Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Manifestation contre la vente d'enfants par GPA

    Ludovine de La Rochère interrogée :

    Image1

    La manifestation :

    Image1-2

    Le discours de Ludovine :

    Image1-3

    Image1-4

    Devant le palais de justice :

    Suite et fin ici :

  • Cinq ans après l’apéro saucisson-pinard, c’est ramadan

    Source : Boulevard Voltaire
    Comment mieux résumer le choc civilisationnel que constituent ces deux symboles totalement antagoniques ?

    Il y a 5 ans, toute la caste médiatique était en émoi devant « une insupportable provocation ». Des républicains jacobins venus de la gauche avaient osé s’allier avec des identitaires régionalistes venus de la droite de la droite, pour boire du vin et manger du cochon dans le quartier islamisé de la Goutte-d’Or !

    Encore plus intolérable, ils signifiaient que, soixante-dix ans plus tôt, autour du général de Gaulle, des personnes issues d’horizons politiques tout aussi différents que ceux de Riposte laïque ou des Identitaires s’étaient regroupées pour sauver la France.

    Le succès médiatique de l’apéro saucisson-pinard fut énorme. Le préfet interdira l’initiative à Barbès, pour risque de troubles à l’ordre public, des gauchistes et des musulmans ayant fait savoir qu’ils réserveraient un mauvais sort aux participants s’ils osaient venir.

    Nous avions donc fait le choix de nous replier sur les Champs-Élysées, devant un autre lieu symbolique : la plaque du 11 novembre 1940, célébrant une marche d’étudiants parisiens défiant courageusement l’occupant nazi.

    Les patriotes avaient répondu en nombre à cet appel. Un millier de manifestants s’étaient retrouvés, ravis de communier, en ce jour historique, autour de symboles incarnant notre mode de vie.

     

    L’apéro saucisson-pinard s’était terminé à 20 heures. Deux heures plus tard, un autre monde occupait les Champs-Élysées : celui de milliers de supporters de football algériens, klaxons hurlants, drapeaux déployés, arrogants et menaçants. Un impressionnant dispositif policier avait été déployé, pour éviter les actes de vandalisme qui se multipliaient partout à chaque match impliquant l’Algérie.

    Cinq ans jour pour jour après l’initiative de l’apéro saucisson-pinard, qui a fortement marqué les esprits, c’est le début du ramadan. Comment mieux résumer le choc civilisationnel que constituent ces deux symboles totalement antagoniques ?

    L’apéro saucisson-pinard, c’était le rassemblement des Français de tous âges, hommes ou femmes frondeurs et rebelles, épris de liberté, capables de se chamailler sur plein de sujets, mais unis dans l’amour de la France et la défense de son mode de vie, que de nouveaux venus lui contestent.

    Le ramadan, c’est d’abord un obscurantisme inadapté à un pays occidental du XXIe siècle. C’est une gigantesque hypocrisie, contraignant des individus à ne pas manger, ni boire, ni avoir de rapports sexuels, durant un mois, du matin au soir, avant de se goinfrer la nuit. C’est surtout un flicage social exercé par la communauté sur les moins pratiquants d’entre eux.

    L’Institut des études sociales sur le monde arabe a révélé que pendant le ramadan, dans les pays musulmans de l’Afrique du Nord, les crimes sont multipliés par 1,5, les accidents de la route et les vols par trois, la prostitution augmente de 216,40 %, les maladies de la tension, de diabète et de cholestérol de 27,56 %.

    À la RATP, au dépôt de Nanterre, la direction reconnaissait que le mois du ramadan s’était traduit en 2014 par 26,5 % d’arrêts maladie supplémentaires, 137,5 % d’accidents de travail en plus, et 48 services non couverts.

    L’avocat niçois Olivier Arnaubec vient de publier une fiction 2023 Le Mur, où il imagine une France séparée en deux par un mur de 700 kilomètres de long et 7 mètres de haut. Au sud, une République française islamique, au nord, une République laïque où l’islam est interdit.

    Un mur, c’est réellement ce qui sépare ceux qui participaient à l’apéro saucisson-pinard, il y a 5 ans, mais aussi les 74 % de Français qui jugent l’islam incompatible avec notre pays, et les 70 % de musulmans qui vont nous imposer leur ramadan, trente jours durant.

    Pierre Cassen

    http://fr.novopress.info/189436/cinq-ans-apres-lapero-saucisson-pinard-cest-ramadan/#more-189436

  • HILLARY CLINTON, UNE MONDIALISTE MILITANTE

    Éradiquer les identités culturelles

    Michel Lhomme 

    Ex: http://metamag.fr

    Hillary Clinton débutant sa campagne électorale pour les présidentielles américaines a affirmé que « les codes culturels profondément enracinés, les croyances religieuses et les phobies structurelles doivent être modifiées. Les gouvernements doivent utiliser leurs moyens de contrainte pour redéfinir les dogmes religieux traditionnels». Cette déclaration citée par Auran Derien dans un article de METAMAG, avait été annoncée par le quotidien El Manifestio.com, sous le titre « Hillary Clinton contre les identités culturelles et religieuses ». 

    La déclaration d'Hillary Clinton confirme ce que de nombreuses plumes dissidentes affirmaient depuis longtemps, à savoir que le gouvernement mondial ou ce que d'aucuns appelleraient les forces du capitalisme ont un plan qui passe par l'extinction planifiée des identités culturelles et de tout ce qui est traditionnel.

    Cette thèse qui a amené beaucoup d'entre nous à prendre conscience depuis quelques années du double jeu de l'idéologie officielle antiraciste est aussi celle qui a justifié dans les années 80 notre détachement du mouvement altermondialiste pro-immigrée, dans le style de la revue ''multitude''. 

    Avec la déclaration sincère - nous n'en doutons pas un instant ! - d'Hillary Clinton, nous comprenons à la lettre l'expression du ''grand remplacement'' de Renaud Camus et cette expression qui vise bien un programme politique délibéré, à la logique réfléchie et préparée en coulisses.

    Les déclarations d'Hillary Clinton révèlent la finalité proprement totalitaire du système mis en place, celui du mondialisme politique dont se réclame toute notre classe politique. Il s'agit bien d'éradiquer les identités culturelles et surtout de déraciner, de couper l'herbe sous le pied de la Tradition.

    En somme, les plus traditionnalistes et les plus conservateurs de nos penseurs (Schmitt, Kelsen, Evola, Gomez Davila, Alain de Benoist) ont eu raison de nous prévenir. La finalité de l'hyper-modernité est l'éradication de toute identité culturelle spécifique au nom de la consommation. Pour cela, effectivement, il n'est plus besoin d'aller à l'école ou d'apprendre l'histoire. Il suffira de réciter les mémoires sélectives des vainqueurs ou les épopées des bien-pensants.

    Ainsi, pour le programme mondialiste, les cultures, quels que soient leur espace géographique et leur singularité temporelle, doivent se plier à la consommation mercantile, au matérialisme de la technique et aux valeurs démocratiques sous peine d'être absorbées par la coercition totalitaire de la bonne gouvernance. 

    La candidate Clinton a été claire : ou les Traditions se soumettent et nous les y obligeront, ou les identités culturelles se dissolvent dans la masse des consommateurs et des cartes de crédit ou nous les annihileront. 

    Toute identité culturelle est invitée à se réformer ou à disparaître dans les temps nouveaux de la ''globalisation'' et du ''monde unique'', celui de l'hégémonie libérale et atlantiste. 

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Migrants : la Hongrie érige un mur, l’Union européenne lambine

    Deux chiffres suffisent à résumer le problème : en 2012, environ 2.000 clandestins étaient entrés en Hongrie. En 2015, ils sont 54.000, rien que depuis janvier. Elle est, après la Suède, le deuxième pays de l’Union européenne qui accueille le plus de migrants proportionnellement à sa population. 95 % d’entre eux pénètrent via la Serbie ; 75 % sont originaires de Syrie, d’Irak et d’Afghanistan. Quelques milliers de Kosovars fuient également la crise économique. Pour endiguer au plus vite ce déferlement, le Premier ministre Viktor Orbán a choisi un traitement de choc : la construction d’un mur de 4 m de haut sur 175 km à la frontière serbe. « Une réponse commune de l’Union européenne à ce défi prend trop de temps et la Hongrie ne peut plus attendre. Elle doit agir », explique son ministre des Affaires étrangères, Péter Szijjártó. Les travaux préparatoires, d’ores et déjà lancés, seront bouclés le 24 juin.

    Stupeur du Premier ministre serbe, Aleksandar Vučić, qui se déclare « surpris et choqué » par l’annonce de Budapest : « La solution n’est pas de dresser des murs. La Serbie ne peut pas être responsable de la situation créée par les migrants, nous ne sommes qu’un pays de transit […]. Nous leur fournissons de l’aide, de la nourriture, mais ces gens ne veulent pas rester en Serbie, ils sont de passage », ajoute-t-il, visiblement guère enthousiaste à l’idée de récupérer la patate chaude. « Cette décision ne contrevient à aucun traité international, d’autres pays ont opté pour la même solution », rétorque Péter Szijjártó. La Bulgarie prévoit d’ailleurs de prolonger de 82 km la clôture de barbelés qu’elle a installée fin 2013 à la frontière turque.

    Lire la suite

  • A lire : les racines marxistes de l’écologie contemporaine

    Le Pape François vient de publier une encyclique sur l’écologie qui fait déjà grand bruit tant elle serait alignée sur l’écologisme ambiant… Sans rentrer dans le débat propre à cette encyclique avant même de l’avoir lue, il est intéressant de se pencher sur le sujet de l’écologie tel qu’il est défendu aujourd’hui par tous les « grands » qui se réuniront en décembre prochain à Paris pour une conférence internationale sur le climat.

    Vivien Hoch publie un texte sur Nouvelles de France, pour déceler l’idéologie qui se cache en réalité derrière la propagande écologiste, qui a, peu à peu, transformé la noble « écologie » en « écologisme ». Le texte est un peu long, mais sa lecture est vraiment éclairante sur un sujet vecteur de totalitarisme, et profondément anti-chrétien.

    L’instrumentalisation marxienne de l’écologie
    La première chose à remarquer, c’est que la recherche d’une relation à la nature qui serait indépendante de la médiation par la marchandise est un élément fondamental de la critique « culturelle » du capitalisme héritée du marxisme (Pierre Charbonnier, « De l’écologie à l’écologisme de Marx », Tracés 1/2012 (n° 22) , p. 153-165).

    On lit, chez les marxistes, ou plutôt marxiens, que Marx « a proposé une lecture puissante de la principale crise écologique de son époque, à savoir le problème de la fertilité des sols dans l’agriculture capitaliste » (John Bellamy Foster, Marx écologiste, 2011, p. 43). Le même problème qui est soulevé, par exemple, à propos du TAFTA, le fameux Traité Transantlantique, qui, selon les mythes, décomplexerait totalement un usage ultra-libéral de la terre, à coups de pesticides non homologés ou d’immenses entreprises broyeuses d’hommes.

     

    Attention. Derrière le concept à la mode de « développement durable », se tapit l’influence de l’administration, de l’État et des collectivismes de tout genre. C’est chez Marx que se trouve la définition la plus claire du dévelopement durable, notre bon Karl cherchant « les fondements d’un matérialisme historico-environnemental prenant en compte la coévolution de la nature et de la société humaine. » (Marx écologiste, 2011, p. 43).

    Mais Marx n’avait que faire de l’écologie, au sens contemporain. Le bon Karl, en effet, se souciait surtout du développement des engrais synthétiques, à partir des années 1840, qui faisait définitivement passer l’agriculture au stade industriel, et de l’accroissement de la course aux engrais naturels. La seule chose qui l’intéresse, au fond, c’est la logique des flux matériels qui sous-tendent l’économie capitaliste.

    C’est évident : Marx instrumentalise l’écologie, la question de la terre et de son utilisation, à des fins uniquement critiques et afin d’illustrer sa théorie de la lutte des classes, de l’exploitation industrielle des méchants riches envers les pauvres prolétaires et de l’aliénation qui en découle. Si vous lisez Juan Martinez-Alier (1987), par exemple, vous saisirez comment les tentatives de reconstruire les liens entre l’économie écologique et l’héritage du matérialisme historique ont pu se développer.

    Le « développement durable » n’est, souvent, rien d’autre que l’occasion pour l’État d’exercer sa mainmise normative et administratives sur des propriétés privées ou des forces de production qui échappaient en partie, avant l’écologisme, à son contrôle. Il s’agit aussi, pour les collectivités publiques, de construire avec des normes de plus en plus complexes, comme si les individus n’avaient aucune conscience du « durable » et du « respecteux ». C’est le nom qui recouvre des milliers de « comités publics », de « réunions », de conventions, de normes, de directives, d’amendements : autant de contrôles que l’État ou les collectivités veulent exercer sur les individus et les entreprises.

    Le malthusianisme de certaines « écologies humaines » ou « intégrales »
    De même que l’écologie politique, ou l’économie écologique, cachent souvent une idéologie marxiste, la nouvelle propension des catholiques à s’intéresser à l’ « écologie intégrale » ou à « l’écologie humaine » cache lui aussi, bien souvent, une idéologie : une sorte de malthusianisme post-moderne. Il se définit très simplement : décroissez, mes enfants ; ou, comme a pu le dire le pape François : « ne copulez pas comme des lapins ». Cette méfiance à l’égard du potentiel de développement humain, couplé à la critique de l’utilisation économique de la nature, se rapproche à de nombreux égards de la critique marxiste de l’économie capitaliste.

    Il ne s’agit pas pour nous de nier le pressant besoin de formuler une doctrine saine du corps et de la chair, que l’on peut trouver dans les fructueuses théologies du corps par exemples, ni de nier la nécessicité philosophique qui consisterait à mettre en place les conditions de possibilité d’une véritable logique de l’οἶκος, de l’habiter et du demeurer. Il s’agit de faire un travail archéologique, à la manière de Michel Foucault et de Nietzsche : dénoncer la logique post-marxiste qui sous-tend les développements actuels de l’ « écologie intégrale » ou de l’ « écologie humaine ».

    Ses partisans ne semblent vouloir, au fond, que mettre en exergue la menace environnementale représentée par le « capitalisme » ou l’ « ultra-libéralisme ». Ils sont encore enfermés dans de vieux schémas dialectiques, désuets et absconts. Les mondialisations que nous vivont sont pour eux subies, alors qu’elles doivent constituer le socle sur lequel se propulser vers l’avant. Ils ont abandonné toute idée de progrès – si néfaste a-t-elle pu être dans l’histoire, ou si instrumentalisée est-elle encore aujourd’hui, et toute idée de liberté : l’homme est si mauvais, affirment-ils, qu’il ne peut que rentrer dans une logique de destruction de son environnement, de son corps et de son patrimoine : l’homme casse son οἶκος, sa « maison », pour la revendre à petit bout. Mais quelle idée ont-ils de l’homme ? Quel espoir ont-ils encore en lui ?

    Seule une « prise de conscience » des enjeux écologiques et humains pourra faire sortir l’homme de cette logique mortifère, affirment-ils. Il faut « moraliser » l’homme, « moraliser » le capitalisme, « réguler » le marché : en un mot, il faut faut imposer des règles strictes. Ils ne voient pas que cette prise de conscience ne peut avoir lieu que de manière libre, sans le concours de l’État, sans le concours d’une collectivité oppressante, et sans le caractère dirigiste d’une économie non libérale. Ce n’est pas en introduisant une coupure nette entre l’éco-nomie et l’éco-logie que leurs buts seront atteints ; bien au contraire, c’est en produisant une économie (gestion) de l’environnement (habitat) que l’un pourra, par mode d’inclusion, s’adjoindre les services de l’autre et travailler ensemble. Ni la liberté, ni l’économie ne sont contre l’écologie : elles en sont leur plus précieux alliés. Que ces quelques propos puissent ouvrir à d’autres débats futurs.

    L’écologisme mérite-t-il une bonne guerre ?
    Au fond, les marxistes, marxiens, collectivistes, malthusianistes et post-modernes ne roulent, consciemment ou inconsciemment, que pour une seule logique : celle de la guerre. L’éditorialiste Jean-Marc Vittori dans Les Échos est le plus clair sur ce point :

    « C’est ici qu’il faudrait une bonne guerre. Car pour financer un conflit, il faut toujours s’évader des règles ordinaires, faire des choix difficiles, transcender les oppositions. (…) Cette guerre, c’est logiquement le combat pour la planète, pour préserver l’existence de notre espèce, contre les dérèglements climatiques.[…] » (à lire, un commentaire cynique  sur Contrepoints).

    Suivant cette logique, le seul moyen de sauver l’humanité c’est l’instauration d’une dictature planétaire qui « normaliserait », « moraliserait » et « dirigerait » les actions humaines afin qu’elles respectent (enfin !) la nature.

    Encore une fois, c’est la logique de la dialectique des classes qui sous-tend cette idée : celle de la lutte permanente des opprimés (la nature, les oiseaux, le peuple) contre les oppresseurs (les pays riches, les industriels, la finance), qui ne pourra se régler que par une révolution (l’écologisme, l’écologie humaine) afin d’aboutir au monde parfait (l’internationale, pour l’ecologie politique, ou l’homme bien élevé, pour l’écologie humaine). Or on ne possède pas l’homme, non plus que l’homme se possède lui-même. L’homme construit et se construit, désire et se désire, et ne peut atteindre à une concience de soi et de son environnement que par lui-même. Pour que l’homme se respecte et respecte son environnement, il n’y a qu’un seul moyen : lui laisser une subsidiarité intégrale dans ses choix de vie.

    ***

    L’écologie, évidemment, c’est une morale, un tact, une vertu, garantissant la bonne maîtrise de la nature, quand elle n’est pas instrumentalisée par des idéologies né-marxistes, qui voient dans la nature le champ de bataille entre les méchants exploitants et les gentils exploités.

    L’écologie, évidemment, c’est le souci de soi, le soin de l’âme (Jan Patočka), le fait d’habiter et de demeurer ; c’est la logique de l’οἶκος, de la maison et du patrimoine. Mais ce n’est pas l’abandon de soi, la dépossession de ses désirs, de sa volonté de réussir, de perservérer, et même de calculer ce qui, pour soi, nous semble le meilleur.

    L’écologie est si noble, si vertueuse et si indispensable qu’elle ne peut pas faire l’objet d’une instrumentalisation, consciente ou inconsciente, à des fins de propagande pour mettre en place un « monde nouveau » basé sur le contrôle étatique des ressources, l’amoindrissement des libertés ou encore une « moralisation » normative de l’homme. Pour remplir tout à fait sa mission de science et de vertu, l’écologie a besoin de reposer sur une nature, qui, dans sa complexité, dans son caractère indéniablement concupiscent et dans son mystère profond, est celle de l’homme libre.

    http://www.contre-info.com/a-lire-les-racines-marxistes-de-lecologie-contemporaine#more-38386