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  • Marine Le Pen veut s’opposer à une candidature de Jean-Marie Le Pen aux régionales en PACA

    Dans une interview au Figaro publiée jeudi, Marine Le Pen assure qu’elle ne soutiendra pas la candidature de son père aux régionales en Paca :

    Je me trouve obligée, dans l’intérêt de mon pays, de prendre une décision difficile qui met en cause des liens filiaux. Mais le Front national est le seul outil d’espérance pour la France. Personne ne peut l’affaiblir et je ne laisserai personne le faire. En tout cas, pas tant que je serai présidente.

    Dans un communiqué de presse publié mercredi, Marine Le Pen avait déjà clairemement marqué ses distances avec son père :

    Jean-Marie Le Pen semble être entré dans une véritable spirale entre stratégie de la terre brûlée et suicide politique. Compte-tenu de cette situation, j’ai informé Jean-Marie Le Pen que je m’opposerai, lors du bureau politique du 17 avril prochain qui doit investir les têtes de listes pour les élections régionales, à sa candidature en Provence-Alpes-Côte d’Azur.
    Son statut de Président d’honneur ne l’autorise pas à prendre le Front National en otage, de provocations aussi grossières dont l’objectif semble être de me nuire mais qui, hélas, portent un coup très dur à tout le mouvement, à ses cadres, à ses candidats, à ses adhérents, à ses électeurs.
    C’est avec une profonde tristesse que je suis contrainte de réunir rapidement un bureau exécutif afin d’envisager avec lui les moyens de protéger au mieux les intérêts politiques du Front National.

    Pour sa part, Robert Ménard qui condamne “des propos moralement inacceptables” a réclamé une “commission de discipline” pour Jean-Marie Le Pen. Pour le maire de Béziers, “C’est peut-être l’occasion historique de mettre Jean-Marie Le Pen hors des rangs du FN”.

    Quant à Stéphane Ravier, interrogé sur les régionales ce jeudi sur les ondes d’Europe 1, il a marqué sa préférence pour Marion Maréchal-Le Pen :

    J’espère que Jean-Marie Le Pen n’ira pas jusqu’au bout et que Marion Maréchal-Le Pen sera candidate.

    pour voir les videos 

  • La CGT en perte de vitesse

    Alors que le syndicat marxiste appelle à la grève aujourd'hui, un article du Figaro pointe ses défaites électorales :

    "SNCF, La Poste ou encore la RATP. Trois grandes entreprises françaises et autant de défaites pour la CGT lors des dernières élections professionnelles. Alors certes, la CGT y est toujours la première force syndicale mais les écarts se réduisent avec ses concurrents. Ce n'est en revanche plus le cas à Air France, véritable bastion de la CGT qui y a subi un échec cuisant.Premier syndicat de la compagnie aérienne, la CGT y a non seulement perdu son trône mais a reculé jusqu'à la quatrième place, devancé par la CFE-CGC, FO et Unsa. Idem chez Orange où la CGT a subi également un revers historique.

    Michel Janva

  • Le casse-tête de la croissance

    Le monde est confronté à un dilemme majeur. Si une croissance économique rapide, comme celle des 50 dernières années, est essentielle au développement, nous savons aussi aujourd’hui qu’elle peut avoir des conséquences néfastes, en particulier pour l’environnement. Comment pouvons-nous équilibrer les impératifs de la croissance et du développement avec la nécessité de garantir la durabilité ?

    La croissance sans précédent du revenu par habitant au cours des vingt dernières années a sorti plus d’un milliard de personnes de l’extrême pauvreté. Dans les pays en développement, l’espérance de vie a augmenté de 20 ans depuis le milieu des années 1970 et le taux d’analphabétisme des adultes a été réduit de moitié environ ces 30 dernières années.

    Mais cette croissance économique rapide a exercé d’énormes pressions sur l’environnement. Elle a de plus été accompagnée d’inégalités croissantes des revenus qui ont aujourd’hui atteint des niveaux historiques dans plusieurs pays (même si entre les pays mêmes, ces inégalités se sont atténuées). Dans ce contexte, l’on pourrait défendre l’idée qu’une croissance plus lente serait bénéfique pour le monde.

    Dans ce cas, la solution est en vue. Selon un nouveau rapport publié par le McKinsey Global Institute (MGI), le vieillissement démographique et la baisse du taux de fertilité dans plusieurs régions du monde pourraient considérablement freiner la croissance mondiale au cours du prochain demi siècle.
    En fait, même si la productivité augmentait au même rythme que ces cinquante dernières années, la croissance mondiale déclinerait de 40 pour cent, soit bien en-dessous du taux de croissance anémique des cinq dernières années. La croissance de l’emploi devrait également se ralentir considérablement. En conséquence, même compte tenu du ralentissement de la croissance démographique, la croissance du revenu par habitant déclinerait de 19 pour cent environ.

    Le PIB mondial n’en serait pas moins multiplié par trois et le revenu par habitant par deux au cours des 50 prochaines années. Mais ce taux de croissance à long terme constitue une rupture avec la multiplication par six du PIB et de presque par trois du revenu par habitant ces cinquante dernières années.

    Malgré ses avantages potentiels, en particulier pour l’environnement, ce ralentissement imminent de la croissance comporte des risques importants. Si la croissance n’est pas une fin en soi, elle permet de réaliser un large éventail d’objectifs sociétaux, notamment la création de possibilités économiques et d’emploi pour des millions d’individus pauvres et vulnérables, et de fournir des biens publics, tels l’éducation, les soins de santé et les retraites.

    Comment faire en sorte que ces impératifs soient concrétisés, malgré les contraintes démographiques et environnementales ? La première étape est d’assurer une croissance économique au moyen de gains de productivité.

    La nécessaire accélération de la croissance de la productivité – de 80 pour cent pour maintenir la croissance du PIB global et de 22 pour cent pour maintenir le revenu par habitant aux taux du dernier demi siècle – paraît presque irréalisable. Mais sur la base d’études de cas dans cinq secteurs économiques, le rapport du MGI conclu que, tout en étant « un défi majeur », il est possible d’y parvenir, sans tabler sur des avancées technologiques imprévues.

    Les trois quarts de cet accroissement de la productivité pourraient provenir d’améliorations de « rattrapage ». Les pays devraient mettre en œuvre diverses mesures –  dont la modernisation du secteur du commerce de détail, la consolidation de la construction automobile dans un nombre réduit d’usines plus grandes, une meilleure efficacité des soins de santé et la réduction du gaspillage dans le conditionnement alimentaire – qui ont déjà fait leur preuve.

    Le quart restant proviendrait d’innovations technologiques, opérationnelles et commerciales – avec, par exemple, le développement de nouvelles semences pour accroître les rendements agricoles, l’utilisation de nouveaux matériaux (dont les matériaux composites de fibres de carbone) pour construire des voitures et des avions plus légers et plus solides, ou la numérisation des dossiers médicaux.

    Une autre avenue de croissance se présente avec la valorisation de l’emploi et de la productivité des femmes. Aujourd’hui, près de la moitié seulement des femmes en âge de travailler sont employées. Elles ne gagnent que les trois quarts de la rémunération des hommes à travail égal, et sont surreprésentées dans les emplois informels, temporaires et à faible productivité.

    Le MGI estime qu’une meilleure intégration des femmes à la population active pourrait se traduire par une croissance potentielle de la main d’œuvre de près de 60 pour cent au cours du prochain demi siècle.

    Pour réaliser ce potentiel, des efforts devront être consentis à la fois par  les gouvernements et les employeurs pour éradiquer les pratiques discriminatoires qui entravent l’embauche, la rétention et la promotion des femmes. Des politiques de soutien financières, fiscales et familiales seront également nécessaires pour aider les salariées à trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie de famille.

    Dans le même temps, afin d’atténuer les répercussions environnementales d’une croissance rapide constante, les pays doivent grandement améliorer l’efficacité des ressources. Le MGI et d’autres études ont identifié de nombreuses occasions de croissance, responsables au plan écologique, issues d’une utilisation plus intelligente de ressources limitées.

    Prenons par exemple l’amélioration de l’efficacité énergétique, qui pourrait réduire de moitié la demande énergétique prévue entre aujourd’hui et 2020. Comme l’a démontré la Californie – la huitième économie mondiale – des normes strictes d’efficacité énergétique peuvent être bénéfiques à la fois pour la croissance et l’emploi.

    En fait, ces politiques ont permis à la Californie de maintenir une demande énergétique constante par habitant ces trente dernières années – alors qu’elle augmentait de 50 pour cent dans le reste des États-Unis – sans compromettre la croissance.

    Il y a de très bons arguments, du point de vue des entreprises comme des consommateurs, en faveur d’une meilleure productivité des ressources puisqu’elle peut se traduire par des économies de coût substantielles. Heureusement, les politiques qui sous-tendent ces objectifs rallient une adhésion de plus en plus grande, à la fois dans les pays en développement et les pays avancés.

    Même si une plus grande participation des femmes à la vie active et une croissance de la productivité liée à une utilisation efficace des ressources permettent des taux élevés de croissance, un problème majeur persiste : l’inégalité des revenus. En fait, il n’existe pas de relation simple entre la croissance et l’inégalité des revenus ; les inégalités vont croissants à la fois dans les économies développées à faible croissance et dans les économies émergentes à croissance rapide.

    Selon l’économiste Français Thomas Pikkety, l’inégalité des revenus augmente lorsque le rendement du capital excède la croissance économique, signifiant qu’une croissance économique plus rapide réduirait de manière inhérente les inégalités. Utilisant une autre approche, des économistes du Fonds monétaire international trouvent également une relation positive entre une moindre inégalité des revenus et une croissance plus rapide, concluant qu’une politique de redistribution des revenus peut encourager une croissance plus rapide et plus durable.

    La croissance reste importante. Alors que le vent arrière démographique se transforme en un vent contraire et que les problèmes environnementaux sont chaque jour plus évidents, les entreprises et les gouvernements doivent soigneusement réfléchir à la manière d’améliorer l’efficacité des ressources tout en encourageant une croissance économique plus inclusive.

    Project Syndicate

    http://fortune.fdesouche.com/379763-le-casse-tete-de-la-croissance#more-379763

  • Irak: l’opération de libération d’alAnabar a commencé..

    Baptisée «la grande opération de libération d’Al-Anbar», la libération d'al-Anbar a bel et bien commencé, enregistrant au cours de son premier jour, la libération de deux régions , a rapporté la chaine satellitaire iranienne alAlam.

    Le Président du Conseil provincial d’Al-Anbar, Sabah al-Karhout, a annoncé, que "les forces armées irakiennes et les tribus ont réussi à libérer deux régions, dans l’Est d’Al-Ramadi".

    Dans un entretien avec le site d'information irakien, Al-Sumariya News, il a souligné : «après le lancement de la grande opération militaire pour la libération d’Al-Anbar, les forces de sécurité, ont réussi à libérer des mains de Daesh, les régions d’Al-Sajjariya et d’Al-Falahat, situées dans l’Est d’Al-Ramadi».

    Et d'ajouter : "lors de cette opération, des dizaines de terroristes takfiristes ont été tués et blessés et les forces de sécurité poursuient leur opération, jusqu’à la libération entière de la province d’Al-Anbar".

    Cette opération, a débuté, ce mercredi, avec plus de dix mille forces tribales qui coopèrent avec les forces armées irakiennes.

    Selon alAlam, , citant un de chefs tribaux, Azhar almollah Khodr, " les forces irakiennes avançent sur deux axes pour la libération de la région alHamadiyah, à l'est d'al-Ramadi".

    Khodr a affirmé que "le premier axe est le pont alyabane et le second axe est Nazim altherthar."

    Pour sa part, le commandant de l’opération d’Al-Anbar , Qassem Al-Mohammadi, a confirmé que " cette opération a commencé de la région d’Al-Sajjariya et se poursuivra jusqu’à la libération complète de la province d’Al-Anbar, ajoutant que " les forces armées sont résolues à chasser les terroristes d’Al-Anbar et à la nettoyer de la présence des daechistes », a affirmé Qassem Al-Mohammadi.

    La chaîne d’information Al-Mayadeen a annoncé que "les forces de sécurité, les tribus en Irak avaient libéré deux régions dans l’Est d’Al-Ramadi, dans le cadre de la grande opération d’Al-Anbar".

    Azal al-Fahdawi, membre du Conseil provincial d’Al-Anbar a déclaré, que "la mise en condition de combat et l'armement de 10 mille forces nomades et tribales ont débuté et participeront dans la libération de la province d’Al-Anbar d du groupe terroriste de Daech, aux côtés des forces de sécurité irakiennes.

    "L’armée irakienne a commencé, aujourd’hui, dans la base d’Al-Habbaniyah à armer 10 mille combattants nomades, sous forme de forces volontaires populaires dans la province d’Al-Anbar » a indiqué ce membre du Conseil provincial d’Al-Anbar. L’armée irakienne fournit des armes légères et semi-lourdes, des munitions et d'autres équipements à la disposition des forces volontaires.

    Le Premier ministre irakien, Haïdar al-Abadi, s’est rendu dans cette province en vue d’examiner de près le processus de cette opération et de s’entretenir avec les commandants sur place .

    source : Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuklVuFuVAQzrRvEPz.shtml

  • Soutien à Nouvelles de France, attaqué en justice par une ex-Femen

    La tribune de Guillaume de Thieulloy, directeur de la publication de Nouvelles de France :

    "L’ex Femen Eloïse Bouton, peu satisfaite de l’article qu’Eric Martin a publié ici, m’a demandé la publication d’un droit de réponse.

    Tenant de façon sourcilleuse à ma liberté d’expression, il me semble que la moindre des choses est de publier les droits de réponse de ceux qui sont en désaccord avec nous. Je ne crois pas que Mademoiselle Bouton ait besoin de Nouvelles de France pour diffuser son point de vue, mais nous avons donc publié bien volontiers ledit droit de réponse ici.

    Cela n’a, semble-t-il, pas eu l’heur de suffire à la demoiselle qui me fait citer à comparaître devant les tribunaux.
    Elle pense sans doute qu’avec l’immense soutien médiatique dont son groupuscule anti-chrétien fait l’objet, elle ne fera qu’une bouchée de notre petit blogue.

    Il est bien certain que les forces ne sont pas vraiment équilibrées, mais je puis tout de même lui annoncer que nous ne laisserons pas censurer sans résistance.

    Je n’oublie certes pas que, lors de la profanation de Notre-Dame, les compagnes de Mademoiselle Bouton ont été relaxées, tandis que les gardiens de la cathédrale, qui n’avaient fait que leur devoir, ont été condamnés. Mais elle peut compter sur moi pour me battre pour notre liberté de parole et pour notre droit d’être chrétiens, dans notre propre pays, sans être insultés par des harpies.

    Et si, comme moi, vous pensez qu’il y a une incroyable inversion à ce qu’une personne qui a participé à plusieurs « happenings » anti-chrétiens, au mépris de la loi française, saisisse la justice pour faire condamner un blogue qui n’a que le tort de dénoncer ces agissements et cette impunité, aidez-moi à résister :

    1) Signez vite – et faites signer largement – notre campagne : « Ras-le-bol de l’impunité des Femens ! »

    2) Et aidez-moi à financer la défense de notre petit blogue. Il est clair que Mademoiselle Bouton veut nous faire taire, soit en nous contraignant à l’auto-censure apeurée (mais, là, c’est mal parti), soit en nous contraignant à engager de lourds frais pour assurer notre défense.

    Mais il y en a marre qu’une minorité tapageuse contraigne ainsi la majorité silencieuse à raser les murs! Non, nous ne nous tairons pas. Et, oui, nous considérons toujours que l’impunité des Femen est un scandale – dont le gouvernement fanatiquement anti-chrétien que nous subissons est le premier responsable."

    Louise Tudy

  • Bruno Gollnicsh Ma seule boussole est celle de la persévérance dans notre combat politique

    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch

    Attaché comme je l’ai toujours prouvé à l’unité de notre mouvement, je ne souhaite pas participer à des polémiques sur des sujets qui sèment la division, dont la plupart des commentateurs n’ont au mieux qu’une connaissance livresque, et dont la discussion est de surcroît judiciairement interdite par l’effet pervers de législations liberticides.

    L’actualité politique, économique, sociale ou « sociétale» fournit un nombre plus important de sujets en phase avec les préoccupations de nos compatriotes, et en lien avec le mandat parlementaire que j’exerce.

    Le respect de la discipline de notre mouvement, la légitime et fructueuse direction de sa présidente, l’accueil de personnalités de qualité venant d’autres horizons doctrinaux me paraissent pouvoir être compatibles avec la liberté d’expression de Jean-Marie Le Pen, à qui nous devons l’existence même du Front National et sa progression au milieu de tant d’épreuves passées.

    Il n’y a aucune raison de sacrifier quelque composante de notre mouvement que ce soit en raison d’une diabolisation artificiellement entretenue, ni de maintenir un climat de tension que chercheraient à nous imposer nos adversaires, responsables du terrifiant déclin de notre pays.

    Ma seule boussole est celle de la persévérance dans notre combat politique, avec tous les patriotes sincères, qui, dans leurs différences, voire leurs oppositions passées, sont les bienvenus sur ce qui nous unit : la défense de la France et des Français d’abord.

    http://gollnisch.com/2015/04/08/seule-boussole-perseverance-combat-politique/

  • Immigration : entre duplicité et aveuglement gouvernemental

    Tandis que le FN semble mettre la question de l’immigration – pourtant constitutive de son ADN idéologique – en sourdine, au profit de thématiques plus économiques, souverainistes ou laïcistes, le gouvernement s’en empare comme pour montrer qu’il a entendu le verdict des urnes.

    Depuis trente ans, les socialistes et l’immigration, c’est un peu l’histoire tristement comique du pompier pyromane qui participe à l’enquête sur ses propres incendies. Au regard de l’état considérablement avancé de submersion de notre pays par des vagues incessantes de migrants extra-européens, inverser la tendance revient à essayer de vider la mer avec une cuillère.

    Alors que l’Union européenne est confrontée à une augmentation sans précédent du nombre de franchissements clandestins à ses frontières par rapport à la même période en 2014 (180 % contre 250 % aujourd’hui !), le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a exhorté la préfectorale à faire preuve de fermeté dans la lutte contre l’immigration irrégulière. Dans une note confidentielle datée du 26 mars dernier, le ministre affiche son apparente fermeté : « Aucun déséquilibre ou relâchement de l’action de l’État en la matière ne saurait être toléré », les préfets étant même invités à « recourir beaucoup plus fréquemment aux interdictions de retour sur le territoire français ».

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  • Le sénateur-maire UMP de Woippy d’accord pour doubler le nombre de mosquées

    Lu ici :

    "François Grosdidier, sénateur-maire UMP de Woippy en Moselle, a assuré sur BFM-TV lundi qu’il était d’accord pour doubler le nombre de mosquées en France, comme le demande le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) Dalil Boubakeur (...)

    La ville de Woippy a été la première en France à financer une moquée. Le concordat d’Alsace-Moselle qui s’applique dans la ville de François Grosdidier ne sépare pas l’Etat et les cultes catholiques, protestants et  israélites. Comme la loi de 1905 ne s’applique pas, les élus peuvent financer les cultes dont le culte musulman. «Quand je suis arrivé à la mairie, en 2001, les musulmans disposaient d’une petite pharmacie d’une capacité de 50 ou 60 places, qu’ils avaient achetée» affirme M. Grosdidier. Une capacité très insuffisante, sachant que les fidèles de l’islam représentent 45% des 14 000 habitants de la commune.

    Le coût pour la commune : 3 millions d’euros (...) Depuis août 2008, 1 200 fidèles peuvent quotidiennement prier dans une salle adaptée située dans un quartier de Woippy. L’élu de Moselle s’est d’ailleurs battu lorsqu’il était député pour faire reconnaître la religion musulmane dans le concordat d’Alsace-Moselle (...)

    Philippe Carhon  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html