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  • Allemagne : une élève est battue parce qu’elle est blonde et chrétienne, le directeur d’école lui conseille le hijab

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    Allemagne – dans une école de Francfort, une élève a été victime de harcèlement par des élèves musulmans parce « qu’elle était blonde, chrétienne et ne portait pas de foulard islamique », le directeur de l’école a suggéré que la victime devait se couvrir d’un hijab pour avoir la paix.

    La mère de l’élève a confié à BILD que sa fille était victime de harcèlement de la part de filles musulmanes à un point tel qu’elle devait «la faire sortir de l’école pour la protéger».

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  • Kalifat-fatwa les pieds dans le tapis

    rodin-le-penseur.jpgHier, dans la cour des Invalides, lors de la cérémonie d’hommage national au lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, en présence de représentants de toute la classe politique, Emmanuel Macron a logiquement appelé à  l’unité, à la concorde nationale face à la barbarie islamiste et convoqué dans son discours l’Histoire de France.  De  Jeanne d’Arc à De Gaulle, le chef de l’Etat a inscrit l’héroïque sacrifice du gendarme égorgé par  Radouane Lakdim dans  cet  « esprit français de résistance » face à « l’obscurantisme  barbare » et à « la haine ». Obscurantisme a-t-il précisé,  dont a été aussi victime Mireille Knoll, une vieille dame de 85 ans, sauvagement  poignardée  puis brûlée dans son appartement du XIe arrondissement,  «  assassinée parce qu‘elle était juive » a  affirmé M. Macron,  devançant les conclusions  définitives de l’enquête. Les agresseurs, deux  marginaux,  ont été déférés devant la justice lundi et  mis en examen des chefs d’homicide volontaire à raison de l’appartenance vraie ou supposée de la victime à une religion, vol aggravé par trois circonstances et dégradation du bien d’autrui par un moyen dangereux . Le premier,  Yacine M., 29 ans  voisin de Mme Knoll à qui il rendait régulièrement  visite, condamné entre autres joyeusetés en 2017 pour agression sexuelle sur une fillette de 12 ans (au domicile de Mme Knoll),  le second,  un de ses amis, est lui aussi un délinquant multirécidiviste, un  SDF de 22 ans.

    En cette période d’émotion nationale, ouvrons ici une parenthèse,  Bruno Gollnisch tient aussi a rappeler  le sort de notre jeune compatriote Marin,  un  céfran  attaqué à Lyon le 11 novembre 2016, il avait alors 20 ans,   par des  racailles qui  lui ont défoncé le crâne  -le procès aura  à lieu en mai prochain.  Etudiant en troisième année de droit, ce jeune  homme avait  été laissé pour mort après s’être interposé courageusement pour défendre un couple agressé.  Il restera handicapé à vie, avec des pertes de mémoire irréparables. Il n’a pas eu, lui,  le droit à la visite d’un  chef d’Etat à son  chevet,  à des paroles de réconfort,  au  soutien  des autorités ou des pipoles.  Nous pensons à ses parents, à ses proches, nous pensons à lui.

    Une Marche blanche, de concorde civile,  était organisée hier soir en hommage à Mireille Knoll, marche à laquelle son fils Daniel Knoll, dans une déclaration très digne et émouvante le matin même au micro de Jean-Jacques Bourdin sur RMC-BFMTV,  avait appelé le plus grand  nombre à participer. Une précision rendue nécessaire après  la déclaration du président du Conseil Représentatif des Instituions Juives de France (Crif), le militant antinational Françis Kalifat. Celui-ci, tout à sa volonté de briser  cette journée d’unité nationale invoquée  dans la cour des Invalides, de préempter,  de  récupérer (à des fins clientélistes?)  cette Marche blanche,  avait déclaré la veille  sur twitter que « ni Jean Luc Mélenchon et les insoumis ni Marine Le Pen et le FN seront les bienvenus demain. »

    M. Kalifat,  entendait ainsi exclure deux formations qui refusent de se rendre à sa convocation-leçon annuelle, au fameux dîner du Crif,   qui rassemble le gratin du microcosme politico-médiatique - certes, les personnalités du FN et de LFI n’y sont pas  conviées. LFI  coupable à ses yeux d’antisionisme,  faux nez de l’antisémitisme est-il avancé,  et d’appuyer des campagnes de boycott visant Israël. Quant au  FN, il  est  pareillement  rejeté parce qu’il dénonce de longue date la politique d’immigration-invasion et tous les communautarismes.

    « Le Crif fait de la politique, et moi j’ouvre mon cœur (…). Tout le monde est concerné (par cette Marche). Tout le monde, sans exception. Nous appelons tout le monde, je dis bien tout le monde. Les gens qui ont une mère peuvent me comprendre, or tout le monde a une mère  » avait précisé  Daniel Knoll.  Propos salué par le FN notant qu’à l’évidence Monsieur Knoll n’était  « absolument pas sur la même ligne que le CRIF , qui a cru pouvoir briser l’unité nationale en écartant le Front National, lequel alerte et dénonce depuis des années la montée de l’antisémitisme islamiste. »

    L’attitude  sectaire,  particulièrement maladroite du président du Crif lui  a valu une avalanche de reproches, émanant de personnalités peu soupçonnables d’accointances avec LFI et encore moins avec l’opposition nationale, comme Raphaël Enthoven. Droit dans ses bottes, interrogé sur la chaîne franco-israélienne I24 news,  M. Kalifat  disait hier sur un ton bien méprisant:  « Elle (Marine) fera ce qu’elle voudra, elle, comme tous les autres, je ne suis pas là pour faire la police de ce qui arrive, je suis là pour dire que certaines personnes, si elles sont là, sont indésirables.  Elles (ces personnes) viennent contre la volonté des organisateurs parce qu’elles ne répondent pas aux critères indispensables qui peuvent les rendre fréquentables dans ce type de manifestation », car at-il ajouté, elles n’auraient pas « dénoncé tous ceux qui dans leur propre parti pratiquent un antisémitisme. »

    Hier Jean-Luc Mélenchon et les quelques députés de LFI qui se sont joints  à lui pour participer à cette Marche ont  été copieusement  insultés  (« collabos » )  a priori par  des membres du groupuscule d’extrême droite Ligue de Défense Juive (LDJ), et contraints de quitter le cortège  rapidement. Même chose pour Marine et les députés frontistes présents sur place qui ont essayé avec plus d’opiniâtreté de rester à cette Marche mais qui ont été  insultés eux aussi bassement (« nazis »«collabos », nous passons ici comme pour M. Mélenchon sur les grossières  insultes à caractère sexuel)  par des excités présents dans ce cortège. Une Marche, selon les personnes interrogées sur place par LCI, qui   se caractérisait par  sa grande absence de « mixité » ethnico-religieuse  et son très faible nombre de « jeunes ». L’attitude de M. Kalifat n’est peut-être pas pour rien dans cet échec.

    Invité hier de l’antenne de BFM-TVSerge Klarsfeld en a rajouté une couche, sans grande finesse, ni intelligence. Il s’est plaint tout d’abord de ce que dans cette « marche communautaire »  n’ait  rassemblé que quelques milliers de personnes:  « le peuple français n’était pas là ». Prouvant qu’il n’avait décidément  rien  compris à l’esprit qui animait nos compatriotes  hier, M. Klarsfeld a déclaré que le FN et LFI étaient les porteurs d’une politique « contraire aux intérêts et aux valeurs de la communauté juive. Ils auraient pu avoir  le tact de ne pas venir (…). La politique du FN et la ligne antisioniste  de LFI sont  responsables la mort de Mireille Knoll »,  « Marine Le Pen n’a pas fait son  mea culpa sur la question juive. »

    Propos sidérants  que chacun jugera en conscience, de même que nos compatriotes réfléchiront  à l’attitude du Crif. Un groupe de pression  plein de morgue qui ne représente en réalité  qu’une petite fraction des juifs de France  au nom desquels il lance ses fatwas , dont les instances  se sont hier acharnées à exclure d’une Marche blanche  deux candidats qui au premier tour de la présidentielle ont réuni pratiquement les suffrages d’un Français sur deux.

    https://gollnisch.com/2018/03/29/kalifat-fatwa-les-pieds-dans-le-tapis/

  • « FICHES « S » ? LA METHODE ROOSEVELT !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat 

    Longue est la liste des crimes commis par les adeptes de Dae’ch dans notre pays : deux gendarmettes abattues en 2012 dans le Var, un chef d’entreprise décapité, la tuerie de « Charlie Hebdo » et de l’hyper cacher de la Porte de Vincennes, deux policiers assassinés devant leur enfant, à leur domicile dans les Yvelines, deux jeunes filles égorgées à la Gare Saint-Charles de Marseille, un policier tué sur les Champs Elysées, sans oublier, bien sûr, les massacres du Bataclan et de Nice, les crimes de Mérah à Toulouse. Et dans l’Aude, la furie islamiste a encore frappé la semaine dernière. Et c’est dans ce contexte que Macron a supprimé l’état d’urgence qui permettait, un peu, de semer la crainte dans les milieux djihadistes en France et facilitait, surtout, la tâche des forces de l’ordre, pour perquisitionner les domiciles des suspects.

    On nous dit, à la louche, qu’il y aurait une vingtaine de milliers de suspects fichés « S » qui se baladent dans la nature, plus ou moins surveillés par nos services de sécurité et de renseignement. Sachant qu’il faut, au minimum, une dizaine d’agents pour effectuer la surveillance d’un terroriste potentiel 24 h sur 24, on mesure là, l’impossibilité matérielle qu’il y a à assurer une totale sûreté à nos concitoyens.

    Expulser les suspects étrangers, supprimer la double nationalité

    D’efficaces mesures pourraient, pourtant, être prises rapidement. D’abord expulser tous les suspects étrangers dans leur pays d’origine, retirer la citoyenneté française à ceux qui ont une double nationalité, - on ne peut être à la fois de Sparte et d’Athènes, de Rome et de Florence !-, refuser le retour des familles de « repentis » des théâtres d’opération de l’Etat islamique, supprimer toutes les aides sociales à ces suspects. Et, bien sûr, n’accorder de visa aux ressortissants des pays touchés par l’islamisme militant, qu’au compte-goutte.

    Roosevelt n’avait pas fait dans le détail !

    Le 7 décembre 1941, une attaque aéronavale japonaise commandée par l’amiral Tojo, en deux vagues successives d’un total de 400 avions, avaient détruit 188 appareils US, tué 2043 Américains et blessé 1178 autres à Pearl Harbour, dans l’ile d’Oahu, archipel des îles Hawaï. La réaction ne se fit pas attendre. Le 19 février 1942, soit deux mois après, le Président des Etats-Unis Roosevelt, signait l’ordre d’incarcération des quelques 110 000 Japonais et Américano-japonais résidant aux USA. Dans le cadre du War relocation centers, ils étaient internés : hommes, femmes, vieillards et enfants, dans des baraquements dressés en toute hâte dans les Etats de Californie, de Washington et d’Oregon, sur la côte Ouest. Après expulsion des indésirables du territoire français, les autorités françaises devraient interner ou mettre en résidence forcée tous les autres « fichés S ». De Gaulle le fit à l’encontre des patriotes « Algérie française », hélas une référence ! Cela nécessiterait, certes, une logistique importante. Mais l’armée, la gendarmerie et leurs réservistes sont là : camps de toile et Algécos feraient l’affaire. Demandons la recette à l’ancien Shérif Arpaio du comté de Phoenix, en Arizona, où il est candidat républicain aux sénatoriales, il connait son affaire ! Et rien n’empêcherait ceux à qui le goût de la semoule viendrait à manquer d’aller demander l’asile dans un pays du Maghreb ou du golfe par exemple !

    Un héros français

    Le sacrifice suprême du colonel Arnaud Beltrane qui a offert sa vie pour sauver un otage, est la marque d’un homme d’honneur. Combien de ces étoilés et autres politiciens présents à la cérémonie des Invalides seraient capables d’un tel geste ? Qui d’entre nous ? Soyons honnêtes, fort peu. C’est d’autant plus écœurant que cet hommage rendu à l’héroïque officier, avait comme une odeur de récupération par un pouvoir qui, s’il ose, enfin, désigner l’ennemi, n’a pas, - pas encore ? -, choisi tous les moyens, TOUS les moyens mis à sa disposition pour éradiquer ce mal qu’est l’islamisation rampante de notre patrie avec, surtout, son volet fondamentaliste.

    Islamophobie ?

    Certains diront que l’on ne peut stigmatiser un segment de la population et, qu’en aucun cas, il ne faut pratiquer l’amalgame. C’est vrai que beaucoup de nos compatriotes musulmans vivent sous le règne de l’omerta, et qu’ils ne sont, ni de près, ni de loin, des adeptes du terrorisme islamiste. Mais force est de constater que les « territoires perdus de la République » et autres « zones de non droit », sont les taches noires de la triste peau de léopard qu’est devenu l’hexagone, et que ce ne sont ni des Lapons, ni des Esquimaux, encore moins des bushmen qui les peuplent. Et c’est là que se pratiquent de juteux trafics divers et variés. Les autorités militaires, en tout cas, en sont bien conscientes, puisqu’elles entrainent leur infanterie dans des « Cenzub », ou Centre de combat en zones urbaines. Et mon petit doigt me dit que des officiers israéliens nourris des expériences au Sud-Liban et dans la bande de Gaza, doivent inspirer nos penseurs militaires ! Car, un jour, à défaut d’un inacceptable consentement d’une partition du pays, il faudra bien reconquérir tous ces quartiers, toutes ces cités sans âme, où le terrorisme islamiste trouve un fertile terreau en dépit des milliards déversés depuis des années dans le cadre de l’inefficace « politique de la ville ». En un mot comme en cent, « il faudra prendre le taureau par les cornes », si je puis dire !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/03/28/fiches-s-la-methode-roosevelt-6038552.html

  • Le vrai courage

    Hommages ... 

    Dans cette tribune du Journal de Montréal [27.03] Mathieu Bock-Côté distingue le vrai courage du faux. Et au-delà du simple courage, les héros qui eux sont prêts à l'ultime sacrifice. Et il ajoute à fort juste raison qu' « aucun peuple ne peut vraiment survivre s’il n’inculque pas au moins partiellement le sens du sacrifice à ceux qui le composent ».   LFAR  

    On abuse aujourd’hui du mot courage. Un artiste qui pleure à la télé en racontant qu’il n’a pas eu une enfance heureuse mais qu’il s’en est sorti est jugé courageux. Une belle quinquagénaire qui pose en bikini aura droit au même compliment.

    Il en ira de même pour le politicien qui se permet de dire un peu ce qu’il pense sans répéter les fadaises du jour.

    Il lui suffira de se tenir droit le temps d’une controverse pour sortir du lot. Mais à voir sans arrêt des courageux partout, on ne sait plus comment qualifier le vrai courage lorsqu’il se manifeste. 

    France

    Et il s’est manifesté en France ces derniers jours, au moment de l’attentat terroriste de Trèbes où un lieutenant-colonel de la Gendarmerie française, Arnaud Beltrame, a échangé sa vie contre celle d’un otage. Sans surprise, il l’a payé de la plus atroce manière. Son meurtrier, Radouane Lakdim, fidèle à la méthode islamiste, l’a égorgé. 

    Un tel acte de courage peut sembler irrationnel pour notre époque. Elle y verra une folie gratuite, peut-être même le signe d’un esprit dérangé. Comment un homme peut-il donner sa vie pour une inconnue ? A-t-il passion malade du sacrifice ?

    Le philosophe François-Xavier Bellamy, dans une tribune du Figaro parue hier, nous convainc aisément du contraire. Aucune société ne peut durer sans des hommes prêts à se sacrifier pour quelque chose qui les dépasse.

    Et ce sacrifice ne vient pas d’un coup. Il faut s’y préparer toute sa vie. C’est à cela que préparent des institutions comme l’armée. Mais plus largement, aucun peuple ne peut vraiment survivre s’il n’inculque pas au moins partiellement le sens du sacrifice à ceux qui le composent.

    Héros

    Ce qui distingue les héros, c’est qu’ils sont prêts à aller jusqu’à l’ultime sacrifice. C’est pour cela qu’il faut leur être éternellement reconnaissant, les célébrer et préserver leur mémoire.     

  • Le gouvernement tarde à réagir contre l’invasion de Mayotte

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Cela fait aujourd’hui une semaine que les autorités de l’État à Mayotte ne peuvent plus reconduire chez eux les Comoriens en situation irrégulière. Le gouvernement de l’Union des Comores a en effet pris la décision de refuser de laisser débarquer les Comoriens faisant l’objet d’une décision d’éloignement. Le bateau qui fait presque quotidiennement la navette, et qui raccompagnait près de 100 Comoriens dans l’île d’Anjouan, avait ainsi dû faire demi-tour mercredi dernier.

    Le ministre de l’outre-mer, Annick Girardin, avait promis une « action ferme et déterminée » du gouvernement à l’égard des Comores, mais on ne voit toujours rien venir !

    La décision unilatérale de l’Union des Comores place Mayotte dans une situation catastrophique. Le centre de rétention est plein et plus aucune expulsion forcée ne peut être organisée depuis une semaine. Or, chaque année, ce sont environ 20 000 Comoriens qui sont reconduits à la frontière, sans que l’on ne soit bien sûr qu’il n’en rentre pas davantage sur le territoire chaque année… Si d’aventure les Comoriens en situation irrégulière ne sont plus éloignés, Mayotte sera submergée, sauf réactions de la population.

    Face à l’impuissance croissante des autorités, les citoyens mahorais commencent à s’organiser eux-mêmes pour faire face à l’invasion.

    De fait, des comités dits de décasage ont été constitué, notamment dans le Nord de l’île. Il s’agit pour les Mahorais de se regrouper pour inciter les clandestins à abandonner leurs cases illégales et à rentrer chez eux. S’ils ne partent pas, ils les conduisent à la gendarmerie. Mais si l’État ne peut plus les éloigner, on peut redouter que ces groupes mahorais fassent disparaître les intrus par d’autres moyens plus radicaux. En attendant, certains Comoriens ont accepté de repartir aux Comores de leur plein gré, par avion aux frais de l’État.

    A Paris, l’exécutif peine à prendre les décisions qui s’imposent.

    Selon Le Monde, le ministère de l’outre-mer et Matignon plaident pour un renforcement de la coopération avec l’État comorien, en contrepartie d’un engagement de sa part à lutter contre l’immigration clandestine. Le ministère des affaires étrangères, qui a l’oreille de l’Élysée, suggère quant à lui de créer une association entre Mayotte et les Comores dans le cadre d’un accord de coopération régionale.

    S’il n’est guère contestable que la place de Mayotte devrait être dans les Comores et non en France, la faiblesse de l’exécutif dans cette crise diplomatique est effarante.

    Il suffirait en effet de bloquer les visas et permis de séjour des Comoriens, ainsi que les transferts de fonds vers les Comores, pour débloquer pacifiquement la situation. L’ancien député Mansour Kamardine et Marine Le Pen ont chacun fait des propositions dans ce sens.

    https://fr.novopress.info/

  • "Il faut se libérer des sources perpétuelles d'équivoque et de confusion..." | MICHEL VILLEY

  • Sous les pavés, Paris-Plages

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    Patrick Buisson

    « Les hommes font l’histoire mais ils ne savent pas l’histoire qu’ils font. » Jamais la maxime de Raymond Aron ne se sera mieux appliquée qu’aux enragés de Mai 68. Croyant combattre l’ordre bourgeois, ils lui ont offert une seconde jeunesse en opérant la convergence entre une révolte individualiste et les besoins économiques et sociaux du néocapitalisme dont la stratégie de développement postulait une révolution culturelle, la liquidation du vieux monde et de cette France antiéconomique, dont le fond anthropologique fait d’entraide et de gratuité restait réfractaire à la modernité. Impulsivité et compulsivité, indifférenciation et illimitation : l’imaginaire libertaire de Mai 68 entra en résonance avec l’hybris du “capitalisme impatient”. Croyant ébranler les colonnes du temple consumériste, ils ont gravé sur les murs de Nanterre et de la Sorbonne les nouvelles tables de la loi de l’ordre marchand : “Prenez vos désirs pour des réalités”, “Jouir sans entraves”, “Tout tout de suite”, “Il est interdit d’interdire”, “Vivre sans temps mort”. Sous les pavés, on sait maintenant qu’il n’y avait pas la plage mais Paris Plages.

    Il est vrai qu’avant de faire irruption sur la scène politico-sociale, la jeunesse avait été érigée en marché et le jeunisme en idéologie organique de la société de consommation naissante. Au début des années soixante, le transistor fut le médium d’un vaste processus d’unification des pratiques socioculturelles, en même temps que le vecteur d’une domestication du peuple adolescent. Saluons ce double coup de génie qui consista à convertir la rage improductive de l’adolescent œdipien en une attitude directement exploitable par le marché, tout en la retournant contre les figures d’autorité et les institutions qui faisaient obstacle à l’avènement du tout-marchandise.

    Des millions de jeunes vécurent leur soumission au nouvel ordre marchand non comme une aliénation mais comme une modalité socialement valorisante d’une révolte sans concession. Ils s’étaient rêvés en James Dean, ils se retrouvèrent en idiots utiles de la révolution consumériste.

    Source : Valeurs Actuelles 22/03/2018

  • 22 avril : Marche pour la Vie Bruxelles

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les actes antisémites proférés par des musulmans sont passés sous silence en raison de la doxa antiraciste

    Que se passe-t-il ce soir sur BFM TV ?

    Philippe Carhon

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