Le site Breizh-info.com a récemment publié un entretien avec Fabrice Robert qui relance différents projets autour de Fraction. Un groupe qui – de par son engagement sans concessions – a considérablement marqué de son empreinte la scène du rock enraciné. Un retour qui se produit quelques temps après la sortie d’une nouvelle production d’In Memoriam.
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S’il y a un retour musical sur lequel peu de gens auraient misé, c’est bien celui du groupe Fraction, groupe phare de la scène rock identitaire dans les années 90 et 2000. Derrière ce retour, un homme qui, après quelques années de retrait de la scène politique, fait donc son retour sur la scène musicale : Fabrice Robert.
Un nouveau site Internet vient de sortir, des nouveaux morceaux sont annoncés, et pourquoi pas une reformation en concert dans les prochains mois ? C’est ce que nous avons demandé à Fabrice Robert. Entretien avec le fondateur du mouvement identitaire, et vétéran du hardcore 100 % Nissa, 100 % Europa, qui nous a accordé une interview exclusive, lui qui ne s’était plus exprimé dans un média depuis de nombreuses années.

Avec le départ des députés britanniques du Parlement européen, le groupe appartenant à Marine Le Pen en sort gagnant. En devenant effectif ce vendredi 31 janvier à minuit, le Parlement européen va voir son nombre de députés et son équilibre des forces changer après ce vote historique.
« Les dimensions de l'entreprise néoradicaliste, avec ses ambitions, ses rouages, ses tentacules européennes, son arsenal financier, cette volonté de vampiriser les masses s'apparente beaucoup à une prise de pouvoir totalitaire » (Dominique de Roux). L'instabilité, l'hétérogénéité du personnel politique des IIIe et IVe Républiques ont en effet permis l'apparition d'une nouvelle classe dont la Ve République devait consacrer le règne et que Saint-Simon, au XIXe siècle, appelait de ses voeux : les « experts », les technocrates. Le changement régulier du personnel administratif, non seulement empêche une intégration locale de celui-ci mais rend le service parfaitement anonyme. Telle est l'origine du transfert progressif des pouvoirs aux technocrates. La planification devait les conduire à proposer un État apparemment plus fort et plus stable : ce fut l'origine de la Ve République.



