Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE... (12)

    Illustration : la réédition de 2013 du Tome consacré à la première année de la Grande Guerre...

    Aujourd'hui : 14. Oeuvre majeure longtemps cachée : le "Journal"...

    A partir du 30 août 1901, date de la première note qu'il y a rédigée, et jusqu'au au 11 octobre 1935, c'est-à-dire - à deux jours près - quatre mois avant sa mort prématurée, Jacques Bainville a tenu un Journal, intime et personnel, dans lequel il déposa tout ce qu'il ne voulait ou ne pouvait écrire dans le quotidien L'Action française. 
    Primitivement, le "Journal" de Bainville fut édité en trois Tomes :
    1. De 1901 à 1918 ("achevé d'imprimer" le 25 octobre 1948).
    2. De 1919 à 1926 ("achevé d'imprimer" le 30 avril 1949).
    3. De 1927 à 1935 ("achevé d'imprimer" le 25 octobre 1949) : très émouvante, la dernière note de ce troisième Tome est datée du "11 octobre 1935". Elle commence par ces mots : 
    "Empêché - depuis quelques semaines - d'écrire, mais non de regarder, je me suis plu à voir l'autre côté des choses et des temps, celui que toute contestation néglige..." Et Bainville poursuit sur l'Italie, l'Ethiopie et critique les sanctions prises contre l'Italie, qui vont la précipiter dans l'alliance d'Hitler, alors que - même si, idéologiquement, "nous sommes séparés du fascisme par l'immense fossé de la religion d'Etat - religion politique, s'entend - dont nous a dispensés le régime le plus souple et le plus évolué de l'Histoire, la monarchie française" - comme le disait Léon Daudet - la France pouvait très bien s'allier avec elle, par pur intérêt politique et militaire, contre le Reich allemand. Stupidité criminelle du Système, qui préféra une fois de plus et jusqu'au bout l'idéologie à l'intérêt national; et lucidité, clairvoyance du côté de Bainville qui, atteint du cancer de l'oesophage qui allait l'emporter moins de quatre mois plus tard, continua jusqu'à l'extrême limite de ses forces à servir son pays, en prodiguant de sages conseils à un Pays légal qui, jusqu'au bout, refusa de les écouter et, à fortiori, de les suivre. On sait comment tout cela a fini...
    A ces trois Tomes du "Journal" vint s'ajouter, pour ainsi dire, un "Journal dans le Journal" : celui de la première année de la Grande Guerre (sa première note étant du 2 août 1914, et sa dernière du 15 juin 1915).
    Ce "Journal de la première année de la guerre" remplaça pratiquement le Journal proprement dit, puisque, dans le Tome 1 de son Journal, Bainville n'a déposé que dix notes pour 1914 et treize pour 1915, à partir du moment où il eut entrepris la rédaction de ce Tome particulier, auquel il devait donner le nom de "La Guerre démocratique".
    Pas plus que les autres tomes du Journal, cette réflexion sur "La Guerre démocratique" n'était pas destiné à être publiée du vivant
    de Jacques Bainville. C'est son unique enfant, Hervé Bainville - décédé le 17 juin 2014 - qui autorisa en 1953, d'accord avec sa mère, la publication de sa première partie, sous le titre "Journal - Inédit, 1914" ("achevé d'éditer" le 25 avril 1953, par la librairie Plon). Cette première partie s'achevait donc sur la note du 31 décembre 1914.
    Enfin, en 2000, Hervé Bainville autorisa la publication de la partie inédite, de janvier à juin 1915... 

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/01/notre-feuilleton-estival-un-ete-avec-jacques-bainville-6167227.html

  • Tuerie d'Ollioules, rixe mortelle en Moselle, rixes permanentes entre "migrants" à Marseille, à Paris...

    ...Non, s'il y a bien un (mauvais) film "Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil..." on ne peut pas transposer son titre bêta à notre réalité, où l'insupportable devient la norme, le quotidien : non, "tous les envahisseurs, même rebaptisés "migrants", ils sont pas beau, tous les envahisseurs ils sont pas gentils".

    Nous essaierons de faire un point sur la situation très bientôt, en nous appuyant, pour ne pas être soupçonnés, sur des faits et propos tirés de La Provence, un quotidien notoirement "politiquement correct", tout à fait "antiraciste" (!) et pro-migrants et tout et tout...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/01/tuerie-d-ollioules-rixe-mortelle-en-moselle-rixes-permanente-6167738.html

  • Réforme des retraites : le député (et ex-voyante mise en examen) Corinne Vignon incapable de répondre

    L’interro surprise se révèle totalement ratée pour ce député de la majorité incapable d’expliquer la réforme que son parti fait passer au parlement. Elle était sûrement plus loquace pour raconter des salades à ses clients.

    Le niveau politique du Système est chaque année plus lamentable, mais il faut reconnaître que la vague Macron a fait fort.


    D’ailleurs, puisqu’on parle d’elle, rappelons qu’en 2017, l’enquête sur les activités de voyance de Vignon (avant qu’elle ne devienne député) avait été classée sans suite très rapidement par le parquet (on comprend tous ce que cela signifie…). On peut dire qu’en tout cas elle avait fait ce qu’il fallait pour sa retraite !

    L’image contient peut-être : 1 personne, sourit, texte

    « Le dossier Vignon arrive sur le bureau du Procureur par les services fiscaux. En amont de l’enquête judiciaire, la direction des Finances Publiques de la Haute-Garonne a déjà « scanné » les revenus de la future députée. Le « fisc » s’est livré à une expertise. Il a estimé que les soupçons étaient suffisamment lourds pour justifier la saisine de la justice. Le classement sans suite est, d’ailleurs, un camouflet pour les « impôts ». Leur analyse n’est donc pas suivie par le parquet.

    Mais, surtout, cela signifie que les enquêteurs du SRPJ ne partaient pas complètement de zéro. Un certain balisage pouvait accélérer le mouvement et l’enquête. Néanmoins, la période n’était pas vraiment propice. L’ouverture de l’enquête date du mois de juin. En juillet et surtout au mois d’août difficile de mener des auditions. Les témoins éventuels sont à la plage ou à l’autre bout de la France.

    Mais, selon nos informations, mercredi 6 septembre, les enquêteurs cherchaient toujours à contacter des témoins. 48 heures avant le classement sans suite, le SRPJ continuait donc ses investigations. Cela laisse peu de temps pour faire la synthèse des procès-verbaux, les transmettre au Parquet, que ce dernier prenne connaissance du rapport et se prononce.

    Les magistrats sont les premiers à déplorer la lenteur de la Justice. Dans l’affaire Vignon, cela n’a pas traîné. » (source France 3)

    http://www.contre-info.com/reforme-des-retraites-le-depute-et-ex-voyante-mise-en-examen-corinne-vignon-incapable-de-repondre#more-58998

  • Bal tragique à Nantes le 21 juin, un mort : Édouard Philippe

    #QuiatuéSteve ? Steve Caniço n’est pas le seul à s’être noyé lors de la nuit tragique du 21 juin à Nantes.
    Édouard Philippe, Premier ministre, vient de le rejoindre dans la liste des victimes.
    Le corps sans vie de Steve Caniço a été retrouvé lundi 29 juillet – 38 jours après sa disparition – dans la Loire, pratiquement à l’endroit où il était tombé. (C’est dire le zèle avec lequel son corps fut recherché.)
    Le corps de Steve Caniço à peine récupéré, le Premier ministre s’est fendu d’une analyse en s’appuyant sur le résultat d’une enquête de l’IGPN (la police des polices).
    « Pas de lien entre la disparition de Steve et l’intervention de la police. »
    Un cadavre politique dérisoire, puant, méprisé de tous
    Problème : le rapport de l’IGPN sur lequel s’appuie Édouard Philippe est daté du 16 juillet 2019, c’est-à-dire à un moment où tout le monde, autorités comprises, s’interrogeait encore – ou faisait mine – sur ce qu’il était advenu de Steve Caniço : #OùestSteve ?
    Mais déjà, l’IGPN avait tiré ses conclusions.
    Déjà, le Premier ministre Philippe mettait au chaud ces conclusions opportunes (comme toutes les conclusions de l’IGPN sur ce genre d’enquête) pour ne les lire – ô hasard, ô coïncidence – qu’au lendemain de la découverte du corps du supplicié.
    C’est dire le sérieux de cette enquête.
    C’est dire le sérieux de ces conclusions (contredites par les multiples vidéos et photos tirées de la tragédie).
    C’est dire le sérieux d’Édouard Philippe, Premier ministre à figure plus mortifère, tu meurs.
    La tragédie du 21 juin a donc fait deux victimes : Steve Caniço et Édouard Philippe.
    Mais le second est juste un peu mort plus que le premier.
    Steve Caniço survivra longtemps encore dans les mémoires.
    Édouard Philippe n’est plus qu’un dérisoire cadavre politique, puant, ballonné par sa propre suffisance, son insondable bêtise, méprisé de tous.
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/bal-tragique-nantes-le-21-juin-un-mort.html#more

  • Dernier rebondissement dans l’affaire Benalla : en attendant le prochain ?

    Capture-33.png

    Un peu plus d’un an après les faits, le feuilleton Benalla n’en finit plus de rebondir. Ainsi, le 1er mai 2018, Alexandre Benalla, naguère plus ou moins chargé de la sécurité du candidat Emmanuel Macron en pleine campagne présidentielle, croit bon d’intervenir contre un couple de trublions s’en prenant manifestement aux forces de l’ordre en présence, à Paris, place de la Contrescarpe.

    Pour résumer, il a torgnolé deux gauchistes ; ce qui n’est pas tout à fait une affaire d’État, mais qui ne va pas tarder à le devenir.

    Il y a d’abord le téléphone portable « personnel » du prévenu, « personnel » parce que faisant office de ligne directe avec l’Élysée ; téléphone opportunément « perdu », puis incidemment « retrouvé », à en croire les récentes révélations du Monde. Mais téléphone grâce auquel on sait, désormais, que le Président et son proche entourage, Alexis Kohler, secrétaire général du Château, étaient parfaitement au courant des frasques de leur jeune et énergique homme à tout faire.

    La preuve en est ce message pour le moins explicite, retrouvé en même temps que le téléphone en question, signé de Jean-Luc Minet, commandant militaire en second de la présidence de la République – pas exactement le premier venu – et adressé au même Alexandre Benalla, au moment de cette algarade des plus musclées : « Tous des cons Alexandre sois zen et fort c’est le patron qui décide et à 30.000 kilomètres il ne décide rien en te concernant. » Au même instant, Emmanuel Macron est en voyage officiel en Australie et Alexandre Benalla aux anges, on imagine.

    D’autres échanges seraient encore à même de mettre à mal l’une des principales thématiques de campagne du jeune Président voulant qu’avec lui, nous fussions en passe d’en finir avec l’ordre ancien pour accoster sur les rives du nouveau monde. Et c’est là qu’à l’occasion d’autres messages téléphoniques – se voulant discrets, mais finalement pas tant que ça –, on voit que les méthodes du passé persistent à avoir encore de l’avenir.

    Ainsi, le mode de rémunération du service d’ordre d’En Marche ! Un peu déclaré, mais souvent réglé en espèces. Le Front national du siècle dernier était finalement plus cash, si l’on ose dire en la circonstance : à la sortie de chaque meeting lepéniste, le service d’ordre, payé lui aussi un peu à l’ancienne, tendait le drapeau dans lequel le chaland lâchait quelques pièces ; voire quelques billets. « Les quêtes les plus juteuses sont celles qui font le moins de bruit dans le panier », aimait déjà à rappeler l’avocat Jean-Louis Tixier-Vignancour, lors de l’élection présidentielle de 1965…

    Hormis les cris d’orfraie de la « bonne presse », tel que prétendu naguère chez les curés, dont Le Monde semble aujourd’hui incarner les avant-postes, rappelant ainsi de plus en plus les indignations de chaisière de La Croix quand Arletty montrait ses jolis seins dans Le jour se lève(réalisé par Marcel Carné en 1939), cette affaire pourrait paraître des plus banales, à l’exception de ceci :

    Tout d’abord, cette prétention macronienne de changer à la fois d’air et d’ère, alors que tout cela n’était que ritournelle jouée sur pipeau désaccordé. La preuve en est que ses puissants sponsors politico-économiques n’étaient que chevaux de retour : François Bayrou, le perdreau de l’année ? Et le MEDEF, quelque peu descendant de cette lignée vaguement consanguine, initiée par les acquéreurs de biens nationaux et le tristement célèbre Comité des forges, était-il finalement le mieux qualifié pour transformer notre vieux pays capétien en start-up nation ?

    D’ailleurs, et histoire de clore ce feuilleton, qu’il nous soit permis de rappeler qu’à la grande époque des officines parallèles, un Charles Pasqua faisait appel à des sbires autrement plus sérieux. Pour aller court et parler franc : Alexandre Benalla n’est pas Pierre Debizet. Comme quoi le « nouveau » monde a encore quelques leçons à recevoir de « l’ancien ».

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/dernier-rebondissement-dans-laffaire-benalla-en-attendant-le-prochain/

  • Alors qu'elle est entourée d'une indifférence générale, l'affaire Marie Laguerre nous concerne tous...

    L'agresseur de Marie Laguerre (les faits remontent au 24 juillet 2018) a été condamné à 12 mois de prison, dont 6 mois ferme, avec une mise à l'épreuve de 3 ans, et aussi à verser 2 000 euros de préjudice moral à la victime.

    Mais le problème n'est plus là : le JT de midi de France 2 ce mercredi 31 juillet, nous apprend que, depuis, Marie Laguerre vit un véritable enfer, parce qu'elle est l'objet de harcèlements incessants.
    Bravo à Jean-Baptiste Marteau d'avoir envoyé ce sujet, le révélant ainsi au grand public et brisant l'omerta qui, scandaleusement, l'entoure : le racisme inversé que nous subissons aujourd'hui, et qui est devenu la norme, fait que, lorsqu'un immigré agresse une Française, même s'il est incarcéré, la violence contre la personne agressée ne cesse pas, et l'on ne dit rien, l'on ne fait rien.
    Dans le cas contraire - que nous condamnerions tout autant - on verrait, n'en doutons pas, se déchaîner tout un tas d'associations anti-racistes, grassement subventionnées par nos impôts (qui seraient mieux employés pour nos pompiers ou nos infirmiers/urgentistes et autres soignants...). Et, bien sûr, l'inénarrable monsieur Toubon, Défenseur des Droitsmonterait au créneau pour appeler à la lutte contre la peste brune et le retour des heures sombres de notre histoire...
    Au moins en parler, au moins le dire, le dénoncer, c'est la première des façons d'aider Marie Laguerre : qui a dit :"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire" ?
     "Défenseur des droits" : voilà un poste à supprimer d'urgence, dans le cadre des économies à réaliser...
  • Trump s’attaque aux troupes de choc du capitalisme… pardon, aux antifas !

    800px-antifa_graffito_-_bialystok_-_poland_36270278525-800x475.jpg

    André Archimbaud dans Boulevard Voltaire

    Trump caresse l’idée de classer les antifas comme organisation terroriste, et ce afin de faciliter la tâche de la justice et de la police. Il faut le reconnaître : le président américain, sur les questions sociales et culturelles, a le coup pour sortir les masses de leur hypnose et les replonger dans le monde tel qu’il est.

    Il profite ainsi d’une longue suite d’incidents graves, au cours desquels de jeunes gens masqués procèdent dans la liesse à des cérémonies de protestation bon enfant contre le fascisme. De préférence devant les caméras : police, services des frontières, universités, journalistes rebelles à la pensée unique, tous ont été intimidés et brutalisés, en personne ou en leurs biens, et ce depuis la campagne de Trump aux présidentielles de 2016. Ainsi, le 13 juillet dernier, un certain Willem Van Spronsen a tenté de causer de multiples explosions et incendies aux environs d’un centre de détention des services de l’immigration de la côte Ouest, à Tacoma. La police l’a tué en pleine action.

    Pour ce qui est de la violence physique, le dernier « fasciste » notoire visé par la contradiction des antifas a dû récemment se faire hospitaliser : à Portland, Oregon, Andy Ngo, journaliste conservateur, homosexuel américain d’origine asiatique, a été attaqué par une meute, a subi plusieurs lacérations au visage, et restera suivi pour possible hémorragie cérébrale. Alors que les grands médias ne voient dans ces brutalités qu’une légitime réaction à des provocations abjectes de la part de racistes et de fascistes, deux parlementaires, Ted Cruz et Bill Cassidy, viennent de soumettre un projet de loi visant à qualifier officiellement et pénalement les antifas de terroristes, en phase avec les propos de Trump de ce week-end.

    Cependant que de nombreux sites et médias proches de la galaxie Trump concluent que la coupe est pleine : les 3 et 15 juillet derniers, le site Epoch Times, sino-américain mais anti-communiste, faisait paraître une analyse sur ce mouvement, qu’il situe dans la tradition du trotskisme, un trotskisme de gens aisés. Les avocats des victimes semblent par ailleurs se coordonner pour lancer une riposte juridique contre le mouvement. Le site The Federalistdemande aux autorités de Portland d’interdire le mouvement sur son territoire tout en citant Friedrich Nietzsche sur ceux qui deviennent des monstres en combattant les monstres. Le site, le 26 juillet, pointe du doigt Howard Zinn, auteur d’une intéressante anti-histoire de l’Amérique, A People’s History of the United States, parue en 1980, que certains qualifie de haineuse. Zinn serait ainsi l’inspirateur du mouvement antifa. Comme Saul D. Alinski fut celui des révolutionnaires « entristes » du système à partir de 1970.

    Le fascisme est, « objectivement », un fantasme. Le monde est désormais devenu une vaste « Ferme des animaux », où ses « cochons » exigent d’éliminer tout ce qui résiste à la marchandisation des hommes et des idées. En faisant passer souveraineté, tradition, identité et religion pour « fascistes », et en promouvant les frontières ouvertes, les antifas se mettent « objectivement » au service de cette machine à tuer les peuples qu’est le libéralisme. Point étonnant donc que la super-classe mondiale (lire le livre de Michel Geoffroy) soutienne ou protège le mouvement antifa. Trump, Cruz et Cassidy auront fort à faire…
    Car le mouvement antifa est polymorphe. Qui les finance?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Après Macron, il peut y avoir Le Pen

    Après Macron, il peut y avoir Le Pen

    Les cercles du régime s’inquiéteraient pour 2022, selon le Canard :