui s'affiche non seulement comme le seul à croître face à «l'impopularité record» de l'exécutif mais qui a également démontré des marges de progression «spectaculaires» entre deux tours d'une élection (plus de 15 points) comme ce fut le cas, par exemple, dans l'Oise, le Lot-et-Garonne et le Doubs.

    Pour Philippe Martel, directeur de cabinet de Marine Le Pen, si toute prévision est très aléatoire, les dernières sorties de Manuel Valls et de Benoît Hamon sont plus limpides. Elles sont même les fruits, selon lui, d'un calcul politique. Pour lui, à droite comme à gauche, les candidats potentiels à la présidentielle «sont tous persuadés que Marine Le Pen ne peut pas gagner au second tour». Raison pour laquelle ils s'appliqueraient à doper le vote FN. «Chacun sait que le fait d'être excessif avec le FN fait monter le FN», considère Philippe Martel, en dénonçant le jeu aux conséquences imprévisibles des autres partis politiques. «Ils jouent avec le feu et tant mieux pour nous, conclut-il, car nous sommes dans une situation incroyable: nous donnons le tempo partout et sur tout!»

    Emmanuel Galiero

    Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukVAVVFlAnVRGxjix.shtml

  • Islamistes : Charles Pasqua veut rouvrir Cayenne et Biribi

    L’ancien patron du SAC (Service d’action civique), cette police privée qui recrutait ses gros bras dans le milieu, n’a jamais pratiqué la langue de bois.

    C’était en 1995, les islamistes du GIA algérien frappaient la France. Charles Pasqua, l’exécuteur des basses œuvres du gaullisme, régnait alors sur le ministère de l’Intérieur. Je n’ai pas oublié un dessin de l’époque paru un matin dans Le Parisien. On y voyait deux secouristes évacuant sur une civière un barbu qui se lamentait : « Allah Akbar, Pasqua malabar ! »

    Pasqua malabar, donc. À en croire certains, c’était même la Terreur sous le masque de Fernandel. On lui prêtait, sous son accent ensoleillé, des méthodes aussi expéditives que ses propos, et beaucoup de « petits papiers » pour faire taire ses ennemis.

    L’ancien patron du SAC (Service d’action civique), cette police privée qui recrutait ses gros bras dans le milieu, n’a jamais pratiqué la langue de bois. Il a le verbe assez peu précautionneux, ce qui le faisait craindre de ses amis comme de ses ennemis. À 87 ans, Charles Pasqua s’embarrasse encore moins, comme en témoigne l’entretien qu’il a accordé avant-hier à Laurent Delahousse, dans son émission « 13 h 15, le dimanche ».

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  • [Nogent sur Marne] Colloque 1954-2015 La Guerre d’Algérie est-elle terminée ? , le 22 mars 2015

    Grande journée patriotique le 22 mars 2015 scène Watteau,1 place du théatre à Nogent sur Marne (94) (RER E station Nogent-Le Perreux).

    Organisée par le comité de Liaison pour l’Honneur Français sous le parrainage du Capitaine Bonelli (Grand Officier de la Légion d’Honneur, 1er REP).

     

    1954-2015 La Guerre d’Algérie est-elle terminée ?

    PAF : 10€ (gratuit pour les - de 18 ans).


    1954-2015 La Guerre d’Algérie est-elle terminée ? par frank-wilsdorf

    Programme :

    10h00 Ouverture des portes, stands, dédicaces, bar

    10h30-11h45 Grand Messe célébrée par le RP JP Argouac’h.

    11h45-13h-40 Repas, stands

    13h40-14h10 Allocutions : Eric Fornal, capitaine Dominique Bonelli, Jean-Marie Schmitz

    14h1015h40 diffusion du film "Harkis, histoire d’un abandon"

    15h40-15h50 Allocution de Bernard Coll (Jeune Pied Noir).

    15h50-16h Honneur au Commando Georges

    16h-16h30 Pause, Choeur Montjoie

    16h30-17h15 1ère Table Ronde " Honneur à l’Armée française" avec Roger Saboureau - Jean Paul Angelelli - officier SAS

    17H15-18H00 2nd Table Ronde "Comment finir la guerre d’Algérie ?" avec le professeur Olivier Dard - l’historien Jean Monneret - Jean Marie Schmitz.

    18h-18h15 final avec Roger Holeindre " Non à la repentance !"

    18h15-18h30 chants Choeur Montjoie Saint-Denis

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Nogent-sur-Marne-Colloque-1954

  • Les femmes optent souvent pour l'avortement sous la contrainte

    A l'occasion du 8 mars, journée de la femme, l'Académie pour la vie du diocèse de Bayonne se penche sur une souffrance que la femme est bien souvent seule à porter : celle de l’avortement. Raphaëlle Coquebert, éducatrice à la vie, écoutante pendant 5 ans auprès de femmes blessées dans leur maternité,écrit :

    "« Je m'appelle Wendy et en 2013, j'ai subi une IVG médicamenteuse. Cela a été horrible. J’ai tué mon bébé. Je l’ai senti partir. Un an après, je n'arrive pas à m’en remettre. Je regrette tellement ce que j’ai fait ! Je ne sais comment faire pour aller mieux. Pour ne plus y penser sans me torturer ».

    « J'ai eu 41 ans en 2014 et j'ai fait une IVG à l’âge de 28 ans. Pour moi, c'est un regret éternel. Je ne m’en suis jamais remise. Cette IVG a complètement pourri ma vie (…). Je pleure tous les jours, même après 14 années écoulées ! »

    Cette prise de conscience date d’une quinzaine d’années.Avant, une chape de plomb idéologique empêchait qu’une seule critique soit émise sur cet acte, considéré comme l’un des dogmes fondateurs, donc intouchables, de l’idéologie féministe.Peu à peu, le réel reprenant toujours ses droits, des témoignages sont apparus, dans la presse et à la télévision, relatant la profonde souffrance de femmes ayant interrompu leur grossesse. Quelques-unes ont osé partir à la recherche d’un éditeur pour livrer leur expérience personnelle, la plupart du temps teintée de regrets et de désespoir. Encouragés par ces confidences irrécusables, en un temps où seuls le ressenti et les sentiments sont perçus comme légitimes, des témoins faisant autorité (psychologues, journalistes) ont publié des ouvrages sur le sujet. Nous nous appuierons sur certains d’entre eux dans cet article.Ces douloureuses confessions sont issues de forums de discussion sur le web, où les témoignages de cet acabit abondent. Rares sont aujourd’hui les professionnels du secteur médico-social (médecins, gynécologues, psychologues, écoutantes…) qui nient l’implacable réalité : l’avortement, hier revendiqué comme un droit absolu des femmes à disposer de leur corps, toujours préférable à une grossesse non désirée, est désormais perçu par une majorité d’entre elles comme un acte parfois incontournable,mais qui blesse en profondeur celles qui le subissent. 83% de la gent féminine considère que « l’avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre », selon un sondage IFOP réalisé en 2010.

    Ainsi, même si certains courants féministes pur et durs font de la résistance, il n’est plus tabou en 2015 d’évoquer les stigmates engendrés par l’IVG dans le cœur et le corps des femmes, quelle que soit leur opinion sur l’acte lui-même. [...]

    Qu’est-ce qui pousse réellement les femmes, naturellement portées vers la maternité et la fécondité, à choisir l’IVG ? Notre expérience d’écoute et la lecture de milliers de témoignages sont formels : une fois passé le choc de la nouvelle, et évacuées les peurs légitimes par rapport à des questions d’ordre financier ou professionnel, le plus grand nombre désire garder leur bébé. Mais elles se heurtent à la résistance de leur mari, compagnon ou petit ami, quelquefois de leur employeur, du corps médical, voire de leurs parents.

    L’on voulait permettre aux femmes d’exercer pleinement leur liberté par rapport à la maternité : 40 ans après la légalisation de l’IVG, elles y voient majoritairement un passage obligé pour sauvegarder un couple ou une famille déstabilisé(e) par l’imprévu. [...]

    « Il est un acteur souvent muet et absent, mais dont l’influence est capitale dans la décision d’avortement : le géniteur ». (M. Hébrard)

    « Beaucoup de femmes témoignent avoir décidé une IVG, contrariées ou contraintes sur l’insistance de leur mari ou compagnon ». (S. Clerget)

    « L’un des obstacles les plus fréquents opposés à la réalisation maternelle d’une femme est le refus de son partenaire d’assumer une progéniture ». (G. Romey) 

    Et de citer le cas d’Antoinette, 32 ans, qui tombe enceinte au sortir de lourdes épreuves : « loin d’accentuer mon malaise, cette espérance de maternité me remplit de joie (…) les avis de tous les hommes qui m’entourèrent à ce moment-là, médecin, gynécologue et mari concordèrent pour m’orienter vers l’avortement… moi, je désirais garder cet enfant… et je me sentais capable de le mener à terme ! » Elle ressassera durant vingt ans sa rancœur contre son mari avant d’entamer une psychothérapie.

    Les femmes optent donc souvent pour l’IVG sous la contrainte.[...]

    Quand c’est le renoncement à la grossesse qui l’emporte, le sentiment immédiat de la femme est le soulagement. Puis, selon le vécu de chacune, les remords, la tristesse, voire la désolation. Pour les unes, quelques mois ou années suffisent. Pour d’autres, ce peut être vingt ou quarante ans après.

    Stéphane Clerget explique que sur un plan psychanalytique, la majorité des dépressions fait suite à un sentiment de perte : ici, il y a la perte réelle de l’enfant à naître, celle, imaginaire, de ce qu’il serait devenu, et la perte du statut de mère aux yeux de l’entourage et de la société.

    L’empreinte de l’avortement prend des formes très diverses, avec quelques constantes. Il est rare, par exemple, que la mère endeuillée ne soit pas submergée par la tristesse aux dates anniversaires de l’événement (conception, IVG, terme de la grossesse…).

    Rare aussi que la femme ne soit pas envahie par la colère : elle en veut au monde entier, au personnel médical, à l’entourage, au père. Beaucoup se plaignent d’avoir été très seules, et cette solitude est une réalité, dans une société qui ne propose presque aucune alternative à l’avortement ; elle correspond aussi à un transfert : pour se protéger, la femme qui a abandonné son bébé reproche à son tour aux autres de l’avoir abandonnée.

    [...] Certaines femmes diront qu’elles n’ont pas éprouvé de troubles après leur IVG : c’est un mécanisme psychique de protection, pour éviter de souffrir. La femme « s’empresse de placer sur la marmite aux souvenirs un couvercle qu’elle souhaite hermétique. Ce couvercle est tissé de justifications mentales, d’arguments construits par le système intellectuel de défense du moi, mais il ne possède aucun pouvoir sur la souffrance qu’il enferme. Le temps n’est pas un facteur de guérison, au mieux "le complice silencieux d’un masque" ». (G. Romey).

    Pour sortir de ces comportements mortifères, et s’engager à nouveau sur un chemin de vie, des associations ou des psychologues, souvent d’inspiration chrétienne, proposent un accompagnement aux femmes qui passe par la reconnaissance de leur souffrance, un travail d’anamnèse pour identifier les blessures du passé et y faire face, une demande de pardon au bébé, qui peut être nommé, un travail de réconciliation envers les autres et envers soi-même. Admettre la faute commise est le seul moyen de s’engager sur un chemin d’apaisement. Ce n’est ni un moraliste, ni un croyant qui ose l’affirmer, mais Georges Romey lui-même qui s’attarde longuement dans son livre sur le fait que la culpabilité qu’éprouvent les femmes est saine et même indispensable –si on ne s’y enferme pas- car elle ne dépend pas de « prescriptions religieuses, morales ou légales » mais de « la trahison d’une fonction essentielle du féminin : la vocation maternelle »."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Nouvelle droite, BHL, FN : la réponse de Michel Onfray à Manuel Valls

    Accusé par le Premier ministre de préférer l’intellectuel de la nouvelle droite Alain de Benoist à Bernard- Henri Lévy, Michel Onfray réagit dans FigaroVox.

     

    Manuel Valls, l’ami de BHL, perd les pédales ! Il faut bien que la situation électorale soit catastrophique Place Beauvau pour que cet homme qui côtoya Jankélévitch chez ses parents quand il était enfant délire et panique à ce point face à la Berezina qui s’annonce !

    Voici ce qu’il a dit : « Quand un philosophe connu, apprécié par beaucoup de Français, Michel Onfray, explique qu’Alain de Benoist, qui était le philosophe de la Nouvelle droite dans les années 70 et 80, qui d’une certaine manière a façonné la matrice idéologique du Front national, avec le Club de l’Horloge, le Grece, (...) au fond vaut mieux que Bernard-Henri Lévy, ça veut dire qu’on perd les repères ». Ceci a été dit sur Europe 1, I-TELE et Le Monde.

    Dans le JDD, Jean-Marie Le Guen, me dit-on, s’est lui aussi fait le perroquet de ce qui leur a probablement été fourni ce matin comme élément de langage par les jeunes gominés de leur cabinet de communicants.

    Si Fleur Pellerin, sa ministre de la culture, n’a jamais eu le temps de lire un seul roman de Modiano, Valls quant à lui n’a pas même pris le temps de lire l’entretien du Point à partir duquel il extravague. Qu’y ai-je dit ?

    La question était la suivante : « Quels sont les intellectuels de droite dont vous vous sentez le plus proche ? ». Voici ce que j’ai répondu : « Je ne me sens pas proche de BHL ou d’Alain Minc, ni de Jacques Attali qui, me dit-on, sont de gauche. Faudrait-il que je me sente proche pour cela d’intellectuels de droite ? Qui sont-ils d’ailleurs ? Concluez si vous voulez que je préfère une analyse juste d’Alain de Benoist à une analyse injuste de Minc, Attali ou BHL et que je préférais une analyse qui me paraisse juste de BHL à une analyse que je trouverais injuste d’Alain de Benoist … Les Papous vont hurler ! Mais ils ne me feront pas dire que je préfère une analyse injuste de BHL sous prétexte qu’il dit qu’il est de gauche et que Pierre Bergé, Libération, Le Monde et le Nouvel Observateur, pardon, L’Obs affirment aussi qu’il le serait… ». Les papous ont donc hurlé, jusqu’à Matignon.[...]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Nouvelle-droite-BHL-FN-la-reponse