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  • Enquête sur la mort de Clément Méric : la justice désavoue Manuel Valls

    Après la mort du militant antifasciste Clément Méric, le 5 juin 2013 à Paris, Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait dénoncé un « assassinat », c’est-à-dire un meurtre avec préméditation. L’enquête judiciaire, qui s’est récemment achevée, pulvérise la thèse de l’actuel premier ministre.

    Selon l’AFP, qui a pris connaissance des conclusions de la justice – et des zones d’ombre qui demeurent –, « les juges d’instruction se sont orientés vers la thèse d’une bagarre qui tourne au drame » et ont « écarté une intention de tuer ». Le scénario du drame a pu être en partie reconstitué et « selon plusieurs témoins, les invectives [sont parties] des militants d’extrême gauche » !

    De même, l’utilisation des poings américains n’est pas avérée. Toujours selon l’AFP, « les expertises médicales n’ont pas aidé à y voir plus clair. Selon l’une d’elles, les blessures constatées chez les antifascistes, dont Clément Méric, “ne sont pas évocatrices et en faveur de coups portés avec un “poing américain“. »

    A ce stade, quatre personnes demeurent cependant mises en examen, dont deux encourent la cour d’assises, mais « la fin de l’enquête judiciaire ouvre un délai théorique de trois mois durant lequel les parties peuvent faire des observations ou demander de nouveaux actes d’enquête. Ensuite, il appartiendra au parquet de Paris de prendre ses réquisitions, avant la décision des juges d’instruction de renvoyer ou non les protagonistes en procès ».

    L’Agence France Presse ajoute aussi cet élément qui éclaire un peu plus les violences d’extrême gauche : « Signe des tensions récurrentes entre ces militants, l’un des skinheads mis en examen avait été violemment agressé le 12 avril 2015 dans le XIIIe arrondissement de Paris. Un jeune homme et une jeune femme, proches de la mouvance antifasciste, ont été mis en examen pour cette agression, à coups de planche, visiblement préparée. » La préméditation n’était décidément pas là où Manuel Valls prétendait l’avoir vue…

    http://fr.novopress.info/

  • «Ni moujiks ni peaux-rouges» – Entretien avec Jeune Nation de 1982

    Jeune Nation Solidariste : Pierre Sidos, vous êtes, je crois, issu d’une famille du Roussillon qui a toujours été au premier rang au premier rang et de tradition bonapartiste. Vous avez dans votre jeunesse milité dans les rangs du Francisme. Quelle contribution actuelle pensez-vous que cette tradition de lutte apporte au nationalisme populaire français d’aujourd’hui ?Pierre Sidos : Ma famille paternelle est issue -comme celle de Robert Brasillach, avec laquelle existe un lien de parenté – des environs de Perpignan, chef-lieu du pays catalan français. D’où le nom patronymique qui, chose curieuse, signifie «la Paix» en langue celtique. La tradition bonapartiste (dans le sens de la IVème dynastie française) provient plus précisément du côté maternel. Tout jeune homme j’ai porté la chemise bleu-horizon de la Jeunesse Franciste, formation de scoutisme politique agréée par le Secrétariat d’État à la Jeunesse de l’État français d’alors. Sans discontinuité depuis, j’ai respecté mon juvénile engagement solennel de combattre sans répit les ennemis de notre nation et de notre civilisation.
    Une telle tradition apporte aux lutte populaires nationalistes actuelles la garantie d’une expérience continue exceptionnelle et d’une fidélité exemplaire constante.
    J.N.S. : Fondateur du Mouvement «Jeune Nation» en 1949 vous fûtes l’un des chefs historiques du combat pour l’Algérie française. Bien sûr, aujourd’hui, la situation est entièrement différente puisqu’il ne s’agit plus de maintenir notre rôle de colonisateur, mais au contraire d’abolir notre situation du colonisés. Pensez-vous que sur ce terrain nous puissions être maintenant solidaires du Tiers Monde ?

    P.S. : J’ai fondé «La Jeune Nation» en 1949, devenue le Mouvement Jeune Nation en 1954. J’étais le directeur du journal «Jeune Nation» pendant la période politique cruciale de la dernière partie du conflit algérien. Il s’agissait de maintenir notre patrimoine historique et de préserver notre indépendance énergétique. Dans ce combat mené par nous avec clairvoyance, marqué par une répression rigoureuse, nous n’avons été ni aidé ni compris par ceux qui détenaient les moyens en métropole et en Algérie. Notre but à nous était d’associer, non de dominer, d’avancer et pas de piétiner. Il est arrivé ce qui n’aurait pas dû arriver : la séparation brutale, préjudiciable à tous. Bien des choses étaient encore rattrapables après. Rien n’a été fait dans ce sens par la cinquième république, successivement gaulliste, pompidolienne, giscardienne et maintenant mitterrandiste. Tant que le contentieux franco-algérien ne sera pas réglé au fond, il est vain d’envisager une politique efficace vis-à-vis du Tiers-Monde, en général. Il faut à la France un gouvernement nationaliste comme condition préalable au succès d’une telle entreprise mondiale.

    J.N.S. : La violence nous entoure. À la première page des journaux il n’est question que de terrorisme international et d’insécurité en France. Ne pensez-vous pas qu’il faille vigoureusement mettre en garde la jeunesse contre la suggestion provocatrice du piège d’une violence programmée sinon manipulée ?

    P.S. : «L’information» transmise par les médias est conçue comme une succession ininterrompue de campagnes d’intoxication, sur tous les sujets. Le sensationnalisme est l’instrument privilégié d’une mise en condition, qui accentue les tensions, qui provoque des réactions de violence. Il n’y a pas de communication des nouvelles, il y a en permanence hypertrophie calculée de faits insignifiants en même temps qu’occutations d’informations indispensables. La violence individuelle ou sociale est suggérée, quand elle n’est pas exaltée. À la fois attrape-nigaud et chausse-trape à l’usage des consommateurs d’images et de commentaires, les tentations de la violence sont à rejeter catégoriquement. Il faut avoir le calme des veilles troupes, celles qui finissent par gagner sans avoir à livrer bataille.

    J.N.S. : Au temps d’Edouard Drumont, le cosmopolitisme (notre premier ennemi) prenait un visage bien spécial. Ne faut-il pas s’interroger sur le rôle tout à fait démesuré de la Surpuissance américaine qui éclipse et fédère (à la fois) les forces cosmopolites autrefois réduites à quelques réseaux sociaux minoritaires ?

    P.S. : Le cosmopolitisme, voilà l’ennemi. Son sanctuaire réside aux États Unis d’Amérique. Les U.S.A. sont le pandémonium de la planète. C’est en refusant obstinément d’être leurs nouveaux «Peaux-Rouges» que nous éviterons de devenir moujiks ou coolies.

    Ils ont amenés les armées soviétiques à 50 kilomètres de Strasbourg; facilité l’avènement de régimes marxistes en Indochine et en Afrique noire. Ce n’est pas eux qui les en délogeront. Il est donc nécessaire de le répéter : c’est en restant français, en cessant d’être «Américain», en refusant d’être «Européens», que nous ne serons pas «Russes» demain.
    C’est le cosmopolitisme idéologique et économique à prédominance yankee qui est présentement le mal immédiat. Phillippe Henriot avait déjà parfaitement raison de le répéter inlassablement jusqu’à son assassinat pendant la guerre. Mon Dieu, préservez nous de nos amis (Américains), nos ennemis (marxistes) nous nous en chargeons.
     

    J.N.S. : Si nous voulons rendre à la France sa grandeur, son honneur et son bonheur ne com vient-il pas désormais de s’en prendre aux couches possédantes qui ne croient plus en leur patrie et de se tourner vers un modèle économique et social résolument différent du nôtre ?

    P.S. : Le tout est de donner à la nécessaire initiative individuelle une indispensable discipline sociale; sans se rattacher à un quelconque système seulement économique. Toute personne qui fait passer son porte-feuille avant le drapeau est un ennemi de la collectivité nationale. La propriété c’est le colis elle n’est pas assumée comme un service social par son détenteur. Sa légitimité c’est son utilité sociale. Il en est de même du pouvoir politique. Le pouvoir d’État, le pouvoir d’Argent, les pouvoirs sur les hommes et sur les choses ne sont pas des droits mais des devoirs. Quiconque transgresse ce principe est en état de péché mortel vis-à-vis de la vie. La «biocratie» dont a parlé Alexis Carrel est la négation de la ploutocratie, et réciproquement.

    J.N.S. : Depuis 15 ans le travail de formation de cadres que vous avez accompli à la tête de l’Œuvre Française vous paraît-il avoir suffisamment avancé pour contribuer, maintenant, à une campagne de Nationalisation des masses dans un cadre qui pourrait être commun ?

    P.S. : Nous l’emporterons tous ensemble, ou pas du tout. L’Œuvre Française apporte les résultats de sa méthode, de son application, de son implantation visible et invisible. La re-nationalisation de nos compatriotes doit partir de la concertation et du bon voisinage entre les formations politiques nationalistes. L’idéal, c’est tout de même le regroupement à l’intérieur d’un seul mouvement, au sein duquel les spécialisation indispensables seraient reconnues. Mais la manière la plus assurée pour y parvenir est de ne jamais s’écarter du corps constant de la doctrine nationaliste. Car, il ne s’agit pas de découvrir des vérités nouvelles ni différentes, mais de parvenir a utiliser des vérités bien établies pour résoudre les problèmes d’actualités. Les principes nationalistes et les positions politiques qui en découlent ne dépendent pas du contexte social, économique et politique, qui change d’une décennie à l’autre. Ces principes tirent leur origine de la nature humaine et des obligations immuables de la vie en société. Les circonstances changent, et en même temps problèmes crées par elles; mais les principes nationalistes demeurent seuls capables d’apporter la meilleure solution aux questions qui se posent à différentes époques, dans des situations nouvelles.

    J.N.S. : Il y a évidemment les Nationalistes et les «Nationaux». Ces derniers, qui sont parfois de bien brave gens, ne servent pas à grand chose. Ne pensez-vous pas que nous devrions, pour en finir avec leur nuisible voisinage, spécifier une fois pour toutes que nous ne sommes pas de Droite ?

    P.S. : Qu’est-ce que la Droite ? Ce n’est pas le contraire de la gauche, c’est son complément. C’est l’alternance à la gauche, la perpétuation d’un même système qui berne à chaque élection, les citoyens. Les masques changent, quelques sous-fifres valsent, mais si les majorités ne sont pas immuables, les inspirateurs souterrains du système général cosmopolite, eux, le sont. Ainsi, se poursuit la spoliation des indigènes français de leur patrimoine par une même bande d’accapareurs. Que faire ? Devant l’évidente incapacité de la Droite, comme de la Gauche à concevoir un dessein élevé pour notre pays, il est l’heure pour les français de reprendre leur destin en main. Les éléments de la base militante des partis socialiste et communiste, dont les conceptions sont proches du nationalisme, doivent se dissocier du pouvoir en place et de sa politique aventuriste, atlantiste, pro-sioniste et belliciste. Tous ceux qui sont intéressés à la reconquête de l’indépendance de la patrie peuvent se tourner vers leurs compatriotes de tous âges et de toutes professions, déjà militants nationalistes qui travaillent au rétablissement de la France en toute chose. Ni Gauche, ni Droite, une seule France.

    Entretien avec Pierre Sidos.

    Jeune Nation – Solidariste – N°165 – Janvier 1982.

    http://pierresidos.fr/2016/03/28/ni-moujiks-ni-peaux-rouges-entretien-avec-jeune-nation-de-1982/

  • Retranscription – Synthèse de la doctrine du nationalisme français

    Synthèse de la doctrine du nationalisme français, 12 janvier 2013, Paris – Mise à jour.

    Introduction :

    En cette journée on m’a chargé de vous faire un exposé synthétique sur la doctrine du nationalisme français. En introduction, pour bien cerner ce que cela représente, il faut connaître trois choses : les conditions historiques de l’apparition de la France en tant que Nation, les principes qui l’ont constituée, et les raisons de l’émergence d’une telle doctrine.

    Dès ses débuts le nationalisme français présente des caractéristiques spécifiques. Il défend un État hiérarchisé. Il défend la notion que tout pouvoir vient de Dieu et que celui-ci doit être mis au service du Bien commun pour le plus grand épanouissement possible de chaque citoyen. Il veille à être indépendant de toute oligarchie qu’elle soit politique, philosophique, économique ou ethnique. Je vais d’abord m’attarder sur la genèse du nationalisme en France, c’est-à-dire sa naissance. Pour cela, il nous faut revenir à l’origine historique de ce terme, c’est ce qui permet d’éviter que chacun mette sa définition propre ; ce qui nous ferait tomber dans un babélisme où l’on ne se comprendrait plus.

    Le nationalisme naquit vers la fin du XVIIIe siècle et l’Histoire a voulu que ce soit un ennemi qui invente le terme. Adam Weishaupt un juif éduqué chez les jésuites, héritage qu’il a ensuite renié pour se reconvertir dans la franc-maçonnerie, est le fondateur des Illuminés en Bavière, une personnalité qui a été à peu près aussi malfaisant que Jacob Frank, et pour transposer avec la période actuelle je dirai, que Jacques Attali. Donc, c’est lui qui fut le premier à employer le terme en désignant comme adversaire de leur internationalisme maçonnique, ce qu’il nommait «nationalisme» ou encore les «partisans de l’amour national», qu’il opposait aux partisans de «l’amour général» dont il se réclamait ; c’est ce qui fait de lui l’ancêtre de nos mondialistes d’aujourd’hui, tel que Sarkozy, les Rockfeller, et d’autres.

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  • L’impuissance des évêques face à l’islam

    Voici un article de Guy Rouvrais dans Présent :

    « Les évêques de France, réunis à Lourdes l’autre semaine, se sont penchés sur la présence de l’islam en France. « Cette question de l’islam ne regarde plus seulement quelques personnes engagées dans le dialogue, mais interpelle toutes les communautés », a expliqué un porte-parole. Jusqu’à une date récente, l’islam était seulement un objet de dialogue entre catholiques spécialisés et interlocuteurs musulmans complaisants, plus intellectuels que mystiques. Et ce dans la droite ligne du dialogue selon Vatican II, qui s’exprimait ainsi, élogieux : « … les musulmans, qui adorent le Dieu un, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, qui a parlé aux hommes. Ils cherchent à se soumettre de toute leur âme aux décrets de Dieu, même s’ils sont cachés, comme s’est soumis à Dieu Abraham, auquel la foi islamique se réfère volontiers ».

    Mais aujourd’hui, cette vision irénique n’est plus d’actualité. Toute la société est concernée par la montée de l’islam, il ne s’agit plus de dialoguer mais de se défendre. Contre les terroristes islamistes, certes, mais aussi, doctrinalement, contre les autres qui, quoiqu’appelés « modérés », n’ont de cesse de faire des chrétiens des musulmans. Les premiers ayant peine à répondre aux objections des seconds. C’est là le constat de Mgr Dubost : « Quand les musulmans parlent à leurs copains chrétiens de leurs “trois dieux” à propos de la Trinité, beaucoup ne savent que répondre… Quelles propositions faisons-nous aux fidèles pour vivre et expliquer l’Incarnation, la Résurrection, la Trinité ? » Il faut d’abord confesser la faillite du catéchisme quand l’enseignement de la doctrine catholique est réduit à la portion congrue face à des considérations humanitaires, ce qui n’est pas le cas dans les écoles coraniques. Mais où donc les « copains » musulmans essaient-ils d’enrôler les jeunes catholiques ? A l’école catholique ! Les évêques ont posé enfin la question, alors que la situation perdure depuis des années. Dans l’atelier consacré à l’enseignement catholique, ils ont ainsi évoqué ces établissements où jusqu’à 80 % des élèves peuvent être musulmans, et ce que signifie, dans ce cadre, le « caractère propre » de l’école catholique. Ce que cela « signifie » ? Que ces écoles sont devenues musulmanes ! »

    http://www.riposte-catholique.fr/riposte-catholique-blog/breves/limpuissance-des-eveques-face-a-lislam

  • L’impuissance des évêques face à l’islam

    Voici un article de Guy Rouvrais dans Présent :

    « Les évêques de France, réunis à Lourdes l’autre semaine, se sont penchés sur la présence de l’islam en France. « Cette question de l’islam ne regarde plus seulement quelques personnes engagées dans le dialogue, mais interpelle toutes les communautés », a expliqué un porte-parole. Jusqu’à une date récente, l’islam était seulement un objet de dialogue entre catholiques spécialisés et interlocuteurs musulmans complaisants, plus intellectuels que mystiques. Et ce dans la droite ligne du dialogue selon Vatican II, qui s’exprimait ainsi, élogieux : « … les musulmans, qui adorent le Dieu un, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, qui a parlé aux hommes. Ils cherchent à se soumettre de toute leur âme aux décrets de Dieu, même s’ils sont cachés, comme s’est soumis à Dieu Abraham, auquel la foi islamique se réfère volontiers ».

    Mais aujourd’hui, cette vision irénique n’est plus d’actualité. Toute la société est concernée par la montée de l’islam, il ne s’agit plus de dialoguer mais de se défendre. Contre les terroristes islamistes, certes, mais aussi, doctrinalement, contre les autres qui, quoiqu’appelés « modérés », n’ont de cesse de faire des chrétiens des musulmans. Les premiers ayant peine à répondre aux objections des seconds. C’est là le constat de Mgr Dubost : « Quand les musulmans parlent à leurs copains chrétiens de leurs “trois dieux” à propos de la Trinité, beaucoup ne savent que répondre… Quelles propositions faisons-nous aux fidèles pour vivre et expliquer l’Incarnation, la Résurrection, la Trinité ? » Il faut d’abord confesser la faillite du catéchisme quand l’enseignement de la doctrine catholique est réduit à la portion congrue face à des considérations humanitaires, ce qui n’est pas le cas dans les écoles coraniques. Mais où donc les « copains » musulmans essaient-ils d’enrôler les jeunes catholiques ? A l’école catholique ! Les évêques ont posé enfin la question, alors que la situation perdure depuis des années. Dans l’atelier consacré à l’enseignement catholique, ils ont ainsi évoqué ces établissements où jusqu’à 80 % des élèves peuvent être musulmans, et ce que signifie, dans ce cadre, le « caractère propre » de l’école catholique. Ce que cela « signifie » ? Que ces écoles sont devenues musulmanes ! »

    http://www.riposte-catholique.fr/riposte-catholique-blog/breves/limpuissance-des-eveques-face-a-lislam

  • Face au terrorisme, le peuple syrien résiste et construit

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    Conférence d’Ayssar Midani à Lyon

    En conférence à Lyon le samedi 2 avril 2016 à 14h à l’invitation d’E&R Rhône-Alpes, Ayssar Midani livrera son témoignage sur l’actualité syrienne et répondra à vos questions. Le réalisateur Franck Pertegas présentera les images qu’il a rapportées de Syrie.

    Ayssar Midani, Franco-syrienne rentrée en Syrie en 2013, est présidente de la Fondation « Descendants d’Ashtar », présidente de NOSSTIA (réseau des scientifiques syriens expatriés) et membre du bureau du Rassemblement pour la défense de la souveraineté de la Syrie.

    Franck Pertegas est un reporter lyonnais indépendant. Il a déjà effectué des reportages en Équateur, en Palestine, et l’année dernière en Syrie.

    Réservation obligatoire : confsyrie@gmail.com

    Merci de mentionner dans votre courriel le nombre de places demandées, l’identité de tous les participants (pas de pseudonyme) ainsi qu’un numéro de téléphone portable.

    Le lieu de conférence sera indiqué par courriel et SMS quelques heures avant l’horaire indiqué.

    Entrée : 8 € à payer sur place.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Collectif Horizon : l’union de la carpe et du lapin ?

    Cette curieuse alliance déçoit de la part de Sébastien Pilard et Madeleine de Jessey.

    Né de la Manif pour tous, le mouvement Sens commun s’est créé au sein de l’UMP pour peser sur ses choix et influencer ses dirigeants et candidats. Tenant de valeurs humaines fortes, modérément libéral en économie, plutôt eurosceptique, Sens commun revendique 9.000 adhérents, ce qui constitue une jolie performance. Reste à déterminer quelle est son influence réelle.

    Sens commun, c’est la bourgeoisie catholique conservatrice qui pense peser sur les choix d’un parti eurobéat, libéral, libertaire, sans colonne vertébrale, sans philosophie politique ni anthropologie.

    Sens commun, ce sont aussi des jeunes courageux affirmant leurs convictions face aux requins de la politique. C’est un mouvement qui inspire de la sympathie, une large adhésion, du respect et du scepticisme : qui peut prétendre changer quoi que ce soit au sein d’une telle machine électorale ? Mais il a le mérite d’exister et, finalement, comme il est facile de critiquer, nul ne peut leur reprocher l’expérience qui mérite d’être menée.

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  • Xavier Bertrand : "Plus rien ne sera jamais comme avant"...sauf mes indemnités d'élu.

    Mais ça c'était avant :

    "Lors de son discours de victoire le 13 novembre dernier, il promettait de faire de la politique autrement, clamant haut et fort : « Plus rien ne sera jamais comme avant. » Dans la foulée, il démissionnait de son poste de maire de Saint-Quentin et de député.

    Sauf que Xavier Bertrand, toujours président de l'agglomération de Saint-Quentin, a fait voter, le 26 janvier dernier, une délibération qui lui assure 4 000 euros brut mensuels, révèle le quotidien La Voix du Nord. À cette indemnité, il faut ajouter les revenus de président de région, 5 236 euros brut, pour calculer le salaire de Xavier Bertrand. Soit 9 236 euros brut mensuels."

    Ceci dit, lorsque l'on cumule les voix des Républicains, du Centre, de la Gauche, des écologistes et de l'extrême gauche pour gagner au deuxième tour, un cumul d'indemnités est mérité, non ? 

    Philippe Carhon