Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • VIOLS COLLECTIFS DE TELFORD : POURQUOI CE SILENCE DES MÉDIAS À L’HEURE DE #BALANCETONPORC ?

    telford.gif

    Près de 1.000 enfants (blancs) ont été abusés sexuellement, torturés, voire prostitués par des gangs dont les membres étaient d’origine pakistanaise ou bangladaise.

    La campagne « balance ton porc » bat son plein et nous sommes abreuvés de dénonciations qui concernent le plus souvent des harceleurs de race « caucasienne ». Si des hommes influents ont profité de leur position pour importuner ou violer de jeunes femmes, il est normal qu’ils rendent des comptes et qu’ils soient déférés devant des tribunaux s’ils ont commis des délits ou des crimes. Les médias bien-pensants ne cessent de parler de ce phénomène et s’indignent du silence qui a régné trop longtemps. On peut trouver leurs protestations exagérées et penser que, dans beaucoup de cas, la modération devrait être de mise, mais on ne peut pas leur donner tort sur le fond. La société a, sans doute, trop longtemps toléré une culture machiste.

    Mais ces mêmes médias si prompts à faire la morale encourent des accusations d’hypocrisie et de racisme lorsqu’ils n’évoquent pas les faits divers épouvantables qui se sont produits à Telford entre 1980 et 2010. Dans cette ville du Royaume-Uni, on déplore une série de viols dont l’ampleur dépasse l’imagination. Près de 1.000 enfants (blancs) ont été abusés sexuellement, torturés, voire prostitués par des gangs dont les membres étaient d’origine pakistanaise ou bangladaise. Comble de l’horreur, selon le Mirrordu 12 mars, la police aurait refusé de prendre les plaintes par peur d’être accusée de racisme. Et on aurait renvoyé des lanceurs d’alerte qui, devant l’inertie des autorités, voulaient prévenir les journaux. Quant aux services sociaux, ils auraient été en dessous de tout.

    Une commission d’enquête indépendante vient d’être constituée afin de faire toute la lumière sur ce scandale effrayant. Or, peu de médias en parlent (il n’y a rien dans LibérationLe Monde ou sur le Portail Orange ce vendredi 16 à 20 heures) alors que le retentissement de l’affaire devrait être mondial et que tous les journaux télévisés devraient ouvrir sur ces informations.

    Pourquoi cette omission ? Parce que ni les victimes ni les bourreaux n’ont ni la bonne couleur de peau ni la bonne religion ? L’attitude frileuse des médias est-elle dictée par le racisme ? On peut légitimement se le demander. Je parie avec qui le souhaite que, si un gang de skinheads blancs avait violenté des jeunes musulmanes, on en aurait parlé cent fois plus (ce qui aurait été sans doute la bonne mesure). Et on aurait, une nouvelle fois, dénoncé la civilisation occidentale coupable de générer de tels monstres. Pourtant, si une centaine de Pakistanais ont commis des crimes atroces, ils sont les seuls responsables et leur communauté n’a absolument pas à subir le poids de leur faute. La religion ou l’origine ethnique d’un criminel ne doit jamais entrer en ligne de compte. Une ordure reste une ordure et la noirceur de son âme n’a rien à voir avec le Dieu qu’il prie.

    Espérons que cette commission va éclaircir les circonstances de ce drame, que tous ceux qui, par lâcheté ou par peur de paraître racistes, ont laissé se perpétrer de telles abominations seront sévèrement punis et que plus jamais de tels faits ne se reproduiront.

    http://www.bvoltaire.fr/viols-collectifs-de-telford-silence-medias-a-lheure-de-balancetonporc/

  • Découverte Vive l'Europe - La chaîne "Mite dans la Caverne" fait du super boulot pour la cause

  • Macron lance la guerre des générations, par Guy Rouvrais

    9073-Chard.jpg

    9073-20180317.jpgDans notre système par répartition, les salariés cotisent pour abonder la retraite de leurs aînés. A leur tour, ayant atteint l’âge de la retraite, ceux qui travaillent aujourd’hui bénéficieront de la solidarité de ceux qui leur ont succédé. Macron entend nous changer cela aussi ! Les retraités depuis le 1er janvier sont ponctionnés de 1,7 % de CSG pour laquelle ils ne bénéficient d’aucune compensation. Ainsi, après avoir financé la pension de leurs prédécesseurs, ils auront à payer aussi pour leurs successeurs. Ils devront donc être deux fois solidaires. Les retraités ont manifesté un peu partout jeudi pour dire leur refus : « Stop à la traite des vieux ! », ont-ils lancé.

    Interpellé en ces termes par une femme, retraitée : « Là vous nous avez vraiment pompés ! », le président lui a répondu : « Je vous demande un petit effort pour m’aider à relancer l’économie et les actifs. La CSG, on ne l’a pas fait pour vous pomper comme vous dites, on a baissé de trois points toutes les cotisations salariales. Donc tous ceux qui travaillent touchent plus pour qu’ils gagnent plus par le travail. »

    Cette dernière phrase oppose ceux qui « gagnent par leur travail » à ceux, les retraités, qui « gagnent » en ne faisant rien, les fainéants, les premiers sont donc appelés « actifs » et les seconds « inactifs. » Ce qui est mensonger car, sans le troisième âge, le secteur associatif serait en panne, la majorité de ceux qui s’y dévouent sont des bénévoles dont la retraite est très active. Combien d’économies fait la société grâce aux grands-parents qui gardent leurs petits-enfants, libérant de coûteuses places de crèches et de garderies ! Cela Macron veut l’ignorer. Il préfère entretenir une guerre des générations, au motif, a-t-il expliqué dans Le Point, que « les pauvres d’aujourd’hui sont souvent moins les retraités que les jeunes ».

    Les jeunes, pauvres, tous ? Nous connaissons tel jeune cadre qui a un salaire de 4 500 euros, il a vu ses cotisations baisser en compensation partielle de la hausse de la CSG, tandis que son père, avec 1 500 euros de retraite a eu la hausse sans la compensation. Où est la justice ? Le député LREM Eric Alauzet en rajoute en prétendant que « les retraités d’aujourd’hui font partie d’une génération dorée » ! Une génération qui a beaucoup travaillé, qui a eu à reconstruire un pays dévasté par la guerre, en accomplissant des semaines de 40 heures et non pas de 35.

    Cette génération « dorée », qui n’a rien pris à personne, doit donc rendre gorge et amputer une pension qu’elle croyait acquise. Le chef de l’Etat assure que cela ne frappe que les plus « aisés » et ne leur demande qu’un « petit effort ». L’aisance commence pour lui à… 1 200 euros mensuels ! Ce qui fait une baisse de 25 euros par mois, effort négligeable pour Macron et ses têtes chercheuses, mais c’est une semaine de courses pour telle vieille dame. Même avec 900 euros de pension, le retraité est touché, il suffit que son conjoint en ait une de 1 500 euros pour que le foyer fiscal se voie appliquer la hausse de 1,7 % sur l’ensemble de ses revenus. La compensation promise, en l’occurrence la baisse de la taxe d’habitation – mais pas pour tous –, n’aura lieu ni à Pâques ni à la Trinité, mais en octobre, si tout se passe bien. En attendant, les retraités devront se serrer la ceinture.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 17 mars 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Natalia, veuve d'Alexandre Soljenitsyne, «peinée» par le président Emmanuel Macron

    6a00d83451619c69e201b8d2e360fb970c-250wi.jpgAu Salon du livre, le chef de l'Etat a refusé de se rendre sur le pavillon russe. Réaction de Natalia, veuve d'Alexandre Soljenitsyne :

    « J’avais l’impression, au vu de ce qui s’est passé, pas hier mais ces derniers mois, que le président Macron n’était pas le pire des amis de la Russie ». « J’avais l’impression qu’il était moins influencé par cette hystérie qui règne dans les médias occidentaux quand il s’agit de la Russie ». « Quand les diplomates ne savent plus se parler ça devient encore plus important que se parlent les artistes et les gens de la culture et des arts ». « Tourner le dos au dialogue avec les gens de la culture et des arts c’est extrêmement étonnant et ne sied pas à un leader politique français ».

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Filip Dewinter n'entend pas laisser les noms des quartiers d'Anvers s'arabiser

    1196871310.29.jpg

    La figure de proue du Vlaams Belang Filip Dewinter fait campagne afin que le quartier d'Anvers dénommé Borgerhout et surnommé Borgerokko (contraction du nom de ce quartier et de Marokko [Maroc en néerlandais]) redevienne Borgerhout.

    Source Lionel Baland cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Livres • Crépuscule ou aube ?

    2998214399.jpg« L’humour est la politesse du désespoir ». Le mot de Chris Marker vient à l’esprit quand on ferme le nouveau livre de Fabrice Hadjadj.

    Il s’agit d’une compilation de chroniques parues de 2015 à 2017 dans Avvenire pour leur traduction italienne, et sur le site français de la revue Limite. Courts chapitres dont les titres sont aussi insolites que « Lumière du gros orteil » ou « Petit discours sur le dialogue ».

    L’essentiel : l’émerveillement comme antidote au culte de la technoscience. La contemplation du renouveau du printemps, la marche sur le trottoir en tenant son enfant par la main, voilà qui s’oppose à la soumission absurde, à l’éparpillement, à la dislocation, à l’individualisme, à « la dépossession permanente ».

    Fabrice Hadjadj observe dans l’abus technologique la déstructuration du temps, l’éclatement des familles, le règne de l’impatience et du pulsionnel, et même au-delà « les liens profonds, structurels » entre État islamique et État technocratique.

    « Les gentilles propositions transhumanistes » sont décrites avec leurs conséquences : la remise en cause de l’avenir de la parole, le statut d’éternel adolescent qui a perdu l’usage de ses doigts, « pendant que, dans les mines du Congo, des esclaves nègres se crèvent à extraire les minerais qui servent au fonctionnement de nos appareils conviviaux. ». Sans compter que les aléas du marché mondial rendent fragiles tous « ces supports non biologiques ».

    « Le Créateur aurait très bien pu jouer la carte de l’innovation », dit le philosophe : faire disparaître sa créature pécheresse et en créer une autre, plus prometteuse. La marque de sa Toute-Puissance, cependant, c’est d’être Rédempteur – ou Réparateur –, « c’est-à-dire de tirer quelque chose de bon d’une vieille crapule comme moi. ». Et l’auteur de remarquer que de nos jours on ne « répare » rien, on « remplace », d’autant plus que « l’innovation est essentiellement un processus d’obsolescence » qui multiplie le déchet. À l’opposé, les gestes attentifs du luthier et de « sa main inventive » qui nous mènent très loin des « structures jetables ».

    Une espérance ? L’enjeu est capital, c’est Dieu ou rien. « Une plus grande foi dans l’Incarnation : de plus en plus, pour soutenir que rester humain est la possibilité du vrai trasumanar selon Dante, il faudra croire au Dieu fait charpentier, mort à 33 ans. »

    L’écologie est salvatrice contre la technoscience. L’homme « n’a plus guère d’autre alternative : ou bien se jeter dans les divertissements du désespoir, ou bien s’ouvrir à une espérance divine, qui l’entraîne à cultiver cette terre précisément parce qu’elle ne durera pas toujours, et que c’est la gloire de l’Éternel de prendre soin des éphémères. […] Les effets du technocosme sont si démesurés, si “globaux”, qu’on ne peut plus se contenter de se retirer dans son jardin pour revivre. L’île déserte est déjà recouverte de prospectus et de déchets toxiques. Aussi – et c’est peut-être malheureux à dire – l’engagement est-il forcé d’avoir une dimension politique et internationale. Et d’entrer dans une certaine radicalité. »

    Le livre se termine sur un conte de Noël qui suggère, peut-être, une aube nouvelle, répondant à la couverture du livre où le soleil semble se coucher, à moins qu’il ne se lève…   

    Dernières nouvelles de l’homme (et de la femme aussi). Chroniques d’une disparition annoncée. Fabrice Hadjadj, Editions Tallandier Essais, 18€90

    Laurence de Crémiers

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • A Rome, les prélats rappellent aux élus que l'accueil des immigrés doit se faire avec prudence et discernement

    6a00d83451619c69e201b7c95903f6970b-200wi.jpgHervé de Lépinau, Conseiller départemental Front National de Vaucluse, conseiller municipal de Carpentras, était à Rome avec les 200 élus emmenés par les évêques du sud de la France. Il témoigne sur Boulevard Voltaire :

    "[...] Le moment fort a évidemment été l’audience privée avec le Saint-Père. J’ai eu l’occasion avec mon épouse d’échanger avec le Saint-Père et de lui confier des intentions de prière. Chaque participant a pu avoir un bref échange avec le pape. 

    Nous avons également rencontré son secrétaire d’État, le cardinal Parolin, le Monsignore qui fait office de ministre des Affaires étrangères. Nous avons débattu des thèmes qui font l’actualité dans le monde, et plus particulièrement en Europe, et notamment la question des migrants et celles de bioéthique. Il était très intéressant de constater que l’Église reste fidèle à une approche permanente dans les fondements de l’analyse sur ces deux sujets. Sur les migrants, il y a bien un message évangélique d’accueil du migrant, de la personne en difficulté, mais les prélats nous ont rappelés que cet accueil doit se faire avec prudence et discernement, et en fonction des capacités d’accueil du pays concerné. On n’est donc absolument pas dans cette approche angélique et donc tronquée du discours du Saint-Père sur la question des migrants repris par les mouvements de gauche et la presse mainstream en France.

    Ce voyage d’élus de sensibilités différentes a-t-il donné lieu a des relations cordiales ?

    Nous avions en effet une parfaite transversalité sur l’échiquier politique. Nous avions le maire d’Arles qui est communiste, si je ne me trompe pas, jusqu’à notre ami Philippe Vardon du Rassemblement national et représentant du courant identitaire. Nous avions un panel représentatif de ce qu’est le paysage politique français. Je dirais qu’il a soufflé quasi miraculeusement un vent de concorde. Les participants sont tous venus dans une démarche d’écoute et non de démonstration. C’est plutôt une très bonne chose. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 60% des Français ont une mauvaise opinion de la mondialisation

    A l’occasion du 6e printemps de l’économie, un sondage a été réalisé par l’entreprise OpinionWay sur les Français et la mondialisation. Il en ressort que 60% des Français interrogés ont une mauvaise opinion de la mondialisation.

    Ils ont jugé entre autres que celle-ci bénéficie aux continents américain et asiatique mais a, au contraire, des effets négatifs sur l’Europe. Il est également intéressant de noter qu’en majorité les personnes interrogées estiment que les règles des échanges commerciaux sont fixées par les firmes multinationales plutôt que par les États.

    Ce sondage se focalisait pour l’occasion sur la facette économique du phénomène. Il n’a donc pas abordé la question migratoire, conséquence pourtant directe de la libre circulation des personnes engendrée par la mondialisation.

    Lire la suite