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  • D’après la Conférence internationale des ONG africaines, l’immigration africaine n’est pas du tout une menace pour l’Europe

    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) : 
    Les membres du Conseil économique et social de l’ONU (Ecosoc) se réunissaient à Alger du 19 au 21 novembre, selon le journal El Watan.

    Le thème de la rencontre était « Impliquer l’Afrique pour faire face à la crise migratoire ». Mais le Conseil est finalement loin de considérer les vagues d’immigration clandestines qui touchent l’Europe comme une « crise » puisque la conclusion que, « les migrants africains ne constituent pas une menace pour l’Europe ».

    Les chercheurs africains ont avancé moult chiffres pour nier les statistiques européennes. Selon eux, les pays européens utiliseraient les chiffres de l’immigration comme un levier de pression sur les pays africains en leur faisant porter la responsabilité. Commence alors le révisionnisme des chiffres. « Ainsi l’Italie accueille 7% des migrants africains, alors que ses médias avancent le chiffre de 24,6%, le Portugal en accueille 6,2% et en déclare 20,6%, la Grèce 8,4% et en déclare 20%, l’Allemagne en accueille 8,8% et déclare 13% de migrants africains sur son sol ».

    https://fr.novopress.info/

  • Acte 2 : Castaner de nouveau fâché avec les chiffres !

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    La semaine dernière, je dénonçais ici-même les chiffres fantaisistes et par trop imprécis délivrés aux journalistes par Castaner. Je dois, hélas, refaire le même constat au lendemain de ce 24 novembre. Car si, comme l’a écrit, samedi soir, avec beaucoup de talent, Georges Michel, M. Castaner est fâché avec le sens des mots, c’est pire avec les chiffres, et probablement dans une proportion de 1 à 5.

    Sur le ton solennel de sa voix caverneuse de titi provençal, il nous assène, sans sourciller, des chiffres ridicules : 106.301, avec une précision d’horloger, pour 1.619 actions ! MM. les journalistes, répétez-après moi, SVP : 1.619 ! Ces chiffres sont sérieux et ne peuvent pas être contestés. Recommandation suivie à la lettre par l’ensemble des médias qui s’en réjouissent, comme Le Monde, qui titre « Gilets jaunes, la mobilisation en baisse dans toute la France. » Pas un seul commentateur sur les chaînes d’info en continu ne conteste ces chiffres. Et, tout au long de la soirée, ce seront les seuls chiffres annoncés, alors qu’à Paris, la révolte gronde.

    J’entendais même une journaliste de CNews ou BFM parler du succès de la manif des femmes par rapport à celle des gilets jaunes… Mais qui pourrait croire de telles sornettes ? Nos gouvernants et nos journalistes pensent-ils que nous ne réfléchissons pas a minima ?

    Et pourtant, le Syndicat des policiers en colère (celui de la malheureuse Maggy Biskupski) a comptabilisé, lui, samedi, dans toute la France, 750.000 gilets jaunes, et publié une carte de France tout en jaune. Un chiffre peut-être légèrement exagéré. Encore que…

    Alors, prenons une calculette. 1.619 blocages ou rassemblements. « La participation en baisse d’environ 25 % par rapport à samedi dernier est probablement liée aux violences amplifiées par les médias », écrit le syndicat, qui constate toutefois « une augmentation significative du nombre de gilets jaunes apposés sur les tableaux de bord ».

    J’en viens à ma propre expérience. Au pied de l’Hermione, à Rochefort, en Charente-Maritime, nous étions au moins trois mille à défiler dans ces rues magnifiques bordées d’élégantes maisons en pierre de taille. Avec un seul mot d’ordre, scandé par ces hommes et ces femmes en grande colère – « Macron démission » – qui sera le thème de l’acte III, samedi prochain. Des sans-dents, des Gaulois comme leurs pancartes les désignaient. Une petite foule marchant calmement, encadrée par quatre motards de la gendarmerie, débonnaires, voire souriants.

    À quarante kilomètres de là, à Royan, ils étaient plus de cinq cents. Et ailleurs, sur les 1.619 actions recensées ? Si l’on en croit la comptabilité Castaner, nous aurions un maximum de 65 gilets jaunes par lieu de manifestation. Disons que le plus petit, comme le blocage du pont de l’île de Ré, comptait une trentaine de gilets jaunes. Mais combien de milliers étaient-ils dans chacune des grandes, moyennes ou petites villes de France ? Ils étaient cinq cents à Orange, dans le Vaucluse, me dit un ami.

    Le meilleur ami d’Emmanuel Macron devrait retourner à l’école primaire avant de faire gober aux journalistes des chiffres aussi farfelus dont, heureusement, les Français en colère ne sont pas dupes.

    Floris de Bonneville

    http://www.bvoltaire.fr/acte-2-castaner-de-nouveau-fache-avec-les-chiffres/

  • Mensonges de Castaner : le renseignement intérieur et la Préfecture se rebiffent

    Mensonges de Castaner : le renseignement intérieur et la Préfecture se rebiffent

    L’enquête de Valeurs Actuelles démontre les mensonges de Castaner, qui a dit l’inverse de que ce que remontaient les forces de police et le renseignement :

    Une déclaration qui a fait vivement réagir aussi bien au sein du Service central du renseignement territorial (SCRT) qu’à la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP) : « Ce n’est absolument pas le ton de ce qu’on a transmis au ministre », s’indignent plusieurs sources. Bien conscients de la manœuvre politique employée par Christophe Castaner, ce sont des policiers et des gendarmes qui ont étonnamment tiré les premiers la sonnette d’alarme en appelant leurs contacts journalistes.

    A la mi-journée samedi 24 novembre, alors que les débordements – prévisibles- n’avaient pas encore eu lieu, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a pointé du doigt “les séditieux” d’ultra-droite “qui ont répondu à l’appel de Marine Le Pen”.

    […] Un officier de CRS qui était présent sur les Champs-Elysées explique : « Les casseurs qu’on avait en face de nous, sont les mêmes qu’à Sivens ou à Notre-Dame-Des-Landes, dans les Zad. Incontestablement, ce sont des anarchistes qui ne se font presque jamais attraper, comme les manifestants du 1er mai. »

    L’homme nous fait remarquer que les tags inscrits sur les murs des Champs-Elysées lèvent toute ambigüité : des logos anarchistes, des inscriptions comme « Macron SS » ou encore « police partout, justice nulle part » ne peuvent être l’œuvre que de l’ultra-gauche. Les tenues des casseurs aussi : tout en noir, masques de plongée, lunettes de piscine et matériel de chantier constituent l’équipement habituel des casseurs d’extrême gauche des manifestations qui ont dégénéré ces dernières années.

    « Seule l’ultra gauche a cette capacité et ce savoir-faire », affirme un préfet qui connait bien les populations dites « extrêmes ». Et de conclure : « On voit monter cette ultra-gauche constituée de 3000 à 10 000 personnes depuis deux, trois ans, elle est aujourd’hui totalement rompue à la violence. Des néonazis et des fachos, il y en avait à la manif, mais ce n’est pas trop leur mode opératoire. »

    https://www.lesalonbeige.fr/mensonges-de-castaner-le-renseignement-interieur-et-la-prefecture-se-rebiffent/