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  • 851 immigrés clandestins inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste

    851 immigrés clandestins inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a déclaré :

    “Il reste (…) 231 personnes aujourd’hui qu’il nous faut expulser, qui sont en situation irrégulière et suivies pour soupçon de radicalisation”.

    Parmi lesquelles 180 personnes incarcérées. Selon le ministre, à la fin de leur incarcération, consigne a été donnée de les expulser.

    Ils font partie des 851 immigrés clandestins actuellement inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT).

    Dans le détail, sur les 22.000 personnes suivies au FSPRT, dont 8.000 fiches sont “actives”, 4.111 sont des ressortissants étrangers et 851 sont en situation irrégulière.

    https://www.lesalonbeige.fr/851-immigres-clandestins-inscrits-au-fichier-des-signalements-pour-la-prevention-de-la-radicalisation-a-caractere-terroriste/

  • Pourquoi le retrait de Baroin n’a rien d’anecdotique, par Maxime Tandonnet.

    Maxime Tandonnet. Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro

    L’obsession de «l’envie» et du «désir» comme moteur de l’ambition élyséenne signent le naufrage de la politique française, analyse Maxime Tandonnet. Selon lui, si la droite veut reconquérir le pouvoir, elle doit redéfinir sa base idéologique, avant de désigner son candidat.

    Le renoncement de François Baroin à se présenter aux élections présidentielles de 2022 est vécu par les sympathisants de la «droite» comme la perte d’une chance de reconquête du pouvoir. Les arguments qui ont été mis en avant par l’intéressé en disent long sur l’image de la politique qui prévaut dans le pays. «Je n’en ai pas envie», aurait-il déclaré sur France info. Ce propos fait écho à de nombreuses déclarations qui tendent à présenter la candidature à l’Elysée comme avant tout une affaire de désir personnel: «Il faut en avoir envie» ou bien «être celui qui en veut le plus».

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  • La doxa libérale du parti socialiste passée au crible

    La doxa libérale du parti socialiste passée au crible.jpeg

    Après les « réacs », les « nouveaux réacs », voici les « réacs de gauche » Collectif informel de jeunes intellectuels de gauche conduit avec talent par le politologue Laurent Bouvet, la « Gauche populaire » passe au crible l'idéologie dominante du parti socialiste Au risque des anathemes et des procès en sorcellerie pour «lepenisme» Pierre Le Vigan décrypte son dernier livre, Le sens du peuple.

    Qu'est-ce qui a éloigné durablement le socialisme de la République ? C'est la nature foncièrement libérale et individualiste, héritée des Lumières, de cette république bourgeoise. D'où une césure de plus en plus nette entre, d'une part, le socialisme en tant que visée de transformation sociale et d'émancipation des travailleurs et, d'autre part, la gauche, ramenée de nos jours à la prise en charge des revendications communautaristes et sociétales les plus diverses, et les plus contraires à la notion même de peuple, à la fois peuple-nation, peuple démocratique et peuple-classe des travailleurs. La gauche est devenue en effet, selon le mot de Marcel Gauchet, « pluraliste-identitaire-minoritaire ». Elle défend tout ce qui renvoie d'abord à une supposée hétérogénéité de la société, constituée en fait de niches de consommation et de tribus parfaitement compatibles avec l'homogénéisation marchande. Diversité d'apparence, uniformité de fond ou, en d'autres termes, américanisation bariolée du monde. C'est le remplacement du compromis fordiste (en termes économiques) et social-démocrate (en termes politiques) de l'après-guerre et des Trente Glorieuses par un compromis « libéral-communautariste ».

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  • À Toulouse, l’ultra-gauche harcèle la manifestation Marchons enfants !

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    Samedi 10 octobre, le collectif Marchons enfants ! défilait dans la ville rose. Durant deux longues heures, des militants LGBT et ultra-gauche ont tenté d’infiltrer le défilé pour agresser les participants.

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