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  • 100 000 manifestants pour la vie en Irlande

    6a00d83451619c69e201b7c9584298970b-250wi.pngThe Independant reconnaît 100.000 participants dans la rue à Dublin pour appeler à dire non au référendum. Or ce journal ne peut être suspecté de sympathies pro-vie…

    Dans le reportage publié par Life Site, les organisateurs n’en reviennent pas eux-mêmes.

    La porte-parole de la campagne « Sauvez le huitième » (amendement), Niamh Uí Bhriain, a déclaré que la proposition du gouvernement a « réveillé un géant endormi » et que maintenant on attendait une « vague de volontaires » pour mener une grande campagne pour le non. Elle a ajouté :

    « Ces chiffres énormes sont un soulèvement du peuple contre les médias et les élites politiques et contre la puissante industrie internationale de l'avortement qui a versé des millions de dollars dans une campagne contre nos lois pro-vie. L'Irlande est à un moment décisif de son histoire, et nous demandons aux gens de rejeter l'industrie de l'avortement et d'exiger une meilleure réponse pour les mères et les bébés. »

    Il y avait là des médecins, dont Maire Neasta Nic Gearailt qui a brandi un bon de 100 euros qu’elle allait envoyer à Catherine Noone, la sénatrice présidente de la commission sur l’avortement, pour qu'elle se paie des lunettes, parce qu'elle a déclaré qu’elle n’avait pas pu trouver un seul médecin favorable au maintien du 8e amendement.

    Parmi les orateurs il y avait Charlotte (Charlie) Fien, la trisomique devenue célèbre après son allocution devant la commission des droits de l’homme de l’ONU en mars 2017.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • JEAN-BAPTISTE LEON : « UN FAUX RETRAITÉ DE 117 ANS INSTALLÉ EN ALGÉRIE PERCEVAIT UNE PENSION DE RETRAITE ! »

    Contribuables associés s’est emparé du rapport de la Cour des comptes révélant une fraude de plus de 200 millions d’euros au niveau des caisses de retraite, au profit de « faux retraités » en Algérie, au Maroc ou en Italie. Un faux retraité de 117 ans installé en Algérie percevait une pension de retraite…

    L’association a été ignorée par Agnès Buzyn, ministre de la Santé et chargée du dossier, mais entendue par le Premier ministre, Édouard Philippe, qui a dit « faire de la lutte contre la fraude sociale une priorité ».

    Mais Contribuables associés continue à suivre le dossier de près.

    http://www.bvoltaire.fr/matraquage-fiscal-subissent-retraites-cette-affaire-de-fraude-de-200-millions-aux-prestations-retraites-intolerable/

  • Les vrais et faux mineurs étrangers coûtent très chers aux pouvoirs publics

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    S’il y a une vraie opacité concernant les chiffres de l’immigration, on a une bonne idée du coût que représente les mineurs isolés étrangers. D’ailleurs l’Etat ne dit plus mineurs isolés étrangers mais « mineurs non accompagnés » – novlangue oblige.

    C’est André Posokhow, du site Polémia, qui a décortiqué les chiffres de ce flux migratoire. Il dénombre environ 50 000 mineurs ou supposés tels, tandis que la Justice n’en comptabilise officiellement que 15 000.

    Et le budget va avec : le coût individuel se situe entre 50 000 et 73 000 euros annuel ! Soit un total de plus d’un milliard d’euros pour les seuls mineurs officiellement pris en charge.

    André Posokhow dénonce plusieurs dérives : l’existence d’une pompe aspirante de l’immigration, le nombre importants d’étrangers trichant sur leur âge, ou encore la lourde responsabilité financière des départements.

    https://fr.novopress.info/

  • CONGRÈS DU FN : ET MAINTENANT QUE FAIRE ?

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    Arnaud Malnuit

    Que faire ? Question lancinante, phrase totémique depuis qu'elle est le titre du bréviaire d'action de Lénine, le que faire hante le monde militant surtout lors qu'on subit des échecs et que l'on souhaite rebondir, analyser les causes de ces échecs, les motifs d'espérance, les clés pour rebondir. C'est ainsi le moteur de « Pour une critique positive » attribué à Dominique Venner et publié au début des années 1960. C'est surtout la question qui vient à l'esprit suite au congrès du FN prochainement ou probablement Rassemblement national d'ici quelques mois...

    En effet, on pourrait continuer à constater la fausse refondation, la schizophrénie du discours du rassemblement alors que la nouvelle direction se resserre encore plus loin de la ligne plus ou moins encore « marioniste » du comité central devenu conseil national... A croire que la culture d'acceptation de sensibilités préalable à toute forme d'alliance est toujours inconnue au FN... On passera également sur le mauvais sketch du nouveau nom entre savoir à qui il appartient, la rappel de la grande époque du FN version JMLP dans les années 80 (on se demandera en quoi on se modernise alors), ou le mauvais rappel du RNP de Déat. On pourra aussi oublier l'absence de dynamisme, de relance militante du FN depuis les législatives.

    On pourrait se demander à quel moment on aurait dû agir pour sauver le FN de JMLP, trouver une autre vie pour éviter les résultats de 2017, etc. Et donc voir passer le train de l'histoire une fois de plus... Avec moult regrets nostalgiques.

    Entendons-nous bien, la nostalgie n'est pas une tare, la fidélité au militantisme est une chose saine, pour preuve les queues lors des séances de dédicace du premier tome des mémoires de JMLP.

    Mais il importe de trouver et mettre en place cette autre voie, d'acter que le FN futur RN n'est plus un mouvement de la droite nationale populaire et sociale, que nous devons ne plus nous préoccuper de son avenir, tendre la main à ses militants sincères attachés à une vraie droite nationale, populaire et sociale.

    Mais surtout construire la droite nationale du XXIe siècle qui ne reproduirait un FN bloqué dans les années 1980 et 1990. Bien entendu, le PdF doit être le fer de lance électoral de cette droite nationale, mais il faut aussi raisonner avec souplesse et diplomatie avec d'autres structures qui gardent leurs spécificité, être dans notre temps, parfois avoir quelques accents « modernes » sans pour autant se renier, en parallèle avec des branches plus traditionnelles. En fait, peut-être créer la dynamique d'En marche au service de la droite nationale et donc de la France. Les élections européennes de 2019 pourraient même être une première phase de cette nouvelle droite nationale.

    Ce n'est qu'un début, continuons le débat !

    Source Parti de la France cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Grand remplacement et enfants musulmans : Robert Ménard encore une fois relaxé !

    Après l'affaire des affiches sur Midi libre, Robert Ménard est à nouveau relaxépour ses propos sur les musulmans dans sa ville de Béziers :

    "La cour d’appel de Paris a relaxé, mercredi 14 mars, le maire de Béziers, Robert Ménard, proche du Front national, condamné en 2017 pour avoir déclaré qu’il y avait trop d’enfants musulmans dans les écoles de sa ville. La cour a ainsi infirmé un jugement du tribunal correctionnel de Paris qui, le 25 avril 2017, avait condamné M. Ménard à 2 000 euros d’amende pour « provocation à la haine et la discrimination ».

    Les juges d’appel ont justifié ce revirement par un changement de la jurisprudence de la Cour de cassation, qui exige désormais que les propos incriminés contiennent « une exhortation éventuellement implicite » à la haine ou à la discrimination pour que le délit de « provocation » soit constitué, ce qui n’est ici, selon eux, pas le cas.

    L’élu était poursuivi pour avoir publié sur Twitter, le 1er septembre 2016, le message suivant : « #rentréedesclasses : la preuve la plus éclatante du #GrandRemplacement en cours. Il suffit de regarder d’anciennes photos de classe. » Il était également jugé pour avoir déclaré sur LCI, le 5 septembre 2016 : « Dans une classe de centre-ville de chez moi, 91 % d’enfants musulmans. Evidemment que c’est un problème. »"

    Lire la suite

  • MACRON ET BELLOUBET FONT PIRE QUE TAUBIRA : AU SECOURS !

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    On a le droit de rêver de révolutions impossibles.

    En l’occurrence d’un service de l’exécution des peines qui aurait pour vocation et pour principe de faire exécuter intégralement les peines.

    Je ne joue pas au faux naïf ni au provocateur, mais il me semble qu’en énonçant cette banale injonction, je devrais être qualifié de roi du poncif tant, pour une démocratie à la fois digne et vigoureuse et pour une Justice cohérente, une telle exigence d’application pleine et entière des sanctions devrait être la règle.

    Pourtant, avec cette assertion, je suis le fauteur de trouble. Parce que, réclamant la normalité, je ne vois aucune raison de la battre en brèche sur le plan pénitentiaire.

    À peine, dans un précédent billet, avais-je eu le bonheur de relever quelques éléments réalistes qui mettaient un peu de substance et de vigueur dans le discours convenu et sulpicien contre la prison en tant que telle, à peine avais-je dénié que ce fût la réapparition de Christiane Taubira parce qu’Emmanuel Macronme paraissait éloigné d’une idéologie compassionnelle qui constituait le délinquant comme victime et la société comme coupable, que je suis obligé d’en rabattre.

    Il ne faut jamais se réjouir trop vite puisqu’on constate que, pour les peines d’emprisonnement égales ou inférieures à cinq ans, nous avons un président de la République et, donc, un garde des Sceaux qui ont formé le projet d’aller plus loin dans la mansuétude que Christiane Taubira, pourtant difficilement dépassable sur ce plan.

    En effet, aux deux tiers de la sanction, la libération sous contrainte (bracelet électronique, obligation de pointer, par exemple) devra devenir systématique et, je cite car c’est le comble, « le juge de l’application des peines ne pourra refuser l’octroi de la libération sous contrainte qu’en constatant, par ordonnance spécialement motivée, qu’il est impossible de la mettre en œuvre »

    Les magistrats auront donc à justifier les raisons qui les poussent à récuser une exécution laxiste de la sanction.

    C’est le monde à l’envers. Je sais bien que notre système est aberrant qui a adopté comme règle l’anormalité : le partiel d’une exécution plutôt que la normalité et la cohérence – la totalité de celle-ci. Fallait-il aller jusqu’à cette absurdité de contraindre des juges à dénaturer leur mission en leur imposant le contraire de la rigueur souhaitable ? Des magistrats devront, en quelque sorte, aller à Canossa parce qu’ils auront, pour un condamné à cinq ans, eu la faiblesse de considérer qu’il aurait à les purger alors que les portes seront naturellement et largement ouvertes aux deux tiers de la peine.

    Les détenus qui se retrouveront plus vite que prévu à l’extérieur (avec un contrôle dont on peut douter de l’efficacité) seront heureux de n’avoir accompli que les deux tiers d’un crime ou d’un délit et leurs victimes seront évidemment compréhensives puisqu’elles ne l’auront été qu’aux deux tiers.

    Ce délire de bonne conscience proche d’un humanisme égaré est d’autant plus choquant qu’il contredit le retour au bon sens que le Président a favorisé en refusant que, dorénavant, un jugement correctionnel de condamnation puisse être immédiatement aménagé. En récusant que le décret de l’autorité judiciaire puisse être dénaturé par la « cuisine » qui le suit.

    C’est exactement ce qui va se produire, par exemple avec une condamnation de quatre ou cinq ans qui sera amputée, sans aucune nécessité, aux deux tiers pour sa part carcérale.

    Il paraît que cette démission permettra d’éviter les sorties « sèches » comme si, pour les sanctions allant de un à cinq ans d’emprisonnement, la société et les citoyens victimes n’avaient été confrontés qu’à des infractions minimes rendant intolérable une logique pénitentiaire accordée avec la décision judiciaire.

    Je me suis peut-être trompé. Je pensais qu’Emmanuel Macron, si lucide sur les erreurs de François Hollande – celle, notamment, d’avoir maintenu Christiane Taubira trop longtemps à un poste prestigieux où l’oralité ne pouvait se substituer à l’action -, nous éviterait la restauration du pire de celle-ci. Mais sa philosophie, qui est classiquement de gauche, quand on quitte l’économique et le social, au contraire ne nous ménage pas.

    Christiane Taubira revient et c’est un cauchemar pour ceux qui espéraient un Président du nouveau monde, répudiant les conformismes et brisant des lances contre le judiciairement convenu – le politiquement stéréotypé.

    Extrait de : Justice au Singulier

    http://www.bvoltaire.fr/macron-belloubet-pire-taubira-secours/