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  • La parabole anti-mondialiste du coronavirus

    La parabole anti-mondialiste du coronavirus

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

    La crise du coronavirus semble écrite tout exprès pour mieux faire comprendre les maux de notre époque.

    Tout d’abord, le virus naît en Chine. L’ancien empire du milieu cumule tous les vices de l’idéologie communiste et du capitalisme irresponsable : l’immense majorité des habitants y est privée des libertés les plus élémentaires, quand quelques-uns sont pourvus de libertés illimitées, sans aucune responsabilité correspondante.

    Ce n’est d’ailleurs sans doute pas pour rien que nos oligarques anti-français (politiciens, médias ou financiers) nous chantent régulièrement les louanges de ce régime monstrueux : ils rêvent d’appliquer ce totalitarisme chez nous et s’étonnent de notre manque d’enthousiasme.

    Il est possible que le coronavirus provienne des expérimentations des médecins criminels qui pullulent toujours dans les pays totalitaires (le Dr Mengele ne fut ni le premier, ni le dernier de son espèce). Mais il est, en tout cas, certain que le système totalitaire porte une lourde responsabilité dans l’occultation du danger et des réactions erratiques au début de l’épidémie, quand il était encore temps de la juguler. Le Dr Li Wenliang, qui a lancé l’alerte (avant de mourir à son tour de l’épidémie), avait même été réprimandé par l’appareil répressif communiste.

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  • Municipales à Paris : la compétition Dati-Buzyn-Hidalgo, une primaire pour trouver LA femme à opposer à Marine Le Pen ?

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    Patrick Juvet ne pourrait plus chanter son suave et mythique « Où sont les femmes ? » pour cette campagne des municipales à Paris. Et Ségolène doit se dire qu’elle n’est plus la seule à occuper le créneau de la « femme d’avenir » qu’elle s’est inventé il y a… trente ans. Avec l’arrivée précipitée – ou calculée… – d’Agnès Buzyn dans les conditions que l’on sait, la compétition a pris une autre allure. Déjà, depuis plusieurs semaines, Rachida Dati s’imposait dans son camp et dans les sondages, à la surprise générale. Et voilà qu’Agnès Buzyn a interrompu la débandade qui menaçait chez LREM, au point qu’un sondage Ipsos (Le Point) parle d’« effet Buzyn », qui passe de la 30e à la 17e place alors que les deux têtes de l’exécutif seraient désespérément stagnantes. Certes, c’est un effet normal quand une personnalité relativement discrète entre dans une arène plus exposée et, surtout, dans le tintamarre médiatique suscité par l’affaire Griveaux.

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  • Déclin agricole et désertification rurale

    6a00d8341c715453ef0240a5109aac200b-320wi.jpgIl est encore temps de s'y rendre : depuis 1964, le salon de l'Agriculture de Paris reste l'occasion d'un immense rassemblement populaire, peut-être le préféré des Français. Et, comme chaque année depuis 56 ans il offre aux politiques et aux médias une occasion dont ils ne répugnent pas de se servir. On y ouvre, en effet en direction du public, et surtout le premier jour, une fantastique boîte aux mensonges et aux folies de l'hexagone.

    Le marché reste significatif. Au tarif de 15 euros pour les adultes, 8 euros pour les enfants de 6 à 12 ans, le spectacle n'est évidemment pas donné. En 2019, le Salon accueillait à Paris 633 000 visiteurs soit 40 000 de moins que l'année précédente. Sans disposer à l'instant des statistiques relatives aux stands des exposants eux-mêmes, il reste clair qu'il s'agit toujours d'une matière profitable. Nous nous trouvons donc en présence, aussi, de ce que Fernand Raynaud appelait, sur un texte rédigé par le souvent génial Francis Blanche, un gala organisé au profit des organisateurs de gala.

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