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  • Non cette République n'est pas une dictature. Mais elle est un totalitarisme.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    "Essayez la dictature, et vous verrez"... En tentant maladroitement de se dédouaner des accusations dictatoriales portées contre sa pratique du pouvoir, Emmanuel Macron prend le risque que les Français, qui espèrent et attendent l'avènement d'un régime fort pour le  Salut national, lui répondent : "Chiche" !
    Non, en effet, la France n'est pas une dictature. 
    Une dictature suppose une autorité, une direction, une vision de long terme que l'on chercherait vainement dans ce marécage institutionnel, ce cloaque idéologique et cette lise politique fondée sur la mystification et les combinaisons de hasard qu'est, depuis son commencement, la Cinquième République. 
    Mais, s'il n'est pas une dictature, ce régime est bien un totalitarisme. Totalitarisme d'une caste oligarchique toute entière habitée d'un seul dessein : conserver coûte que coûte le pouvoir ; totalitarisme de la finance, du libre échangisme et de l'argent-roi ; totalitarisme du fiscalisme et de la bureaucratie sclérosante ; totalitarisme du progressisme sociétal et de l'accomplissement migratoire ; totalitarisme, par un paradoxe qui n'est que d'apparence, du laxisme et du laisser-faire ; totalitarisme de la déconstruction social; totalitarisme, enfin, de la bien-pensance et du politiquement correct livrant au lit de Procuste toute affirmation non conforme.
    Macron, hologramme de ses mandants, en est la représentation la plus achevée.
  • Immigration : le chiffre des demandeurs d’asile en France serait-il truqué ?

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    Une étude de Libération affirme que « Eurostat épingle la France pour avoir tronqué des statistiques » sur le nombre de demandeurs d’asile. La direction générale de la Commission européenne chargée de l’information statistique reproche à la France de ne pas comptabiliser, dans les données qu’elle transmet, les demandeurs d’asile sous procédure de Dublin, c’est-à-dire ceux qui requièrent l’asile auprès d’un pays européen après être entrés dans l’Union européenne par le biais d’un autre. Chaque mois, plusieurs milliers de demandeurs seraient donc « oubliés ».

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  • Les 50 mots de novlangue que vous entendrez partout en 2020

    Il y a plus de 10 ans, Polémia publiait son premier Dictionnaire de novlangue.
    En 2013, le Nouveau Dictionnaire de novlangue était présenté à ses lecteurs, avec plus de 500 mots nouveaux. Deux ans plus tard, c’est un nouveau Dictionnaire de novlangue, consacré à Mille mots qui manipulent les Français.
    Aujourd’hui, Michel Geoffroy, notre lexicographe toujours vigilant, a répertorié 50 nouveaux mots ou nouvelles expressions qui envahissent les médias et seront martelé tout au long de cette année 2020.

    Âgisme : « Attitude de discrimination ou de ségrégation à l’encontre des personnes âgées » selon le rapport remis au Premier ministre le 16 décembre 2019 par le député Audrey Dufeu Schubert.

    Agression : le fait de s’opposer, même simplement verbalement, aux provocations des islamistes est présenté comme une agression islamophobe par ces derniers ainsi que par les idiots utiles du système médiatique.

    Allaou Akbar : le fait de prononcer ces paroles en frappant quelqu’un avec un couteau est, pour la justice, les médias et le gouvernement français la preuve incontestable que l’auteur des coups n’est pas un terroriste islamiste mais seulement un « déséquilibré tenant des propos incohérents » ou ayant « des antécédents psychiatriques ».

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  • Diversité culturelle et pensée unique : quelle cohérence ? par Christian Vanneste

    1130540973.jpgNotre pays collectionne les contradictions mortelles. Parmi celles-ci, il y a l’incroyable rencontre du multiculturalisme et de la pensée unique. La tradition cohérente de la France reposait sur l’idée inverse : la France a bien, contrairement à l’une des sottises proférées par Macron, une culture, un mode de pensée largement dominant et qui consiste à « cultiver » l’esprit critique, la souplesse intellectuelle autant que la raison, en évitant les fanatismes et les systèmes

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  • Samedi 8 février : conférence de Vincent Vauclin, président de la Dissidence française, dans les Vosges

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  • Partant pour la Syrie

    6a00d8341c715453ef0240a4b62bb6200c-320wi.jpgCe 16 janvier, le chef de l'État présentait aux armées ses vœux pour 2020. Il avait choisi pour cela la base aérienne 123 Orléans-Bricy. Il y annonça que la France s'apprêtait à envoyer au Levant le porte-avions Charles-De-Gaulle et son groupe aéronaval, dont le porte-hélicoptères amphibie Dixmude[1].

    Jusqu'en 1946 l'expression Levant français désignait, de façon précise, les deux territoires sous mandat de la Société des Nations. La Syrie et le Liban avaient été confiés à la protection, bien incertaine[2], de Paris par la paix de Versailles, plus particulièrement par le traité de Sèvres (1920) qui fut révisé à Lausanne (1923). De cette paix, on ne mentionne pas beaucoup le centenaire, perdu dans la débauche quotidienne des anniversaires et autres éphémérides.

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  • Toujours plus de censure ! L’amendement « Sleeping Giants » de la loi Avia a été voté…

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    Toujours plus loin, toujours plus fort dans la censure… L’amendement dit « Sleeping Giants » – du nom des antifas anonymes qui harcèlent, depuis des mois, les annonceurs de Boulevard VoltaireValeurs actuelles et CNews – a été voté à l’Assemblée nationale. Les entreprises devront produire tous les mois des fiches donnant le nom des sites sur lesquels leurs publicités sont apparues. Une tache, dans la pratique, très compliquée pour elles et une atteinte gravissime à la liberté d’expression, dénoncée par  dans l’Hémicycle.

  • « Étudier ailleurs » pour ne pas « vivre ensemble »

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    Peter Hansen (1868-1928) Copenhague : Jeux d’enfants, 1908

    La chronique de Philippe Randa

    D’années en années, l’école à proximité de leur domicile devient pour beaucoup de parents de plus en plus anxiogène : le niveau de l’enseignement baisse inexorablement, tandis que la discipline, et donc la sécurité, sont tout aussi dramatiquement malmenées. Et l’instauration du « collège unique » dont le but unique n’est en rien « l’intérêt de l’enfant », mais l’obligation de « vivre ensemble », accentue encore ce malaise.

     

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  • Pas de croissance économique sans croissance de productivité ? La revue de presse de Radio Courtoisie

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    Par Michel Leblay et Laurent Artur du Plessis ♦ La revue de presse du Libre journal de Dominique Paoli sur Radio Courtoisie du 20 janvier 2020 portera sur une question technique mais passionnante : le lien entre croissance de la productivité et croissance économique.

    Si nous exceptons les grèves insurrectionnelles de 1947-1948, la France traverse la plus longue crise sociale depuis la Libération. Ces grèves de 1947-1948, prises en main par le Parti communiste et son relais syndical la CGT, intervenaient au lendemain de la seconde guerre mondiale avec l’Occupation et les destructions considérables subies par le pays. Il en résultait pour une partie du pays une indéniable misère sociale. Aidée par le plan Marshall, la France engagea la reconstruction du pays et sa modernisation. Comme jamais auparavant, le pays entreprit un effort économique considérable, basculant dans la société de consommation de masse et atteignant des niveaux de croissance exceptionnels (5,3% en moyenne annuelle de 1949 à 1974). Probablement, parce que la rétribution n’était pas à la hauteur de l’effort accompli et des résultats obtenus, avec les salaires les plus modestes qui restaient insuffisants, la France bascula dans un mouvement de grève générale plus large encore que celui de 1936. Par les négociations, les avantages obtenus par les syndicats furent conséquents (hausse du SMIG de 35% et de 10% en moyenne pour les autres salaires).

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