26/05/2020 – EUROPE (NOVOpress)
Eric Zemmour : « En France, l’hôpital est victime de l’invasion des étrangers qui viennent s’y faire soigner »
Extrait de l’émission Face à l’info du 25 mai 2020.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
26/05/2020 – EUROPE (NOVOpress)
Eric Zemmour : « En France, l’hôpital est victime de l’invasion des étrangers qui viennent s’y faire soigner »
Extrait de l’émission Face à l’info du 25 mai 2020.
Pierre Jovanovic : "Le Mossad s’en donne à cœur joie en France"
Au sommaire de cette seconde partie du numéro 255 de Politique & Eco :
À qui profite le crime de la pandémie ? Bill Gates, prémonition ou prévision ?
Deux mois de prison à domicile et 400 000 commerces et PME au tapis
Un collaborateur de Véran véreux
Corruption, assassinat de personnes âgées, mensonges publics, mise en danger de la vie d’autrui, dissimulation de preuves...
Les banques centrales rachètent l’or qu’elles avaient vendu !
La France comme le Liban.
La Macronie est-elle en train de couler ?
Les fonds de pension en question
Adieu à l’épargne
Aujourd’hui que les choses paraissent en voie d’apaisement, peut-on dire que le gouvernement, même si manifestement pris de court, en a trop fait ou pas assez face à l’épidémie, ou juste fait comme il pouvait ?
Il n’y a pas d’autre mot pour le dire : la réaction des pouvoirs publics face au Covid-19 a été proprement calamiteuse. Cinq mois après le début de l’épidémie, nous n’avons toujours pas atteint la capacité de dépistage que nous aurions dû avoir lorsque les premiers morts sont apparus. Le gouvernement s’est d’abord réfugié dans le déni (ça ne viendra pas chez nous, c’est une grippette), après quoi nous avons assisté à un incessant défilé de cafouillages, de consignes contradictoires et de mensonges d’État. Rien n’avait été prévu, alors que des voix nombreuses s’étaient élevées, ces dernières années, pour laisser prévoir une nouvelle pandémie venue d’Asie. La cause première réside dans l’incapacité des pouvoirs publics à raisonner au-delà du court terme. Mais la cause la plus fondamentale est que, pour se conformer aux règles de l’idéologie libérale, on a voulu soumettre le secteur de la santé publique à des principes de rentabilité, de concurrence et de gestion à flux tendu qui ont entraîné la fermeture de milliers de lits, la destruction de stocks de réserves, la précarisation croissante d’un personnel déjà sous-payé. En d’autres termes, nous avons intégré au système du marché un domaine qui est, par définition, hors marché. Le résultat a été un effondrement généralisé des capacités de l’hôpital public.