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  • Immigration et trafic d'êtres humains : le nouvel esclavagisme

    Un vaste réseau d'esclavagisme moderne vient de tomber entre l'Espagne et la France : plus de 350 immigrés clandestins, en provenance d'Afrique de l'Ouest, ont été acheminés principalement en France ces derniers mois par l'intermédiaire d'une filière qui vient d'être démantelée par la police espagnole. Les enquêteurs ont ainsi fait tomber un réseau particulièrement bien organisé qui revendait ces migrants à d'autres organisations criminelles.

    Les trafiquants promettaient l'eldorado français à des hommes du Mali, du Sénégal, de Côte d'Ivoire ou de Guinée mais très vite, le piège se refermait sur les candidats au départ. Les trafiquants leur fournissaient de faux papiers, organisaient leur transfert jusqu'en Espagne par de petits bateaux, mais au moment d'arriver enfin en France, les clandestins étaient revendus à d'autres réseaux.

    Ensuite, des gens en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, vont acheter quatre, cinq, sept personnes africaines et ils les envoient devant les portes des églises, des supermarchés pour mendier ou bien ils les font travailler dans des écuries.

    Evidemment, les immigrationnistes, qu'ils soient politiciens, associations, clercs, se rendent complices de ces trafics d'être humains en appelant à l'accueil systématique de ces immigrés.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Alain de Benoist : « L’ultra-droite en France ? Ne refait pas la Fraction armée rouge qui veut ! »

    L’affaire Benalla l’a un peu fait oublier, mais on a récemment démantelé un « réseau d’ultra-droite » en France. Son meneur est un retraité de plus de 60 ans. Xavier Raufer, spécialiste reconnu des questions de sécurité, assure que ce n’est pas à cet âge qu’on débute une carrière de terroriste. Tout cela est-il bien sérieux ?

    Même sans les remous soulevés par les agissements d’Alexandre Benalla, cette histoire aurait rapidement été oubliée, tant elle manquait de sérieux. Elle n’a été médiatisée que dans l’espoir d’établir une fausse symétrie entre le terrorisme islamiste et les projets fumeux de quelques conspirateurs d’opérette : d’un côté 250 morts en trois ans, de l’autre des propos de comptoir. Personne ne pouvait s’y laisser prendre. Comme le terrorisme, la clandestinité ne s’improvise pas. C’est un choix de vie difficile, où il n’y a pas de place pour les pieds nickelés, les branquignols et les charlots. Elle exige une discipline féroce, des nerfs à toute épreuve, de la rigueur dans tous les domaines, un sens aigu de l’appréciation des situations. Ne refait pas la Fraction armée rouge (RAF) qui veut – surtout à une époque où les moyens de surveillance et d’investigation policières sont plus perfectionnés que jamais.

    Cela dit, il y aura toujours aussi des esprits fantasques, mais surtout un peu limités, pour rêver d’Anders Behring Breivik et de sa logique imparable : je trouve qu’il y a trop d’immigrés en Norvège, donc je tue 70 Norvégiens « de souche ». Mais Breivik a agi seul, ce qui est rarement le cas de ceux qui rêvent de guerre civile sans réaliser qu’ils l’ont déjà perdue. Ce genre de mythomanes paranos, les asiles en sont pleins. Je suis même étonné qu’il y en ait si peu qui passent à l’acte.

    À droite, la tentation de l’« action directe » n’a rien de nouveau. Mais, de la Cagoule au réseau en question, tout en passant par l’OAS, on ne saurait prétendre que tout cela ait véritablement fait un jour trembler qui que ce soit…

    D’une façon générale, la droite est assez légaliste (« la police avec nous ! »), ce qui explique qu’elle hésite toujours à remettre en question l’ordre en place – même si celui-ci, comme le disait Mounier, n’est jamais qu’un désordre établi. On pense à ce que Lénine disait de certains révolutionnaires allemands : quand ils sont chargés de commettre un attentat dans une gare, ils commencent par acheter un ticket de quai. Lorsque la droite s’engage dans l’illégalité, c’est en général sous le coup de l’enthousiasme ou de l’indignation, avec parfois le goût du panache et un certain dandysme, le goût du défi et des beaux « coups », mais surtout avec une imprudence, une naïveté et un amateurisme confondants, bref, sans grand sérieux. Sous l’Occupation, combien de réseaux de résistance ont-ils été démantelés suite à des indiscrétions, des bavardages, des rivalités, des trahisons liées à des histoires de sexe ?

    Vous citez l’exemple de la Cagoule. Il est révélateur. Le 11 septembre 1937, les « cagoulards » font sauter, rue de Presbourg, à Paris, le siège de la Confédération générale du patronat français, l’ancêtre du MEDEF. Deux gardiens de la paix sont tués. Les comploteurs n’ont pas du tout agi par anticapitalisme, mais parce qu’ils pensaient que l’armée, scandalisée par cette attaque contre le patronat, l’attribuerait aux communistes et se soulèverait pour renverser le Front populaire ! On voit le niveau politique de ces gens-là. Quant à l’OAS, comme disait quelqu’un qui savait de quoi il parlait, elle était certes armée, mais très mal organisée et encore moins secrète. Là encore, les Filochard du quai des Orfèvres n’ont pas eu grand mal à ramasser tout le monde, ou peu s’en faut. Allez donc demander à des gens sérieux comme les anciens chefs de l’Armée révolutionnaire irlandaise (IRA) ce qu’ils pensaient de leurs émules du continent…

    Et l’affaire Benalla ?

    C’est le feuilleton de l’été (plus de 25 articles ou billets sur Boulevard Voltaire !), ce qui permet de se désintéresser de tout ce qui se passe d’important dans le monde. Au-delà des démonstrations de vigueur musculaire de l’intéressé, place de la Contrescarpe et sans doute ailleurs, qui ne sont quand même pas l’affaire du siècle, la vraie question qui se pose est de savoir comment Alexandre Benalla a pu, dans l’ombre d’Emmanuel Macron, bénéficier d’une carrière météorique qui lui a donné autant de privilèges exorbitants du droit commun.

    Comment un Rambo de supermarché, apparemment incapable de contrôler ses poussées de testostérone, et aujourd’hui suspecté d’avoir voulu mettre en place un réseau de sécurité indépendant des pouvoirs publics officiels (en clair, une police parallèle), a-t-il pu se rendre indispensable au point de pouvoir injurier et humilier gendarmes et policiers pendant des mois sans s’attirer de sanctions autres que symboliques ? Comment a-t-il pu se sentir couvert aussi longtemps au plus haut niveau de l’État ? Macron est-il totalement incapable d’évaluer ceux qui l’entourent, ce qui serait déjà inquiétant, ou y a-t-il une autre raison ? Question subsidiaire, à laquelle on attend toujours une réponse : qui a fait fuiter cette affaire par le truchement de la presse ? Pour punir qui et pourquoi ? Bien d’autres hommes politiques ont accordé leur confiance dans le passé à des individus douteux, voire à des voyous dont ils appréciaient l’« efficacité » ou les capacités à jouer les « intermédiaires » dans des affaires délicates. Ils s’en sont toujours mordu les doigts.

    Alain de Benoist

    http://www.bvoltaire.fr/alain-de-benoist-lultra-droite-en-france-ne-refait-pas-la-fraction-armee-rouge-qui-veut/

  • Une vraie démonstration culturelle : la bataille de Castillon

    6a00d83451619c69e2022ad3611b0c200c-250wi.jpgS'il est des pages de notre Histoire qui demeurent méconnues, celle de la bataille de Castillon en est certainement une. Elle est pourtant l'un des combats les plus importants pour notre région et notre nation, car sans elle, l'Aquitaine serait sans doute encore anglaise, et la France ne serait plus tout à fait la même.

    La campagne de 1450 pour la reconquête de la Normandie achevée, seule la Guyenne reste aux mains des anglais. Bordeaux est reprise en 1451, mais la mentalité de la population locale est acquise à la couronne d'Angleterre et au roi Henri VI. Commerce oblige, l'Angleterre tient le peuple de Guyenne qui voit en Charles VII un suzerain despotique. John Talbot reprend facilement Bordeaux en 1452, et les troupes anglaises occupent dès lors activement l'actuelle Aquitaine. L'armée française devra user de stratégie et d'habileté militaire pour enfin bouter hors de France son ennemi intime conformément au vœu de Jehanne, pucelle d'Orléans, et libérer totalement le trône de France, rendant à Charles VII son royaume. Dirigées par les maréchaux André de Lohéac et Philippe de Culant, les troupes du roi de France mettront ainsi fin à la célèbre guerre de Cent ans entre les deux couronnes.

    C'est cette bataille que plus de 400 bénévoles de l'Association "La bataille de Castillon" mettent merveilleusement en scène chaque année à proximité du lieu exact du combat engagé il y a près de six siècles. Retraçant fidèlement l'esprit médiéval de l'époque, sans le caricaturer, sans le moquer, sans le tronquer, en conservant l'inspiration profondément chrétienne de cette page d'Histoire, la mise en scène émerveille le spectateur tout en le cultivant.

    Les succès des spectacles du Puy du Fou, premier parc d'attractions au monde, des représentations de sa fameuse Cinescénie, comme de celles de la Bataille de Castillon parlent d'eux même : les Français comme les touristes étrangers veulent de la Vraie Culture, du Grand, du Beau. Sachons en tant qu'élus soutenir ces initiatives locales et les multiplier, sachons en tant que citoyens les faire connaître, et y participer activement : c'est en s'attaquant à la Culture que les élites dites "progressistes" ont asservi la France à leurs idées, c'est en redéveloppant une Culture digne de ce nom que nous redonnerons à la France sa fierté, sa grandeur et son âme.

    Prochaines représentations : 09 / 10 / 11 / 16 / 17 / 18 / 24 et 25 Août à 22h

    Réservations en ligne

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Retour sur le krach boursier de 1929

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    Reportage sur le krach boursier de 1929 dont bien peu d’enseignements ont été tirés.

  • Effet Trump : le nombre de réfugiés baisse aux Etats-Unis

    Trump nombre réfugiés baisse Etats UnisMoins de 2.000 réfugiés sont entrés aux Etats-Unis au mois de juillet, portant le nombre total de personnes accueillies à ce titre au cours des dix premiers mois de l’année fiscale 2017-2018 à 18.214. Ce sont très exactement 1.984 réfugiés qui ont été enregistrés le mois dernier, marquant la persistance d’une baisse du nombre des entrées qui accompagne la mise en œuvre des nouvelles politiques migratoires de Donald Trump et de ses discours musclés.
    Si le rythme se maintient d’ici à la fin de l’année fiscale, au 30 septembre, le nombre total de réfugiés dont l’entrée aux Etats-Unis aura été approuvée ne dépassera pas les 23.000 : ce serait le chiffre le plus bas en un peu plus de trois décennies, au titre d’un droit créé par le Refugee Act de 1980 adopté sous la présidence de Jimmy Carter.

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  • L’éolien industriel, ses mensonges et ses nuisances

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    « L’Écologie Citoyenne Mondialiste, une entreprise de destruction »

    30063821.jpgPar André Posokhow

    Industrie. La France sacrifie les uns après les autres ses plus beaux fleurons industriels. Le nucléaire française va y passer comme tout le reste, au profit d’histrions et de profiteurs, étrangers pour la plupart.

    Environ 7000 éoliennes industrielles ont été érigées en France à la fin de 2017. Après le Grenelle de l’environnement, ce sont la Transition énergétique du couple Hollande-Royal et les ambitions macronniennes qui promeuvent les Énergies Renouvelables (ENR) et qui nous menacent de 20 000 à 25 000 aérogénérateurs, doux nom technique des éoliennes, de plus !

    Compte tenu des autorisations accordées ou sur le point de l’être, des régions comme la Champagne, la Picardie, la Bourgogne, le Languedoc ou un département comme l’Aveyron peuvent être considérés comme sinistrés pour au moins 20 ans.

    En réalité l’éolien industriel, loin d’apporter une solution de premier rang à la problématique énergétique de la France, en constitue un boulet.

     Ses nuisances et ses retombées sur l’environnement constituent une menace pour les habitants de nos campagnes.

     Affaire financière, il est incompatible avec le bien commun et l’intérêt général.

     Enfin, il reflète étroitement une idéologie profondément hostile à notre société et à notre civilisation.

    L’éolien industriel et les citoyens

    Un bobard, fallacieux et impudent mais efficace, des promoteurs pour placer leurs machines est celui d’une électricité éolienne de proximité et décentralisée. En réalité, les éoliennes produisent d’une manière éparpillée une électricité vendue à EDF et centralisée au sein du réseau national, voire européen.

    Aujourd’hui, les aérogénérateurs en projet dépassent couramment les 200 m, soit les 2/3 de la Tour Eiffel ou 5 fois la hauteur des châteaux d’eau. Leur impact visuel représente une atteinte pesante à la beauté de nos paysages et également au patrimoine culturel et architectural de notre magnifique pays. Comme l’a écrit Jean-Louis Butré, président de la Fédération Environnement Durable (FED) dans son livre Éolien, une catastrophe silencieuse : « Les éoliennes, du fait de leur gigantisme, dévorent le paysage et cannibalisent l’espace. »

    Les impacts sur l’environnement sont dévastateurs. Un parc éolien requiert un socle de béton de 1500 tonnes par machine qui restera pour l’éternité. Ce parc exige des voies d’accès élargies, des grillages de protection, des ateliers, des hangars. Il faut raser des haies, couper des arbres. Ce sont des espaces naturels considérables qui sont industrialisés et livrés inutilement à la cupidité des promoteurs, alors que l’urbanisation et la bétonisation de notre pays progressent à grands pas.

    Un parc éolien fait du bruit et émet des infrasons. De nombreux riverains sont incommodés, voire rendus malades par la proximité de ces engins industriels. Les témoignages de certains d’entre eux sont impressionnants et ce sont des centaines d’études de scientifiques, d’acousticiens et de médecins qui, à l’étranger, démontrent l’existence de ces nuisances et leurs effets sur la santé des riverains.

    Le rapport de l’Académie de Médecine de mai 2017 estime cependant que si l’éolien terrestre « ne semble pas induire directement des pathologies organiques, il affecte au travers de ses nuisances sonores et surtout visuelles la qualité de vie d’une partie des riverains ».

    Ce rapport de l’Académie de médecine est important. Même s’il est prudent et nuancé, il constitue un pas de plus vers la reconnaissance du risque sanitaire de l’éolien, grossièrement nié en France par les promoteurs, les pouvoirs publics et leurs fonctionnaires.

    En moyenne, les propriétaires de terrain encaissent au titre du bail qu’ils signent avec les promoteurs entre 5 000 et 10 000 € par éolienne et par an. L’oligarchie gouvernante affame les ruraux et certains se sauvent en bradant leurs terres et notre sol. Or, en cas de défaillance de la microsociété du promoteur qui contracte avec le propriétaire, celui-ci risque alors de se retrouver tout seul face à l’exigence de démantèlement des éoliennes en fin de vie et à des promoteurs défendus par des cabinets d’avocats spécialisés.

    A priori, personne n’a envie d’investir dans un bien immobilier situé à proximité d’un parc éolien, ce qui ne peut qu’avoir des conséquences sur sa valorisation. Des témoignages écrits d’agents immobiliers et de notaires sont éloquents. Des décisions de justice vont dans ce sens. Une étude récente réalisée en Angleterre par la London School of Economics sur une base statistique très large démontre la réalité de cette dépréciation que nient les promoteurs.

    L’implantation d’éoliennes dans nos campagnes engendre des désaccords de fond entre les pour et les contre, des jalousies entre ceux qui en bénéficient et ceux qui en pâtissent. Ces désaccords débouchent sur des clivages humains jusque dans les familles et des rancœurs profondes destinées à durer. Lettres anonymes, pneus crevés, munitions à sangliers dans les boites à lettres, menaces et injures en plein tribunal dont j’ai été personnellement témoin, prolifèrent.

    L’éolien industriel, le bien commun et l’intérêt général

    Le cadre de l’invasion éolienne actuelle est celui de la Loi sur la Transition énergétique (TE) de l’année 2015, lancée par ce fleuron de l’histoire politique française que fut le couple Hollande-Royal. Bornons-nous à en commenter simplement trois des principaux objectifs.

    Diminuer la consommation de l’énergie de 50% en 2050 par rapport à 2012, alors que, depuis la crise de 2008, elle n’a baissé que de 0,06%/an avec une croissance du PIB de 0,6%/an, apparaît intenable.

    Proposer la baisse d’un tiers de l’énergie nucléaire, soit l’arrêt en 10 ans de 23 des 58 réacteurs existants apparait d’un irréalisme criminel.

    Il serait absurde de vouloir réduire drastiquement les émissions de CO2 de la France. Michel Gay rappelle dans son livre Au diable les énergies renouvelables ! que, grâce au nucléaire et à l’hydroélectricité, notre électricité est produite à 90% sans CO2. Nous sommes la nation prix d’honneur dans ce domaine et la TE nous traite comme le cancre.

    Transition énergétique, ENR et éolien industriel sont inséparables. Le nucléaire et les énergies fossiles étant diabolisés, l’hydroélectricité ayant atteint ses limites de développement, les pouvoirs publics sont conduits à faire le choix idéologique de l’éolien industriel.

    L’ADEME, organisme étatique de propagande en faveur des ENR et en particulier de l’éolien industriel, dans son rapport Vers un mix électrique 100% renouvelable en 2050, prévoit de multiplier par dix l’implantation d’éoliennes en 2050, pour représenter 63% de la production nationale d’électricité au lieu de 4 à 5%, ce qui représenterait au minimum 60 000 éoliennes, c’est-à-dire une éolienne tous les 10 km2 du sol national.

    Et, pourtant, écologie et éolien industriel sont incompatibles. Si l’on en croit l’écologiquement correct, l’éolien est un moyen de production propre et écologique. Rien n’est plus faux et l’éolien est un gros producteur de CO2 et de pollution.

    Comme le souligne J. L. Butré, le faible rendement de l’éolien conduit à compenser les baisses de production par l’utilisation de centrales thermiques au gaz et, en Allemagne, au charbon et même au lignite, hautement polluantes. 

    L’éolien industriel est néfaste pour notre économie, car ce n’est pas une énergie à haut rendement.

    La production d’électricité éolienne dépend du vent qui souffle de manière intermittente, aléatoire et largement imprévisible. C’est ce qui explique que le rendement moyen ou taux de charge de l’éolien terrestre en France ne dépasse pas 24%, contre parfois plus de 80% pour une centrale nucléaire.

    Les promoteurs affirment que le coût de l’éolien est concurrentiel avec celui du nucléaire estimé par le rapport de la Cour des Comptes de 2014 autour de 60€/MWh, néanmoins appelé à augmenter sensiblement dans le cadre des EPR.

    Comme le montrent J. L. Butré, Alban d’Arguin, sur la base d’un rapport Montaigne de 2008, et surtout une remarquable et récente étude de l’IFRAP, le véritable coût complet du MWh de l’éolien terrestre pourrait être évalué entre 160 et 180 €. En effet, il faut tenir compte du coût des centrales thermiques qui suppléent les fluctuations du vent, des réseaux de distribution, des réseaux intelligents et enfin du stockage de l’énergie, éléments bien entendu oubliés par les groupes de pression éoliens.

    La France a longtemps été à la pointe du secteur de l’énergie, notamment nucléaire, et EDF est encore le premier producteur mondial. Aujourd’hui, cette société nationale est en crise et son existence menacée.

    Il faut souligner les deux décisions que prit Bruxelles vers 1990 :

      libéraliser le marché de l’électricité pour obtenir celle-ci à bon marché ;

     favoriser les énergies renouvelables (ENR) grâce à des aides publiques.

    Il en résulta des distorsions de concurrence et la coexistence d’un secteur concurrentiel avec un secteur administré (solaire et éolien) qui bénéficie d’aides publiques et d’une priorité d’accès au réseau, avec notamment la baisse des prix de gros du marché sur lequel EDF vend son électricité nucléaire.

    Les énergies subventionnées ont déstabilisé celles qui ne le sont pas et constituent une des principales causes de la crise du secteur énergétique français, pourtant un de nos quelques points forts économiques.

    Il y a 7 000 éoliennes en France dont les composants fondamentaux : pales, mat, rotor etc., sont importés de Chine, du Danemark et d’Allemagne ! Cette activité de construction énergétique ne peut que peser sur notre commerce extérieur déjà en souffrance. Oui, l’éolien procure des emplois, mais hors de France. Aujourd’hui l’éolien n’emploie en France que 10 000 à 20 000 personnes.

    Le coût financier de l’éolien terrestre est dispendieux, car il s’agit d’une affaire lourdement subventionnée. Afin d’encourager l’éolien, celui-ci a été rendu artificiellement rentable depuis le début des années 2000, les opérateurs ayant bénéficié jusqu’en 2017 d’un tarif de rachat obligatoire par EDF très avantageux.

    Le coût pour le consommateur est de plus en plus lourd. Afin de compenser le coût que représente pour EDF ce tarif de rachat, l’électricien a été autorisé à facturer une « Contribution au Service Public de l’Electricité » (CSPE) aux consommateurs, qui fut en réalité une taxe cachée et silencieuse.

    Quant au coût global de l’éolien industriel, il fait partie de la gabegie nationale. J. L. Butré estime qu’en 2030, le programme éolien qu’envisagent les pouvoirs publics représentera un investissement à venir de 42 Md€, auquel il faudrait ajouter 40 Md€ pour le renforcement des réseaux de transport et de distribution.

    Le rapport accablant de la Cour des Comptes de 2018 sur le soutien des énergies renouvelables fait apparaitre un chiffre de 121 Md€ qui représente le montant du soutien auquel s’est engagé l’Etat jusqu’en 2046 pour les contrats signés avant 2017 au bénéfice des producteurs d’énergie renouvelable électrique.

    Ces dépenses inutiles, dont les bénéfices sont captés par des affairistes, ne peuvent que creuser davantage le trou abyssal des dépenses publiques. En revanche, toutes les ressources financières qui se déversent dans l’éolien font défaut aux investissements dans les ENR du futur, ce qui handicape la recherche qui permettrait de les promouvoir.

    L’éolien est ainsi une affaire purement financière de subventions et de retours juteux sur investissements pour des affairistes ; et un communiqué de la FED a dénoncé l’éolien qui est « devenu l’activité des affairistes qui écument quotidiennement le territoire. Des milliards d’euros en provenance de fonds opaques sont investis dans ce business ».

    En juin 2014, le Service central de prévention de la corruption (SCPC) a dénoncé la corruption dans l’éolien industriel comme « un phénomène d’ampleur » et « une dérive grave ». En effet de nombreuses prises illégales d’intérêt de la part d’élus locaux soudoyés et trompés par des promoteurs ont abouti à des condamnations.

    Il existe également des scandales financiers, notamment en Allemagne, où un grand groupe éolien qui pratiquait le financement participatif des ENR, a fait faillite et spolié des épargnants.

    Les alibis des ENR et de l’éolien industriel

    La cause des énergies renouvelables et de l’éolien industriel repose sur quatre alibis que dénonce Alban d’Arguin dans son livre Éoliennes, un scandale d’État.

    Le premier est celui du réchauffement climatique. Derrière cette thèse, il y a, selon l’auteur, une peur millénariste et irrationnelle exacerbée par les médias en charge de guider le troupeau au profit de l’oligarchie dominante, relayés par des militants écologistes politiques, de pseudo-scientifiques corrompus, des gouvernants complices ou pleutres et des affairistes avides de profits faciles.

    L’autre alibi pour promouvoir les ENR et l’éolien est la thèse de l’extinction très prochaine des sources d’énergie fossile.

    Ce mythe du « peak oil » se trouve aujourd’hui contredit clairement par les découvertes récentes et continues de gisements gigantesques de pétrole, comme celui au large du Brésil en 2008. Les réserves mondiales prouvées de pétrole représentent un ratio de près de 60 ans qui a doublé en 30 ans, sans tenir compte des découvertes à venir. Il en va de même de l’uranium, dont les gisements connus sont loin d’être exploités, et surtout du charbon et du gaz naturel.

    Le troisième alibi des ENR est celui de l’opposition au nucléaire qui est essentiellement politique et nous vient de l’extrême gauche et des écologistes dont l’opposition se trouve en contradiction avec leur phobie des gaz à effet de serre.

    Comme M. Gay, A. d’Arguin réfute les deux peurs des antinucléaires : le spectre de l’accident nucléaire et celui du traitement des déchets. Mais, surtout pour lui, le combat contre le nucléaire est celui du « Parti de l’étranger ». Il pose la question suivante : et si le parti écologiste, comme la Commission européenne, n’était que le faux nez d’une Allemagne réunifiée, sûre d’elle-même, tirant sa puissance de son mercantilisme brutal, qui verrait dans l’énergie l’opportunité d’imposer sa domination industrielle à son voisin français ?

    L’objectif affiché de la transition énergétique est bien la diminution des gaz à effet de serre, origine supposée du réchauffement climatique. D’un seul coup, apparaissent les incohérences et plus spécialement celles de la TE allemande.

    L’Allemagne a renoncé au nucléaire pour le remplacer par les ENR. Or, non seulement les émissions de CO2 n’ont pas diminué, mais elles ont augmenté du fait de la construction de 23 centrales au charbon et au lignite, particulièrement polluantes.

    Mieux, l’Allemagne, 6e contributeur de CO2 de la planète, alors que la France n’est que le 18e, pollue gravement l’Europe et la France ; ses centrales au lignite crachent à pleine capacité des particules fines.

    Alors, pourquoi cette hypocrisie ? Pourquoi cette escroquerie, à la fois financière et morale ? La réponse se trouve dans ce qu’A. d’Arguin appelle « l’Écologie Citoyenne Mondialiste ».

    L’Écologie Citoyenne Mondialiste (ECM)

    Cette prétendue écologie est le reflet d’une idéologie profondément hostile à notre société et notre civilisation, et un levier de subversion du monde occidental.

    Dans les dernières années du bloc communiste sont apparues des ONG chargées d’affaiblir l’Occident en cultivant la peur millénariste du nucléaire. « Green Peace » en est évidemment un exemple. Parallèlement, l’idéologie libertaire de mai 68 a fait se lever des générations de gauchistes actifs qui ont nourri les courants du trotskysme, de l’ultra-gauche radicalisée, de la gauche parlementaire et rejoint les rangs de l’écologie politique.

    Le gauchisme écologiste a convergé avec l’universalisme mondialiste. Celui-ci a pris le relais de l’idéologie communiste. Ses quatre projets mondiaux majeurs touchent le libre-échangisme commercial, la liberté des flux financiers, les flux de personnes, c’est-à-dire l’explosion migratoire, et le contrôle des énergies à l’échelle planétaire sous l’égide de l’ONU et de ses périphériques. C’est dans cette perspective que les écologistes politiques de l’ECM cherchent à mondialiser le climat et les énergies, et à imposer des ENR dont ils connaissent les conséquences potentiellement funestes sur nos économies et nos territoires.

    Il y a également convergence de l’ECM avec les grandes firmes prédatrices du capitalisme sauvage et mondialiste. L’astuce de base consiste à proclamer qu’il s’agit d’une nouvelle et grande politique environnementale destinée à « sauver la planète ». Les promoteurs peuvent ainsi prétendre être guidés par des idéaux écologiquement corrects, alors qu’ils sont simplement intéressés par le profit pur et simple.

    Les pères verts, prêtres d’une écologie radicale, prêchent l’ascétisme dans une vie future meilleure. Leur idéal est la sobriété forcée et la repentance des péchés commis par les hommes à l’encontre de la planète. Ils se nourrissent de l’angoisse naturelle des populations et de leur peur de l’avenir.

    Cinq noms peuvent être cités :

    • Al Gore, le truand selon Claude Allègre, qui produisit un film « catastrophe » reconnu par la justice anglaise comme malhonnête.

    • Cohn-Bendit, voué à la destruction de nos pays et qui vanta avec des chiffres fantaisistes la transition énergétique allemande dans un débat sur France 2.

    • Yves Cochet, ministre du gouverement Jospin qui fut à l’origine du prix de rachat très favorable imposé à EDF de l’électricité éolienne, ouvrant ainsi la porte à la cupidité des promoteurs.

    • Cécile Duflot, qui a réclamé en 2015 l’érection de 20 000 à 50 000 éoliennes.

    • Denis Baupin, « le moraliste » bien connu, qui déposa un amendement visant à accorder aux éoliennes géantes le régime de la simple déclaration.

    L’Écologie Citoyenne Mondialiste est une entreprise de destruction. Selon M. Gay, sa logique de pouvoir se cache derrière des prétextes idéologiques et peut se résumer ainsi : pour que la planète soit vivable, nos sociétés centrées sur la science, productivistes et consuméristes ont rendu indispensable une transition énergétique. Afin que celle-ci aboutisse, il faut mettre fin au système industriel, capitaliste et technologique, et rompre avec le paradigme de la croissance qui le caractérise.

    Le procédé est simple : détruire ce qui fonctionne pour le remplacer par des moyens qui conduisent à des impasses techniques et économiques, comme par exemple l’éolien. La société moderne capitaliste n’y résistera pas et implosera de l’intérieur. Le but recherché sera atteint. C’est bien vers un changement de société, axé sur le rationnement et la contrainte réglementaire, que les idéologues utopistes de l’ECM veulent conduire les populations de nos vieux pays.

    Avec ce changement de société, c’est bien une nouvelle civilisation de décroissance et de médiocrité matérielle qui constitue l’objectif final.

    En conclusion, je souhaiterais introduire une réflexion très personnelle. Le patriotisme et l’amour de son pays reposent, entre autres, sur l’attachement aux paysages familiers et aux sites de sa jeunesse et de sa vie familiale. En revanche, peu nombreux sont ceux qui garderaient intact cet attachement si nos campagnes étaient totalement industrialisées, saccagées et polluées par des dizaines de milliers de machines industrielles de 200 m de haut. N’est-ce pas là l’un des objectifs dissimulés que visent les déracinés de l’ECM et les ennemis des nations ?   

    André Posokhow, administrateur de la FED

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Lu dans Présent : Guide sulfureux du Paris « réac & facho », Anne Hildago ne va pas aimer !

    2130389052.jpgPhilippe Randa

    Anne Hidalgo aimerait tant chasser tous les « mal-pensants », « mal-engagés », « mal-repentants » des rues d’une capitale sur laquelle elle entend régner si dictatorialement ; mal lui en a pris,  en février dernier, lorsqu’elle voulut interdire à l’Académicien Michel Déon, Ancien secrétaire de rédaction à L’Action française de Charles Maurras, d’être inhumé dans cette capitale française qu’il aimait tant : elle dû capituler « en rase-Paname » sous la bronca que cette vilenie suscita.

    Il est donc certain qu’elle ne goûtera guère le Guide sulfureux du Paris « réac & facho » de Patrick Parment qui vient de paraître aux « Bouquins de Synthèse nationale » : cet ancien journaliste du Figaro Magazine, aujourd’hui collaborateur à la revue  Synthèse nationale et au site EuroLibertés, par ailleurs rédacteur en chef du pertinent Journal du chaos (sur internet) a en effet répertorié les rues de la Capitale, arrondissement par arrondissement, pour nous y faire revivre « écrivain, intellectuel, artiste, éditeurs, partis journaux, hommes politiques et autres curiosités » qui y ont été domicilié…

    Ce guide fourmille d’anecdotes tragiques ou cocasses, de rappels historiques ou de souvenirs émouvants qui ne laisseront aucun lecteur curieux indifférent : de la rue de Beaune où Jean-Marie Le Pen installa sa société (la SERP, spécialisée dans le chant de tradition) au Boulevard de Sébastopol (siège du Parti des Forces nouvelles, rival du Front national dans les années 80, alors domicilié, lui, rue de Suresnes), en passant par la rue Jean-Jacques Rousseau où vit le jour Le Choc du mois, fondé (entres autres) par Patrick Buisson, François Brigneau, Marc Dem et Jean Bourdier avec toute une génération de jeunes journalistes « modérément de gauche » qui firent (et font encore) les beaux jours de la presse non-conformiste (Éric Letty et Nicolas Gauthier, notamment)… et bien sûr, la rue d’Amboise, resté depuis 1982 l’adresse de ce quotidien « nationaliste, identitaire et catholique français » que vous êtes en train de lire, qui a bien failli disparaître il y a peu et que ses lecteurs ont sauvé (encore merci à tous !).

    C’est un magnifique Devoir de Mémoire auquel Patrick Parment s’est attelé avec une méticulosité, une patience et un talent qu’aurait de toute évidence salué son ami Emmanuel Ratier, à la mémoire duquel ce guide est dédié.

    Guide sulfureux du Paris « réac & facho », Patrick Parment, Les Bouquins de Synthèse nationale, 396 pages, 27 euros (pour commander ce livre : cliquez ici ou écrire à l’éditeur : Synthèse nationale 9, rue Parrot – CS 72809 – 75012 Paris (correspondance uniquement)

    Article publié dans le quotidien Présent cliquez là du 5 août 2018

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/08/08/lu-dans-present-guide-sulfureux-du-paris-reac-facho-anne-hil-6071188.html

  • Pour survivre, le Rassemblement national ne peut compter que sur ses électeurs

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    Le Rassemblement national devra attendre le 26 septembre pour savoir si la Justice confirme ou non la saisie de deux millions d’euros d’aide publique, ordonnée par deux juges d’instruction dans l’enquête sur des emplois d’assistants d’eurodéputés. Ces deux millions représentent une partie de l’acompte, qui devait lui être versée en juillet, au titre de l’aide d’État calculée selon ses résultats aux législatives, soit environ 4,5 millions d’euros par an.

    N’ayant pas accès au dossier et dans le respect de la présomption d’innocence, nous ne porterons aucun jugement sur cette affaire. Les dirigeants du Rassemblement national allèguent qu’il est difficile de distinguer les activités politiques des activités spécifiques auprès du Parlement européen. Force est de constater que l’ex-Front national est l’objet d’une attention particulière de la part de la Justice : François Bayrou, qui avait dû renoncer à son portefeuille ministériel en juin 2017, après la révélation d’une affaire similaire, a récemment indiqué qu’il n’avait pas de nouvelle de la Justice. Deux poids deux mesures ?

    Enfin, si ce n’est pas la première fois que des partis politiques sont soupçonnés, à tort ou à raison, de malversations financières, c’est la première fois que la Justice prend de telles mesures conservatoires, qui vont peser sur le fonctionnement, voire la survie du Rassemblement national. Cette saisie est d’autant plus injustifiée que l’affaire n’a pas encore été jugée et qu’il serait toujours possible, en cas de condamnation, de prélever des sommes à venir, les subventions publiques étant versées pendant cinq ans. Par son comportement, la Justice elle-même (ou, du moins, les deux juges d’instruction concernés) alimente les doutes sur son indépendance.

    « Nous allons serrer les dents, mais l’atteinte démocratique liée à cette décision de saisie est historique et gravissime dans ses conséquences », a tweeté Marine Le Pen, lundi soir. Malgré les 500.000 euros de dons récoltés, le RN devra limiter ses activités cet été. D’autant plus que le monde de la finance semble se coaliser pour lui refuser les prêts qu’il accorde aux autres partis. Et, en novembre 2017, n’a-t-on pas vu la Société générale décider de clôturer tous les comptes qu’elle détenait pour le FN ?

    Il faut constater aussi que la presse écrite, elle-même largement subventionnée, n’est guère solidaire, en général, du Rassemblement national. À titre d’exemple, selon les chiffres publiés par le ministère de la Culture en mars 2018, Libération a touché 6.376.144 € en 2016, Le Figaro5.778.283 €, Le Monde 5.088.915 €, La Croix 4.340.722 € et L’Humanité 3.689.447 €. Si le pluralisme de la presse doit être défendu (mais avec équité, ce qui est loin d’être toujours le cas), que dire de la pluralité des partis politiques ? Un parti pour lequel onze millions de Français ont voté au second tour de l’élection présidentielle mérite-t-il d’être privé de ressources et mis au rancart ?

    Dans son édition du 9 juillet, Libération s’interrogeait même sur l’intérêt de faire disparaître le Rassemblement national en lui coupant les vivres : « Ce n’est pas l’intérêt de la majorité macronienne ou même celui de la gauche socialiste », estimait-il. Selon ce quotidien, dont on connaît l’objectivité à sens unique, cette affaire permettrait surtout au parti de Marine Le Pen de se victimiser une fois de plus. D’ici qu’il accuse Mme Le Pen d’avoir tout manigancé !

    Tout laisse à penser, au contraire, que les médias et les politiciens de tous poils cherchent à affaiblir un courant de pensée qui pourrait faire un score important aux européennes et, selon les sondages, reste solide aux présidentielles. À défaut des institutions publiques, c’est sur la fidélité de ses électeurs que le Rassemblement national peut compter.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/pour-survivre-le-rassemblement-national-ne-peut-compter-que-sur-ses-electeurs/

  • Le concept de « dette écologique » n’est pas scientifique

    Lu dans Minute :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html