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  • Hallucinant : Project PHEME. L’Europe finance un projet informatique de censure globale !

    C’est un article du Parisien intitulé « Des chercheurs veulent passer les réseaux sociaux au détecteur de mensonges » qui vend la mèche du dernier gros projet informatique financé par l’Union Européenne, la plus belle invention démocratique du siècle et comparable à terme à l’Union soviétique.
     
    « Des chercheurs universitaires travaillent à l’élaboration d’un système capable d’identifier automatiquement les fausses informations qui se répandent comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. » 
     
    « Les réseaux sociaux sont une mine d’or en termes d’informations et d’expressions citoyennes pertinentes mais peuvent aussi être utilisés pour répandre des rumeurs. Pour faire le tri, des chercheurs planchent sur une sorte de «détecteur de mensonges» actif sur Twitter ou encore Facebook. Un projet ambitieux qui, selon le New York Times, pourrait se concrétiser dans dix-huit mois. » 
     
    « Ce programme de «fact cheking» (vérification des faits en direct) automatique, baptisé «Pheme», devrait pouvoir identifier la fiabilité des sources des informations communiquées grâce à un algorithme complexe. Un travail titanesque que coordonne la faculté de Sheffield, dans le nord de l’Angleterre, avec quatre autres universités et quatre entreprises. Financé par l’Union européenne, ce projet est mené sur trois ans. » 
     
    « Selon la directrice de l’étude, Kalina Bontcheva, l’objectif est de vérifier en temps réel les informations pour permettre aux gouvernements, services de secours, médias et entreprises de répondre plus efficacement à des rumeurs infondées. 
    Le projet doit identifier quatre types d’informations peu fiables : les spéculations, la controverse, la fausse information et la désinformation. Les chercheurs comptent utiliser trois facteurs pour établir la véracité des données : l’information en tant que telle, un système de vérification via des sources fiables et la diffusion de l’information. Le résultat de cette recherche pourra apparaître sur l’écran de l’utilisateur. » 
     
    Alors le côté « attention l’information que vous consultez est une rumeur »pourrait presque sembler assez inoffensif et je suis persuadé que l’on nous vend toute cette affaire comme étant un immense progrès pour la « véritable » information sur Internet, ce qui permettra de sécuriser les positions dominantes des médias traditionnels de plus en plus remis en cause par la blogosphère. 
     
    Rien n’empêchera après d’utiliser ce type de système pour bloquer des informations, bloquer des sites Web, bloquer des informations gênantes. 
     
    Ce type d’outil par son ampleur (tout le Web) et son fonctionnement en temps réel n’est rien de moins que le plus important logiciel de censure mondial. Même la Chine n’y a pas pensé. Seule l’Europe a l’esprit assez tordu pour penser et financer ce genre de projet. 
     
    Retenez bien. Projet Pheme. Internet ne sera bientôt plus libre, et lorsque vous lirez le Contrarien (si c’est encore autorisé) apparaîtra sur votre navigateur le message : « Attention ce site présent des contenus subversifs. Votre adresse IP ainsi que votre ADN ont été transmis à la police de la pensée »… signé le ministère de l’Amour.
     

  • Durée de la journée de travail au Moyen-Âge

    En matière de durée de la journée de travail, l’idée qui paraît animer les règlements du XIIIe siècle et qui se justifie par des considérations de bon sens, d’humanité et d’intérêt professionnel sainement entendu, est la suivante : il n’est ni juste, ni avantageux de surmener l’ouvrier ; la fixation de la journée de travail ne doit donc pas être abandonnée à l’arbitraire des patrons, mais doit au contraire être réglementée par les statuts de chaque corporation, conformément à l’équité et aux usages

    Cette idée admise, il restait à déterminer les limites de la journée de travail. La presque unanimité des statuts en fixe le commencement au lever du soleil ou à l’heure qui suit ce lever. Pour beaucoup de métiers, le signal précis de la reprise du travail était donné par le son de la corne annonçant la fin du guet de nuit. En revanche, le travail ne finissait pas à la même heure pour tous les métiers. Parfois, il ne se terminait qu’à la tombée de la nuit, c’est-à-dire à une heure variable selon les saisons. Parfois, au contraire, le signal de la cessation du travail était donné par la cloche de l’église voisine sonnant complies, ou par le premier crieur du soir comme pour les batteurs d’archal ou les faiseurs de clous. D’autres métiers quittaient l’ouvrage plus tôt encore, à vêpres sonnées : ainsi des boîtiers et des patenôtriers d’os et de corne.

     

    Le motif le plus souvent donné pour justifier cette limitation de la durée du travail est la crainte que la fatigue de l’ouvrier et l’insuffisance de la lumière n’exercent une influence fâcheuse sur la qualité de la fabrication. « La clarté de la nuit, dit le statut des potiers d’étain, n’est mie si souffisanz qu’ils puissent faire bone œuvre et loïal ». Mais l’intérêt de l’artisan lui même n’est évidemment pas étranger à l’adoption de cette mesure. D’après le statut des baudroiers, la limitation de la journée de travail a été instituée « pour eux reposer ; car les jours sont loncs et le métier trop pénible » (Livre des Métiers).

    Par exception, quelques rares corporations autorisent le travail de nuit (ouvriers de menues œuvres d’étain et de plomb, teinturiers, tailleurs d’images, huiliers, boursiers). Chez les foulons, le travail finissait au premier coup de vêpres (en carême, à complies), ce que les statuts expriment en disant que les valets ont leurs vesprées (leurs soirées). Mais si le maître avait métier (besoin d’eux), il pouvait les allouer par contrat spécial pour la durée de la vêprée, après s’être entendu avec eux sur le prix. Toutefois cette vêprée ne pouvait se prolonger au delà du coucher du soleil, ce qui signifie sans doute ici : jusqu’à la disparition complète du soleil. La journée ouvrable était ainsi, moyennant un salaire supplémentaire, allongée de deux ou trois heures.

    Les règles qui précèdent permettent de déterminer assez exactement la durée de la journée normale de travail dans les corps de métier. La journée, commençant presque uniformément avec le jour (ou tout au moins dans l’heure qui suivait le lever du jour) et se terminant le plus souvent au soleil couchant, sa durée était évidemment variable selon les saisons.

    Théoriquement, cette durée de la journée de travail eût dû varier d’un minimum de 8 heures 1/2 en hiver à un maximum de 16 heures en été. Mais ce maximum de 16 heures n’était jamais atteint, et le travail effectif ne devait dépasser en aucune saison 14 heures à 14 heures 1/2. En effet, les règlements ou la coutume accordaient à l’ouvrier deux repos d’une durée totale d’environ 1 heure 1/2 pour prendre son repas (chez les ouvriers tondeurs de drap, au XIVe siècle, il était accordé une demi-heure pour le déjeuner et une heure pour le dîner) ; en outre et comme il vient d’être dit, dans un grand nombre de métiers, le travail se terminait en toute saison à complies (7 heures), ou même à vêpres (4 heures du soir).

    Quelques statuts renferment des dispositions spéciales. Ainsi, les statuts des foulons du 24 juin 1467 paraissant constater un ancien usage, fixent la durée du travail en hiver à 11 heures (de 6 heures du matin à 5 heures du soir) ; et en été à 14 heures (de 5 heures du matin à 7 heures du soir) ; mais il y a lieu de déduire de cette durée au moins 1 heure 1/2 pour les repas, ce qui suppose une journée de travail effectif de 9 heures 1/2 en hiver, à 12 heures 1/2 en été. Chez les ouvriers tondeurs de drap, la journée d’abord fixée en hiver à 13 heures 1/2 avec travail de nuit fut réduite en 1284 à 9 heures 1/2 par suite de la suppression du travail de nuit ; en été, ces ouvriers commençaient et finissaient le travail avec le jour.

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  • Les deux tiers des détenus sont musulmans

    C'est Jack Lang, président de l’Institut du Monde Arabe, qui l'affirme dans un courrier à Manuel Valls (via Nouvelles de France) :

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    Michel Janva

  • Aimer la France ?

    La France, son histoire millénaire, ses façons de vivre selon les usages et habitudes de chaque région, vallées ou monts, est actuellement dans un tournant. Qui peut comprendre et accepter des lois nouvelles dont le but est de faire oublier aux Français leurs racines et leur manière de vivre ?

     

    Héritier depuis plus de mille ans de cette histoire, de cette France à laquelle nous tenons tant, je me permets de croire que la plupart des Français sont viscéralement attachés aux us et coutumes de leur terre, respectés par les Rois et condamnés à une sorte de destruction, souterrainement forte, pour que les générations à venir ne connaissent plus rien de leur identité. Actuellement, bien des gens de notre pays troublés et pervertis par des libertés annoncées ne peuvent qu’être totalement désorientés, car si on perd le sens de ce qui est dans la justesse et le chemin du devenir… qui pourrait souhaiter que ceux là, dans une liberté incontrôlée, ne se retrouvent piégés dans une cage, pseudo européenne, manipulée par des capitalistes mondialistes !

    Comme vous j’aime la France et j’ai bien des raisons de l’aimer et de tout faire dans la mesure de nos moyens, empêcher qu’elle ne soit détruite à jamais. Sous prétexte de modernité, certains semblent ne pas comprendre qu’oublier ses racines, accepter la destruction de ce qui transformerait notre pays en un carrelage sans signification, serait vouer à détruire, peut-être sans s’en rendre compte, le sens de la vie qui nous a été transmise depuis plus de mille ans.

    Depuis Clovis, la responsabilité des Rois fut toujours d’essayer d’aider ce pays que nous aimons tant à s’agrandir pour mieux se comprendre. Je ne reviendrais pas sur les événements inconséquents et terribles de la Révolution française, dont nous payons encore le coût économique et social. Mais nous pouvons souhaiter que les Français de France ou d’ailleurs comprennent l’importance d’une civilisation forte que certains voudraient voir disparaître. [....]

    La suite sur le blog du Comte de Paris

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Aimer-la-France

  • Assad s’explique sur l’impossible coopération avec la France dans le renseignement

    Dans un entretien accordé à France 2 et diffusé, lundi 20 avril, dans le journal télévisé de 20 heures, le président syrien, Bachar Al-Assad, indique que des « contacts » ont eu lieu entre les services de renseignement français et leurs homologues syriens sans préciser la date ou le nom des organes en question.

    Il précise, cependant, qu’il n’y a pas eu pour autant « de coopération ». Les conditions d’un éventuel échange d’informations entre la France et la Syrie dans la lutte antidjihadiste, a-t-il précisé, n’étaient pas réunies. La France, a-t-il expliqué, ne voulait rien donner en échange et continuait de soutenir « les terroristes » [terme employé par Damas pour désigner l’opposition modérée à son régime].

    De fait, M. Al-Assad confirme, ainsi, côté syrien, les informations du Monde, publiées le 7 octobre, révélant que la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) avait tenté, à la fin du premier trimestre 2014, de rétablir un lien direct avec les services de Damas afin d’obtenir des informations sur les djihadistes français présents en Syrie.

    Exigences inacceptables

    Le régime de Bachar Al-Assad avait répondu à ce souhait en indiquant qu’il était prêt à coopérer dès lors que la France déciderait de rouvrir son ambassade en Syrie, fermée depuis le 6 mars 2012. Cette éventualité a été rejetée par le président français, François Hollande, qui reste très engagé contre le régime de Damas tout en ayant rejoint la coalition internationale contre l’organisation Etat islamique (EI), la principale force djihadiste en Syrie, opposée tant à l’Occident qu’à Bachar Al-Assad.

    Après les attaques de janvier à Paris, les responsables des services de sécurité en France, lors de réunions interministérielles auxquelles participait l’actuel patron de la DGSI, Patrick Calvar, ont, de nouveau, mis sur la table la question de la reprise de la coopération avec la Syrie en matière de renseignement pour optimiser la lutte antidjhadiste. Mais le pouvoir politique français n’a pas modifié sa ligne de conduite. [....]

    La suite sur Le Monde

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Assad-s-explique-sur-l-impossible

  • Afrique du Sud : violences contre les immigrés africains

    La nation arc-en-ciel est-elle au bord de l’implosion ? Toujours est-il que les Sud-Africains ne veulent pas de leurs « frères noirs » chez eux. Reportage sur place de France 3.

    http://www.contre-info.com/

  • Réunion de l’ONU sur des robots capables de prendre la décision de tuer sans intervention humaine…

    Le moment approche où les armes décideront elles-mêmes de tuer. Genève a abrité la semaine dernière un débat sans précédent sur le sujet.

    Les robots se développent si vite sur les plans physique et intellectuel qu’il n’est plus temps de se demander s’ils vont se multiplier sur les champs de bataille. C’est déjà le cas.

    Il s’agit dorénavant de déterminer quel degré d’autonomie ils posséderont, et notamment s’ils pourront choisir seuls de tuer un être humain. Un débat sur la question a réuni durant cinq jours Etats et ONG, la semaine dernière à Genève, dans le cadre de la Convention sur l’interdiction ou la limitation de l’emploi de certaines armes classiques (CCAC).

    Les drones, qui ont été tant décriés ces dernières années, ne représentent qu’une ébauche des robots à venir. Ils dépendent toujours étroitement de pilotes qui, s’ils ne sont pas embarqués, n’en continuent pas moins à prendre les décisions essentielles, à commencer par celle de tirer. Les machines dont il est ici question, les « systèmes d’armes létaux autonomes » (SALA), sont beaucoup plus sophistiquées dans le sens où elles sont susceptibles de sélectionner et de frapper des cibles toutes seules. L’unique intervention humaine est leur programmation initiale.

    Les SALA s’annoncent plus performants que les drones, plus fiables et plus rapides. Ils ne dépendent plus d’opérations de télécommande et donc d’infrastructures de communication susceptibles de connaître des perturbations. Ils n’ont plus à attendre l’arrivée d’un ordre lointain, et s’émancipent du temps de réaction de l’homme, un acteur à la lenteur désespérante comparée à la vélocité des robots.

     

    Guerre entre robots

    Ce genre de systèmes automatiques existe en fait depuis de longues années dans quelques unités militaires, et il est prévu que certaines situations alarmantes déclenchent automatiquement le feu.

    Cette perspective suscite de vives inquiétudes, qui se sont abondamment exprimées à Genève. A l’instar d’autres ONG, l’International Committee for Robot Arms Control (ICRAC) assure qu’il est politiquement plus facile de mener des guerres avec des machines qu’avec des hommes et que l’usage de robots-soldats débouchera dès lors sur une multiplication des conflits. Pour la même raison, il assure que les belligérants seront moins pressés de conclure des trêves et que les hostilités risqueront de s’éterniser…

    Le président de l’ICRAC, l’informaticien irlandais Noel Sharkey, a dénoncé un autre danger. A partir du moment où un Etat se sera doté de SALA, il ne fait aucun doute selon lui que certains de ses rivaux l’imiteront, ce qui rendra possibles des affrontements entre ces « systèmes d’armes ». Or une telle interaction serait si complexe et si rapide qu’il est absolument « impossible de prédire scientifiquement » comment elle tournerait. A ses yeux, une guerre entre robots est même susceptible de se déclencher, de se mener et de s’achever avant que quelque être humain que ce soit ait le temps de réagir.

    Et le droit international ?

    Une troisième grande crainte concerne le droit de la guerre. Peut-on attendre d’un robot qu’il le respecte ? Et même s’il est programmé à cette fin, aura-t-il la capacité de procéder à certaines opérations mentales essentielles, comme celle de distinguer un combattant, qu’il est en droit de tuer, d’un non-combattant, qu’il est censé épargner ? Certaines machines sont aujourd’hui dotées d’une capacité d’observation beaucoup plus poussée que les hommes, répondent certains informaticiens. Et puis, un robot ne connaît peut-être pas la compassion mais il ignore pareillement la haine. Et certains crimes de guerre, comme le viol, lui resteront sans doute à jamais étrangers.

    Plusieurs ONG présentes à Genève militent pour que les SALA soient purement et simplement interdits, à l’image d’autres armes « inutilement cruelles » tels les mines antipersonnel ou les lasers aveuglants. Le directeur de la division armement de l’ONG américaine Human Rights Watch, Steve Goose, a ainsi proposé que les Etats parties à la CCAC nomment lors de leur prochaine conférence, en novembre, un comité d’experts chargé d’organiser dans les plus brefs délais des négociations visant à la prohibition des « robots tueurs ».

    Cet appel a peu de chances d’être suivi cependant. De nombreux Etats souhaitent poursuivre l’étude du dossier, afin d’en avoir une vision plus détaillée et de trancher au cas par cas. Et puis, beaucoup considèrent que le droit international humanitaire constitue la référence essentielle dans le débat. De ce point de vue, les SALA capables de le respecter n’ont pas à être interdits…

    Source

    http://www.contre-info.com/reunion-de-lonu-sur-des-robots-capable-de-prendre-la-decision-de-tuer-sans-intervention-humaine#more-37614

  • Fraction - Nuits blanches