
Ces millions que la France verserait à l'Irak pour nos djihadistes

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Beaucoup d’internautes ont été surpris de lire, sur Twitter, le message suivant écrit par la députée et ex-ministre PS George Pau-Langevin :
« Sur l’affaire #DeRugy, toute la presse se répand en disant que suite aux enquêtes effectuées il serait “blanchi” ce qui signifie qu’il était noirci par les accusations ! Quand ce vocabulaire attachant toujours un sens négatif à la couleur noire sera-t-il périmé ? »
Voilà donc une autre polémique inutile lancée sur le rapport de la gauche avec la race.
Alors, petit rappel : en droit, le verbe d’action « blanchir quelqu’un » est le fait de trouver des preuves, des arguments dans le but d’innocenter quelqu’un accusé à tort.
Ce verbe, pour présenter une personne disculpée dans une affaire faisant appel à la morale, est plutôt perçu dans notre entendement comme positif, dans le sens où il permet un retour moral au sein de la société.
Jusqu’à ce jour, aucun Noir, Blanc, Jaune ou autre n’a eu à se plaindre d’avoir été blanchi, bien au contraire.
L’élue George Pau-Langevin cache à peine qu’elle a fait du communautarisme son fonds de commerce depuis qu’elle a dirigé le MRAP, l’une des plus grandes boutiques communautaires en France. Elle s’est toujours battue afin d’imposer, dans le cadre de ses mandats électoraux, une discrimination positive. Elle avait même pris la position de considérer comme « tout à fait normal » que l’on facilite la tâche aux Noirs en les désignant dans des circonscriptions gagnables.
George Pau-Langevin, fermement opposée à la méritocratie, partisane de la remise en question permanente de tout ce qui fait le socle du vivre ensemble, à l’image des requêtes abracadabrantesques de ses amis du CRAN qui voudraient déboulonner la statut de Colbert au nom de la réparation mémorielle sur l’esclavage.
Non, Mme George Pau-Langevin ! Nous n’avons jamais entendu, en droit, « noircir quelqu’un » avec des accusations. Par contre, nous entendons souvent « blanchir quelqu’un » et ça n’a rien de raciste. De plus, son usage renforce la langue française du poids des couleurs.
Allons-nous, alors, interdire, sous couvert d’antonymes, vote blanc, examen blanc, mariage blanc, drapeau blanc, blanc-seing, blanchir l’argent sale, se faire des cheveux blancs, blanc bonnet/bonnet blanc, arme blanche, etc. ?
A partir d'aujourd'hui, vendredi 19 juillet, et jusqu'à la fin du mois d'août, nous vous proposerons de découvrir, ou de mieux connaître, mais aussi de faire découvrir à d'autres (par le jeu des partages) l'immense Jacques Bainville, par le biais d'une photo quotidienne tirée de notre "Album Jacques Bainville" (lafautearousseau vous propose également un "Album Léon Daudet" et un "Album Charles Maurras").
Aujourd'hui : 1. Dénonciations des persécutions juives...
1. Journal, Tome III, 1927/1935, note du 9 novembre 1933 :
- "La Grande-Bretagne poursuivra l'oeuvre du désarmement", affirme sir John Simon.
Deux hommes, hier, ont connu des chiffres qui les ont rendus également heureux. L'un est le coiffeur de Tarascon, l'autre est Hitler. Ils ont chacun gagné le gros lot.
Figurez-vous la joie qu'a sentie le Führer en suivant par la radio le discours de sir Jonh Simon à la Chambre des Communes. Discours prodigieux, presqu'inconnu dans les annales de l'Histoire. Le ministre des Affaires étrangères du gouvernement britannique se félicitait d'abord que l'Angleterre eût fait tout ce qui était en son pouvoir pour relever l'Allemagne. Hitler, lui aussi, a ce relèvement pour but. Puisque l'Angleterre et lui veulent la même chose, c'est parfait. Il n'y a même pas à chercher querelle au Führer sur les moyens dont il se sert pour conduire son peuple vers les sommets. De fait, sir John Simon a oublié la persécution d'Israël autant qu'Arthur Henderson a oublié les camps de concentration où sont parqués les social-démocrates..." (la note se poursuit par 27 lignes, sur l'inconséquence et l'aveuglement des gouvernements français et anglais qui désarment, au lieu d'armer...)
2. Journal, Tome III, 1927/1935, note du 26 novembre 1933 :
"Hitler a pu faire jusqu'ici ce qu'il a voulu, heurter de front les idées reçues, braver l'opinion du monde, persécuter les juifs, mettre ses adversaire politiques dans des camps de concentration, jeter par terre la Conférence de Genève, crier raca sur la Société des Nations et lui porter un coup terrible, tout cela impunément. Il est prouvé que l'Allemagne arme avec activité et méthode. Péché véniel. On lui demande simplement aujourd'hui de ne pas armer trop et de faire preuve de modération dans sa préparation militaire... Hitler a déjà partie aux trois quart gagnée. Il en conclut que les puissances capitulent parce que leur résistance politique et morale est brisée. Il ne s'arrêtera pAs là dans ses déductions."
3. Journal, Tome III, 1927/1935, note du 5 janvier 1934 :
Le garde de fer qui a tué Jean Duca a frappé ce qu'il peut y avoir en Roumanie, dans un coeur et un esprit ardemment roumain, de plus français par les habitudes de penser, et ce qu'il peut y avoir aussi de plus francophile en politique . Ce n'est peut-être pas ce que l'assassin voulait, mais c'est ce qu'il a fait.
Les amis de la France seront-ils supprimés l'un après l'autre ? On dit que leurs noms sont inscrits sur une liste noire. En tout cas, ceux qui sont poursuivis par la haine de la croix gammée se trouvent encore être nos amis.
Ainsi, autour du meurtre de Jean Duca, se nouent bien d'autres drames, de même que l'attentat auquel le chancelier Dolfuss a échappé récemment était une lueur dans la nuit de l'Europe danubienne.
Le roi de Roumanie avait fait appel, devant les difficultés du pays, au parti libéral. Il persiste dans son intention, et elle est digne d'un roi. Car il ne faut pas se dissimuler que ce prince a dû prendre beaucoup sur lui pour revoir dans ses conseils les fidèles de Jean Bratiano qui, autrefois, avaient jugé nécessaire d'écarter du trône l'héritier présomptif.
Il y a près de trois quarts de siècle qu'un rameau des Hohenzollezrn s'est détaché pour accepter la couronne de Roumanie. Jamais, au fond, l'Allemagne ne s'est résignée à voir ses souverains se nationaliser. Elle a toujours prétendu les tenir sous sa coupe, même avant le racisme. Ils lui ont échappé toujours. Elle ne les reprendra pas par la bombe et le poignard. Mais on voit trop se dégager, dans cette partie de l'Europe, sous l"emblème et le prétexte de l'antisémitisme, l'intrigue servie par la terreur.
"Ces supporters de l’Algérie sont-ils des Français de cœur ou des Français de CAF ?"
17'26 de bon sens, à écouter ici (désolé pour la publicité d'introduction) :
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/07/24/sur-tv-libertes-robert-menard-pose-la-bonne-question-6165993.html#more
Nul n’a pu oublier l’horreur intégrale, inimaginable, engendrée par la découverte, le 17 décembre 2018, au Maroc près du village d’Imlil, base principale pour rejoindre le mont Toubkal, point culminant de l’Atlas, des corps de deux jeunes touristes scandinaves : Louisa Vesterager Jespersen, une étudiante danoise de 24 ans, et son amie Maren Ueland, une Norvégienne de 28 ans.
Ce matin du 17 décembre 2018, deux randonneurs français faisaient la macabre découverte. Elles avaient été violées, torturées – l’une portait les traces de 23 coups de couteau, l’autre 7 – puis finalement décapitées. Vision insoutenable filmée par un des assassins, qui a circulé sur les réseaux sociaux, ainsi qu’une autre montrant leur allégeance à l’EI (État islamique). La vidéo du meurtre montre un homme en train d’égorger l’une d’entre elles, sa compagne à ses côtés, toutes deux baignant dans une mare de sang ! On n’ose imaginer le calvaire et les souffrances endurées par ces deux jeunes femmes, avant de mourir, la mort devenant alors une délivrance…
Comment des êtres humains peuvent-ils se comporter de la sorte envers d’autres êtres humains ? Qui plus est, deux si jolies jeunes femmes.
L’explication réside pour une bonne part dans la lecture du Coran, guide suprême des musulmans qui incite au combat, à la vengeance, à la violence, telle la sourate 4 verset 84 :
« Combats donc dans le sentier d’Allah, tu n’es responsable que de toi-même, et incite les croyants (au combat). Allah arrêtera certes la violence des mécréants (chrétiens et juifs). Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition ».
Sans oublier le fait que les garçons sont initiés très jeunes à l’égorgement rituel :
Peut-on dès lors s’étonner de la violence et de l’absence d’émotion d’individus habitués, j’ai envie de dire encouragés, à faire fi de la souffrance d’autrui ? Cela semble évident. Il est permis de se poser des questions sur la nocivité évidente du Coran sur des esprits faibles, incapables de raisonnement et de sens critique. À l’instar de Mein kampf, le Coran devrait être interdit !
Il suffit de lire quelques sourates et versets, ou encore les hadiths, pour comprendre que, prétendre l’islam une religion d’amour, de tolérance et de paix est une vaste foutaise. Cela ne prend plus !
Les médias ont coutume, à chaque attentat ou presque, pour minimiser les faits, de qualifier les coupables de « déséquilibrés ». Mais à bien y réfléchir, n’y a-t-il pas une part de vérité qu’il faut rechercher dans le Coran ?
Cela n’est pas dans nos habitudes, mais cette fois il convient de doublement féliciter le gouvernement chérifien pour sa réactivité dans l’arrestation et le jugement des trois bourreaux âgés respectivement de 25, 27 et 33 ans, jugement prononcé le 18 de ce mois : la peine de mort.
Je vais sans doute recevoir une avalanche de critiques, voire pire, du « camp du Bien » mais par avance je précise que je m’en moque et que, oui, je suis pour la peine de mort dans certains cas, et bien évidemment dans celui-ci. Ils mériteraient la même mort que celle qu’ils ont donnée.
Encore une fois bravo à la justice marocaine. Nos magistrats feraient bien de s’en inspirer. Les Français sont exaspérés d’avoir une justice qui n’en est plus une. Une justice qui marche « sur la tête ». À force, elle finira bien par se casser la figure !!
Oriana Garibaldi
https://ripostelaique.com/proces-des-assassins-des-jeunes-scandinaves-vive-les-juges-marocains.html
De Bernard Antony :
Avec la loi Macron-Buzyn sur la « PMA sans père » dont le projet est adopté ce mercredi en conseil des ministres, la révolution sociétale de la République en marche vers le totalitarisme du meilleur des mondes va accomplir une étape décisive.
Aldous Huxley qui le publia en 1932 avait été véritablement prophétique avec son « Brave new world ». Presque un siècle le séparait pourtant de notre époque mais il avait très justement imaginé ce que pourrait devenir un monde dominé par une science sans conscience, utilisant sans scrupule la génétique et le clonage et plus largement ce que nous appelons les « manipulations génétiques » avec, de plus en plus, une bioéthique sans éthique.
En épigraphe de son chef-d’œuvre d’anticipation, Huxley avait placé, en français, ces lignes du grand philosophe russe Nicolas Berdiaeff :
« Les utopies apparaissent comme bien plus réalisables qu’on ne le croyait autrefois. Et nous nous trouvons actuellement devant une question autrement angoissante : comment éviter leur réalisation définitive ?… Les utopies sont réalisables. La vie marche vers les utopies. Et peut-être un siècle nouveau commence-t-il, un siècle où les intellectuels et la classe cultivée rêveront aux moyens d’éviter les utopies et de retourner à une société non utopique moins « parfaite » et plus libre ».
On ne peut hélas que le constater, l’espérance de Berdiaeff en un mouvement anti-utopie des « intellectuels » n’est pas en voie de réalisation.
La médiacratie idéologique marxiste ou libéralo-libertaire n’a en effet cessé d’étouffer les intellectuels de droite, imposant comme une évidence qu’il ne saurait y avoir d’intellectuels que de gauche.
Aussi, lorsque la philosophe Sylviane Agacinski lance ses alertes face au bouleversement de la filiation qu’entraîne la disparition du père dans la procréation, lorsqu’elle plaide, citant Aristote, un retour au sens commun, la voilà désormais inéluctablement disqualifiée comme étant de droite.
Mais revenons encore un peu aux lumières d’Huxley.
Voici un extrait de sa nouvelle préface à son livre, en 1946 :
« La révolution véritablement révolutionnaire se réalisera, non pas dans le monde extérieur, mais dans l’âme et la chair des êtres humains. Vivant comme il l’a fait à une époque révolutionnaire, le Marquis de Sade s’est tout naturellement servi de cette théorie des révolutions afin de rationaliser son genre particulier de démence.
Robespierre avait effectué le genre de révolution le plus superficiel, la politique. Pénétrant un peu plus profondément, Babeuf avait tenté la révolution économique. Sade se considérait comme l’apôtre de la révolution véritablement révolutionnaire, au-delà de la simple politique et de l’économique – de la révolution des hommes, des femmes et des enfants individuels, dont le corps allait devenir désormais la propriété sexuelle commune de tous, et dont l’esprit devait être purgé de toutes les connaissances naturelles, de toutes les inhibitions laborieusement acquises de la civilisation traditionnelle ».
Ces lignes devraient suffire pour éclairer ceux qui ne voient pas qu’avec sa « République en marche », avec son progressisme, avec ses projets de loi de réformes sociétales, Emmanuel Macron n’est pas seulement un homme de gauche. Car il est un très fanatique idéologue et acteur de la révolution sadienne, d’une radicale révolution de désintégration sociale, la révolution déconstructiviste sociétale.
Je l’ai déjà écrit, il y a du Néron dans ce Macron.
J’avais, à tort, prédit qu’il ne resterait pas longtemps au pouvoir. Jusqu’ici au moins, je me suis en effet trompé.
Pour la plus grande joie des « frangins » du Grand-Orient et autres obédiences de même acabit, la franc-maçonnerie n’est sans doute pas encore au bout de son sale travail de destruction de la famille, de la personne, de la société.
https://www.lesalonbeige.fr/aldous-huxley-lavait-predit-emmanuel-macron-va-le-faire/
C’est fait. Le Royaume-Uni a un nouveau Premier ministre en la personne du très extraverti Boris Johnson, succédant ainsi à la plus qu’inodore Theresa May. On ne savait plus trop bien si cette dernière était pour ou contre le Brexit. Pour eurosceptique qu’il ait été, Boris Johnson n’a pas forcément toujours été contre ce même Brexit. La preuve en est qu’à la veille du référendum, il aurait préparé, pour le Telegraph, deux tribunes différentes : l’une pour et l’autre contre. Cet homme a toujours été un pragmatique.
Ce pouvoir qu’il détient enfin, il l’a ardemment désiré depuis son plus jeune âge, lorsque camarade oxfordien de l’un de ses prédécesseurs conservateurs : David Cameron. D’ailleurs, le look hors normes qui est depuis longtemps devenu chez lui marque de fabrique – costume froissé et tignasse ébouriffée – en a été l’un des atouts majeurs ; un peu comme Winston Churchill et son cigare. Ça tombe bien, Boris Johnson a consacré une biographie au plus prestigieux des locataires du 10 Downing Street. Parlait-il de lui en creux ? C’est plus que probable.
Comme son modèle avoué, il a le verbe haut, l’humour ravageur et ne s’embarrasse pas de circonvolutions, tel le gros bébé joufflu et mal élevé qu’il est – ou feint d’être.
Pour le moment, quoique cette nomination ait fini par devenir aussi prévisible qu’inévitable, les chancelleries ne savent plus trop sur quel pied danser. Ami ou ennemi ? Partenaire fiable ou imprévisible ludion ? Pour le moment, le seul homologue à l’avoir officiellement félicité demeure Donald Trump, au moins complice en deux choses : des manières pour le moins rustiques et des expérimentations capillaires qui auraient même fait reculer un Rod Stewart dans ses années les plus erratiques.
Pour autant, dans ce prudent pas de deux diplomatique, on sent poindre une commune et sourde inquiétude : après la Hongrie, l’Italie, presque l’Autriche, le RU serait-il en voie de basculer du côté populiste ? À en juger de la personnalité de Boris Johnson, tout cela n’est pas faux, quoique le populisme soit plus un contenant qu’un contenu, un style qu’une doctrine.
Il est vrai qu’il n’est pas aisé de se mettre dans la tête de ce nouvel arrivant à la tête de cette puissance mondiale qu’est le Royaume-Uni. Descendant d’un ancien ministre ottoman, les origines ethniques de Boris Johnson ne sont pas sans évoquer celles, sociales, d’une Margaret Thatcher, fille d’épicier ; ce qui n’est pas exactement la voie royale en Grande-Bretagne, société de castes par excellence. De ce point commun ayant poussé l’une, en attendant que le second ne lui emboîte le pas, en découle un second, consistant à vouloir renouer avec la traditionnelle alliance transatlantique de jadis – il n’y a qu’un pas. Churchill afffirmait déjà à de Gaulle qu’entre le Vieux Monde européen et l’empire des mers, Londres opterait toujours pour le second. Après le couple Reagan-Thatcher, celui que pourraient former Donald Trump et Boris Johnson ? Les deux principaux intéressés semblent le souhaiter, quoique le nouveau Premier ministre ne soit pas forcément partant pour suivre son actuel homologue en matière belliqueuse, vis-à-vis de l’Iran, principalement. Par nature, les populistes ont l’art d’aller là où on ne les attend pas forcément.
Et c’est là que la position de la France n’est plus la même. À l’Est, le pôle d’attraction est désormais allemand. L’Angleterre renouant avec son passé maritime, voilà qui nous laisse seuls, non plus au cœur du continent européen, mais en son extrême Ouest. Bref, nous ne sommes plus au cœur de l’Europe. François Ier avait dû, en son temps, affronter pareil dilemme en concluant la fameuse « alliance impie » avec les Ottomans, renouant ainsi avec la traditionnelle influence française en son Sud.
Pour que cette piste puisse à nouveau être envisagée, tel que Nicolas Sarkozy l’avait fait en son temps avec son projet d’Union méditerranéenne, il faudrait peut-être qu’un Emmanuel Macron ne mobilise pas son temps de cerveau disponible entre sauvetage de François de Rugy et boum organisée pour Greta Thunberg au palais Bourbon.