Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Herve Juvin : du vide politique à l'urgence nationale

    2804716410.png

    Hervé Juvin nous présente son dernier ouvrage France le moment politique paru aux éditions du Rocher.
    Pour vous abonner à Perspectives Libreshttp://cerclearistote.com/sabonner-a-...
    Soutenez nous. Soyez mécènehttps://www.tipeee.com/cerclearistote ou faites un don Paypal via notre site internet (lien en rouge, en bas à droite)http://cerclearistote.com/
  • Et Manu, tu (re)descends

    rodin-le-penseur.jpgLe président turc sortant Recep Tayyip Erdogan et son parti islamiste AKP n’ont pas vraiment  la cote en Europe mais ont remporté largement les élections présidentielle et législatives de cette fin de semaine en Turquie. M. Erdogan a été réélu dés le premier tour, promettant de se doter au passage de pouvoirs (encore) renforcés et l’AKP est assuré de rafler la majorité au Parlement. Il parait pourtant que l’opposition croyait en ses chances…  Résultats électoraux qui coïncident  avec le tenue dimanche d’un mini-sommet européen sur la crise migratoire visant à déminer le terrain avant le Conseil européen de jeudi et vendredi. Comme il fallait s’y attendre,  les positions entre gouvernements européens sont trop dissemblables pour que ce mini-sommet ait pu accoucher d’un quelconque résultat. La veille, le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini  dénonçait « l’arrogant président français ». Un  donneur de  leçons, hypocrite, incapable d’appréhender la catastrophe économique, sociale,   identitaire que  représente pour l’Italie l’arrivée massive de  clandestins.  Invité de france info hier, François Gemenne, chercheur à l’université de Liège et à Science Po Paris, spécialiste des flux migratoires, actait lui aussi par avance  l’échec de ce mini-sommet « convoqué par Jean-Claude Juncker pour essayer de sauver Angela Merkel, en grande difficulté en Allemagne du fait de sa mise sous pression par le parti bavarois CSU, qui lui intime de trouver une solution (à la crise migratoire) .»  « De plus, plusieurs pays, notamment d’Europe centrale et de l’Est, membre du groupe de Visegrad, ont annoncé qu’ils ne viendront pas. Il y a une sorte de fuite en avant. Plus personne ne sait que faire face à cette question, face à une crise montée en épingle, qui menace le projet européen lui-même.»

    Un climat général, couplé à l’absence de résultats tangibles de ce gouvernement sur le front de l’emploi, la poursuite de la dégradation  du niveau et de la qualité de vie des classes moyennes et populaires,  qui expliquent la nouvelle érosion de la cote de popularité d’Emmanuel Macron. Celle-ci a atteint selon  un sondage Ifop paru hier  dans le Journal du Dimanche  son plus bas niveau depuis un an,   avec  seulement 40% de sondés satisfaits de l’action du président contre 64% en juin 2017; une courbe descendante que suit dans les mêmes proportions le Premier ministre Edouard Philippe.

    Mais la politique se nourrit et s’incarne aussi par des symboles, aussi,  il y a  fort à parier que la fête de la musique organisée  par Emmanuel Macron dans la cour de l’Elysée le 21 juin laissera  des traces.  Elle vient télescoper, saborder les efforts qu’avaient entrepris le chef de l’Etat pour restaurer la dignité d’une fonction présidentielle qui   avait  très abîmée par Nicolas Sarkozy et François Hollande.

    RT l’a relevé « la fête de la musique 2018 de l’Elysée  avait été annoncée en grandes pompes comme un événement extraordinaire : pour la première fois, la musique électronique ferait son entrée dans la cour du palais présidentiel le 21 juin (…). Mais c’est la prestation de Kiddy Smile qui aura fait le plus couler d’encre  (…) : il a amené avec lui un aréopage d’exubérants danseurs pratiquant le voguing (danse développée par la communauté LGBT afro-américaine) (…). D’autres ont simplement noté le message sous-jacent du t-shirt du DJ Kiddy Smile : Une fête de la musique à l’Elysée politique : Kiddy Smile dénonce la loi Asile et Immigration en portant un t-shirt Fils d’immigrés, noir et PD sur scène.»

    « Sur son compte Facebook, le musicien a explicité sa démarche en ces termes le 20 juin : Je sais ce que représente l’Elysee en terme d’oppression et d’histoire pour QPOC / POC (queer people of color) et la communauté LGBTQIA+ ainsi que la répression des migrants mais je crois fermement au high jacking du pouvoir en place de l’intérieur et a la création du discours la où il n’y en a plus/pas : cette invitation à mixer dans la demeure temporaire de Macron se présente à moi comme une opportunité de pouvoir faire passer mes messages : moi fils d’immigrés noir pédé va pouvoir aller au cœur du système et provoquer du discours de par ma présence.»

    « Le portrait pour lequel le couple présidentiel a pris la pose avec les danseurs de Kiddy Smile a également fait réagir la presse.» Albert Zennou rédacteur en chef du service politique du Figaro ou  encore sa collègue journaliste Eugénie Bastié   ont eu beau  jeu comme d’autres d’établir un parallèle entre un Macron  recadrant (avec raison)   un collégien  qui l’avait interpellé irrespectueusement le 18 juin en marge des commémorations  au Mont-Valérien  « parce que ça porte atteinte à la fonction présidentielle et (qui)  en même temps (transforme) l’Elysée en boite de Nuit».

    Cette photo  surréaliste ou Emmanuel et Brigitte Macron  sont cernés  par des créatures LGBT a été particulièrement mal vécue par  beaucoup de Français expatriés  (ils sont officiellement  1,8 millions) dans des nations où la tenue est encore de mise. Certains d’entre eux nous ont écrit   pour nous faire part de leur honte pour  l’image de la France  devant  la consternation incrédule de nos amis étrangers, mais aussi devant la  risée et les quolibets dont notre pays est l’objet  depuis que cette photo notamment  s’est répandue sur les réseaux sociaux…

    Alors,  nous sommes en effet ici dans le  «en  même temps » macronien  qui confine peut-être  au dédoublement de personnalité. Nous notions vendredi sur ce blogue cette réflexion de  Brice Couturier, chroniqueur sur France Culture,  qui expliquait  que « Macron est hanté par l’idée que la France est victime d’une crise civilisationnelle et culturelle, autant sociale et économique. Il faut donc réconcilier les mémoires nationales et restaurer une fierté nationale. »

    L’inénarrable militant-journaliste  anti-national Bruno Roger-Petit, aujourd’hui porte-parole de l’Elysée,  confiait au Monde en mai dernier que M. Macron, tout  fédéraliste européiste qu’il est,  se voyait comme le successeur  des 40 rois qui ont fait la France. Un Macron qui comme nos rois sanctifiés le jour du sacre par la Sainte Ampoule,  serait un  représentant de Dieu sur terre, et dont il explique l’appétence  pour les bains de foule en référence aux rois thaumaturges qui guérissaient  les écrouelles: « Pour lui (E. Macron), le toucher est fondamental, c’est un deuxième langage. C’est un toucher performatif : Le roi te touche, Dieu te guérit. Il y a là une forme de transcendance.»

    Bref, Emmanuel Macron aurait compris les deux dimensions de la politique, la sacrée et la profane,  l’importance de ne pas désacraliser le pouvoir, en lecteur peut-être  de l’historien Ernst Kantorowicz qui,  dans Les deux corps du Roi, avait montré en quoi le monarque médiéval possédait un double corps : le corps naturel, mortel, et le corps surnaturel, celui qui incarne le principe dynastique et ne meurt pas…

    Autant dire note Bruno Gollnisch,  que cette fête de la musique élyséenne nous replonge dans la vulgarité la plus crasse et  que ce solstice d’été 2018  écornera durablement  l’image solaire,  jupitérienne de notre  monarque républicain.  Certes, certains pourraient nous rétorquer que nous  étions le 21 juin  dans l’exceptionnel  et non pas dans la règle… Un peu à l’image  des Saturnales de la Rome Antique, dont le carnaval moderne est le dérivé, ces fêtes ou les serviteurs commandaient aux maîtres et ceux-ci les servaient.  Un monde renversé l’espace d’un instant, ou tout se faisait à rebours de l’ordre normal… qui n’est pas  de faire danser des travelos en résille sur le perron de l’Elysée pendant que Manu frappe dans ses mains et que Brigitte tape du pied…

    Le problème c’est que nous sommes rentrés depuis longtemps dans le règne du carnaval permanent, de  l’inversion dans tous les domaines.  Au risque  de passer pour des pisse-froids,  ce type de spectacle au cœur d’un lieu symbolisant le pouvoir Français est consternant.  Mais nous assumons nos répugnances, un homme sain doit en avoir,  et comme le soulignait  Jiddu Krishnamurti, « ce n’est pas un signe de bonne santé mentale d’être bien adapté à une société malade. »

    https://gollnisch.com/2018/06/25/et-manu-tu-redescends/

  • Des centaines de milliers de déboutés du droit d’asile s’évaporent en Europe

    macron_migrants.jpg

    En Suisse, un centre de regroupement pour déboutés du droit d’asile, situé au centre du Canton de Zürich, déclare avoir perdu la trace de 309 des 649 des « hôtes » qui lui avaient été confiés depuis Mars 2017. En vertu des accords de Dublin, ce type de centre est l’ultime destination avant leur expulsion soit vers un pays tiers soit vers leur pays d’origine.

    Malgré sa porosité, ce type de centre a le mérite d’exister en Suisse, contrairement à la situation dans de nombreux pays européens. En Finlande, où ce dispositif n’existe pas, ce sont 5 300 demandeurs d’asile qui ont « échappé » au contrôle gouvernemental.

    Pire, en Allemagne, le gouvernement fédéral a dû reconnaître avoir perdu la trace de 130 000 demandeurs d’asile. C’est pourtant dans cette population que se trouvaient les auteurs des attaques terroristes de Berlin (Anis Amri) et de Stockholm (Rakhmat Akilov).

  • I-Média n°206 : Trump et les enfants de clandestins : l’émotion au service de l’immigration

    01-Trump et les enfants clandestins : l’émotion au service de l’immigration
    « Insensible, sans âme, lâche », les médias ne mâchent pas leurs mots sur Donald Trump depuis la découverte de l’enregistrement d’un enfant de clandestin pleurant dans un centre de rétention.

    02- Le Zapping 
    Beaucoup de séquences immigrationnistes et …festival de novlangue : les clandestins africains deviennent dans la bouche des journalistes des « évacués », des « exilés », des « réfugiés », sauvés d’un « bateau en perdition ». Alors que l’Aquarius n’a jamais menacé de faire naufrage. On notera aussi l’aveu de cet Albanais racontant comment il avait menti pour tenter d’obtenir de l’OFPRA le statut de réfugié politique. Le mensonge, l’arme absolue de 95 % des demandeurs d’asile !

    03-censure de TVlibertés : petit meurtre en silence
    Jeudi 14 juin la chaine Youtube de TVlibertes a été fermée de manière unilatérale. La chaine avait 100 000 abonnés. Alors que la fermeture relève de la censure et de l’atteinte à la liberté de la presse, les médias restent silencieux.

    04-Les Tweets
    Vous reprendrez bien un petit coup de novlangue ? Pour l’Associated Press une agression au cri de « Allah Akbar » est faite au nom de « God is great ». Quant à l’AFP, elle titre sur « la menace grandissante du terrorisme d’extrême droite en Grande Bretagne ». Brr…

    05- Salvini et Trump victimes de bobards sur l’immigration
    Donald Trump aurait dit une « Fake news » en affirmant que la délinquance avait augmenté en Allemagne, Salvini, le ministre de l’intérieur italien aurait appelé à une épuration de masse. Salvini, Trump, deux victimes de bobards immigrationnistes

    https://www.tvlibertes.com/2018/06/22/23698/i-media-n206

  • Histoire & Actualité • Éric Zemmour : « Franco, symbole des féroces guerres de mémoire »

    104184348.jpg

    BILLET - Dès sa première interview télévisée, lundi soir, le nouveau chef du gouvernement espagnol a annoncé que les restes du général Franco seront exhumés et expulsés du mausolée où ils reposent. [RTL 21.06]. Sur Franco et son régime, Zemmour rétablit ici la vérité historique toute simple, sans grands mots, mais avec intelligence et lucidité. Faits d'Histoire qui n'ont pas seulement concerné l'Espagne mais aussi la France et le monde. Franco pas plus que Pétain ne méritent l'opprobre et la malédiction que l'on voudrait faire peser sur eux. Par delà le passé, et pour des raisons en partie analogues à celles qui provoquèrent la Guerre Civile, l'Espagne d'aujourd'hui court à nouveau le risque de déchirures et de convulsions qui sont un grave danger pour elle-même, la France et l'Europe.   LFAR  

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    Les guerres de mémoires sont souvent les plus féroces. À peine installé, le nouveau premier ministre espagnol n'a pas tardé à l'annoncer : le général Franco sera bientôt sorti de son mausolée où il repose depuis sa mort en 1975. Comme si le chef de gouvernement n'avait rien à faire de plus urgent. S'occuper d'un mort depuis plus de quarante ans !

    Mais Franco pour la gauche espagnole, c'est un peu comme le maréchal Pétain pour la gauche française : le symbole absolu du mal, que l'intelligentsia a fait haïr à tout un peuple. L'incarnation du fascisme et du nationalisme honnis. 

    Pourtant, avec le temps, on aurait pu imaginer un regard plus distancié, moins passionnel. On aurait pu découvrir chez les historiens étrangers, anglo-saxons en particulier, une lecture de la guerre moins manichéenne. 

    À l'époque, la gauche elle-même n'avait pas non plus respecté la légalité républicaine. Et les massacres de prêtres par les partisans républicains valaient bien les exécutions de masse opérées par les nationalistes.

    Tout le monde a retenu que les avions de Mussolini et de Hitler avaient fait des ravages pour soutenir l'armée de Franco. Tout le monde a en mémoire Guernica, le fameux tableau de Picasso. Mais ... 

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Non Bernard-Henri Lévy, le solde migratoire de l’Europe n’est pas « nul » : "Il n'y a pas de crise des migrants", a-t-il affirmé sur Europe 1

    bhl-bernard-henri-levy-migrants.png

    Bernard-Henri Lévy a déclaré, hier, sur Europe 1 lors du Grand rendez-vous du dimanche qu’il n’y avait pas de crise migratoire comme le prouverait le solde migratoire nul de l’UE.

    Verbatim :

    Il n’y a pas de crise des migrants. Le solde migratoire, comme disent les démographes ou les économistes est nul. C’est-à-dire que la balance entre les gens qui quittent l’Europe et les gens qui y rentrent est à peu près à zéro.

    Lire la suite et voir la video sur Causeur

  • Nicolas Dupont-Aignan: « J’estime que notre pays est colonisé (…) économiquement, religieusement et migratoirement »

    Nicolas Dupont-Aignan était l'invité de Laurent Ruquier sur le plateau d’On n’est pas couché ce samedi 23 juin :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • NE CONFONDONS PAS LA RADICALITÉ ISLAMIQUE AVEC LA RÉSISTANCE À LA NORMALISATION DES ESPRITS

    Islam-will-dominate.jpg

    Selon un récent sondage, un jeune Européen sur deux déclare avoir été confronté à un discours radicalisé. La France, la Grèce et l’Espagne sont les pays les plus concernés. Cette étude, citée par Le Figaro, évoque aussi la xénophobie, le racisme, les idées d’extrême droite et d’extrême gauche ou les idées sexistes, ou encore des questions de société comme le rétablissement de la peine de mort ou le droit à l’avortement, comme si toutes ces positions pouvaient être mises sur le même plan.

    Dans tous les cas, ce phénomène révèle qu’une partie de la jeunesse trouve ses informations ailleurs que dans les médias publics, notamment sur les réseaux sociaux, accusés de véhiculer des thèses extrémistes ou complotistes, contraires à la pensée que le gouvernement voudrait bien prescrire. Cette rébellion trouve son origine dans le peu de crédit accordé aux sources officielles.

    L’extension du radicalisme islamique est insuffisamment contenu par l’État. La propagande islamique se développe sur Internet, dans les prisons, dans une partie des mosquées, notamment salafistes, dans des associations pseudo-culturelles ou sportives, dans les revendications communautaristes, sans une réaction adaptée des autorités. Mais elle est aussi attisée par l’image négative de la France que donnent la plupart des livres d’histoire et les politiciens, à commencer par Macron lui-même, en incitant à la repentance et en présentant les anciens peuples colonisés comme des victimes.

    S’y ajoutent, chez les prétendues élites, un relativisme culturel et un nivellement des valeurs : toutes les religions, toutes les cultures, toutes les formes d’art se valent. Le lamentable spectacle donné dans la cour de l’Élysée, à l’occasion de la fête de la Musique, en est un exemple. Dans les milieux politiques, avec un cynisme inouï, on détermine, en fonction de ses intérêts immédiats, qui sont les bons et les méchants, dans un manichéisme primaire. Ainsi, nos dirigeants se sentent plus d’affinités avec les rois du pétrole, pratiquant un islam rigide, qu’avec des pays européens qui veulent résister à l’immigration sauvage.

    S’ils font preuve d’un laxisme coupable à l’égard de l’islamisme, ils se montrent, au contraire, intransigeants envers ceux qui contredisent la doxa bien-pensante. Pleins d’attention pour l’islam qui nourrit le terrorisme, ils jettent l’opprobre sur tous ceux qui expriment une opinion libre sur l’avortement, la théorie du genre, le mariage pour tous, la filiation et, bien sûr, les idées qu’ils qualifient « d’extrême droite » pour les stigmatiser et les amalgamer au fascisme ou au nazisme.

    Nos gouvernants font preuve de faiblesse à l’égard des idéologies impérialistes, en l’occurrence l’islam politique, comme ils furent autrefois complaisants avec un Parti communiste qui n’avait pas rompu avec le stalinisme. Mais ils sont implacables quand on touche à leur vérité. Relativistes face aux agressions des ennemis de la France, ils deviennent sectaires envers qui ose mettre en question les opinions en vogue, par nature éphémères.

    Que de jeunes Européens soient de plus en plus confrontés à un discours radicalisé est inquiétant. Ce phénomène montre que l’islamisme n’est pas maîtrisé comme il devrait l’être. Mais il est réconfortant que de plus en plus de jeunes Français, malgré l’intoxication quotidienne qu’ils subissent, se prémunissent contre l’endoctrinement, refusent la pression de la pensée unique, osent penser par eux-mêmes au lieu de répéter, comme des perroquets, les slogans à la mode.

    Le combat à venir est celui du bon sens contre la déraison, de l’intelligence contre la bêtise, de la vérité qui se cherche contre l’erreur qui veut s’imposer. C’est le combat de l’anticonformisme contre la normalisation des esprits.

    http://www.bvoltaire.fr/ne-confondons-radicalite-islamique-resistance-a-normalisation-esprits/