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C’est l’un des plus grands génocides de l’histoire, plus grand encore que celui qui nous est continuellement ressassé, car l’on parle ici de 80 millions à 100 millions de personnes! Et pourtant, celui-ci continue tranquillement. Les amérindiens sont « protégés », principalement en tant que source de revenus, avec la visite des zoos réserves, grâce au cinéma, à la culture, mais sinon… Leur principal droit est celui-ci de conserver le silence, aux États-Unis, le « blanc » reste maître !Les Etats-Unis ne voient pas d’un bon œil que le sort des Indiens d’Amérique soit pour la première fois à l’ordre du jour des Nations-Unies. Car il s’agit de se pencher sur le sort d’une population de 2,7 millions d’habitants ravagés par une multitude de fléaux et dans des proportions effroyables. Mais qu’en attendre? Car la parole de ces exterminés est inaudible.
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Pour le professeur Raoult, toutes les mesures de contrainte sociale sont inutiles
Ce mercredi matin, je n’aurais pas aimé être à la place d’Emmanuel Macron. Face aux membres certainement très instruits du Conseil scientifique et du Conseil de défense, il venait d’apprendre que le professeur Raoult avait déclaré, une fois de plus, que toutes les mesures sanitaires prises par son gouvernement ne servaient à rien. Et, de fait, lorsque l’on voit que le virus d’origine et ses variants sont toujours présents en France comme dans la plupart des autres pays, malgré des mesures sanitaires coercitives, il y a de quoi écouter ce charlatan de professeur Raoult.
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Bouchons monstres pour fuir le confinement à Nice : nouveau signe de la revanche de l’arrière-pays de Florence Aubenas ?
Jean Castex, l’homme de Prades et des « territoires », n’avait sans doute pas prévu que l’une des conséquences de sa décision de confiner le week-end la cinquième ville de France serait de créer un immense appel d’air vers ces territoires et… de gigantesques bouchons à la sortie de Nice. Comme aux temps héroïques de mars 2020 où les Parisiens avaient fui en masse la capitale dans un remake semi-parodique de juin 40. D’après Nice-Matin, « ce vendredi soir, des kilomètres de bouchons se sont formés à la sortie de Nice. Nombreux sont les Azuréens qui fuient actuellement le littoral pour échapper au confinement partiel décidé par la préfecture pour ce week-end. L’arrière-pays est en effet épargné par ces mesures. »
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Les comptes de l’assurance-chômage virent au rouge écarlate !
Les comptes de l’assurance-chômage accusent de façon vertigineuse le coup de la récession qui frappe le pays depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Fin 2020, son déficit a plongé à – 17,4 milliards d’euros, selon les chiffres adoptés, mercredi 24 février, par le bureau de l’Unédic, l’association copilotée par les partenaires sociaux qui gèrent le dispositif.
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La baisse des naissances en France possiblement liée au Covid-19.
Selon une première estimation de l’Insee, 53 900 bébés sont nés en janvier 2021 soit 13% de moins qu’en janvier 2020. « Une diminution (…) sans commune mesure avec les baisses qui ont pu être observées dans le passé » et qui « pourrait être liée à la pandémie de Covid-19 », selon l’Institut national de la statistique et des études économiques.
Neuf mois après le début du premier confinement, la France connaît une baisse conséquente du nombre de naissances. Si la chute était déjà remarquable en décembre 2020 (7% par rapport à décembre 2019), elle s’est accentuée en janvier 2021 avec 13% de naissances en moins qu’en janvier 2020.
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Honoré d’ Estienne d’Orves, résistant et monarchiste
Robert Spieler
Didier Lecerf est historien et militant, depuis sa jeunesse, de la cause identitaire. On lui doit déjà un Cahier d’Histoire du nationalisme, paru aux éditions Synthèse nationale, consacré au Parti des forces nouvelles (PFN), dont il fut un militant actif. Il nous offre aujourd’hui une remarquable biographie du capitaine de frégate Honoré d’Estienne d’Orves, qui fut fusillé par les Allemands le 29 août 1941. Le sous-titre du livre est Des monarchistes dans la Résistance.. Didier Lecerf décrit fort bien la complexité de cette époque quand il cite François de Grossouvre, ancien conseiller de François Mitterrand, qui écrivait : « Avec le même patriotisme et la même bonne foi, on pouvait se trouver entraîné dans un camp ou dans l’autre. J’avais deux amis, officiers de marine en 1940. L’un a rejoint l’amiral Muselier et les Forces navales françaises libres, l’autre a suivi Darlan. Pourquoi ? Ils étaient aussi patriotes l’un que l’autre ».
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Le président Emmanuel Macron évoque l’adoption d’un « pass sanitaire »
Emmanuel Macron a annoncé jeudi 25 février qu’une réunion était prévue avec des membres du gouvernement la semaine prochaine pour préparer la mise en place d’un « pass sanitaire », avec pour objectif la réouverture des lieux culturels et des restaurants fermés par la crise sanitaire.
« On va demander à ce que les gens s’enregistrent pour faciliter le système d’alerte (…) des cas contacts, sans doute pourra-t-on intégrer les éléments de test négatif récent. On pourra regarder aussi si vous avez été vacciné », a énuméré le chef de l’Etat au cours d’une conférence de presse à l’issue de la première journée d’une visioconférence entre les 27 dirigeants de l’Union européenne.
https://www.tvlibertes.com/actus/le-president-emmanuel-macron-evoque-ladoption-dun-pass-sanitaire
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La casse économique et sociale : de la responsabilité des élites. Novelli - Gave - Pascot
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Années 30, la marche à la guerre
Datée de 1946, l’édition originale des souvenirs d’André François-Poncet, ambassadeur de France à Berlin de 1931 à 1938, se trouve sans difficulté chez les bouquinistes. Son papier de mauvaise qualité, aujourd’hui jauni, typique des livres imprimés après-guerre, tout comme l’absence de notes, risquent toutefois de décourager le lecteur. Pour qui s’intéresse à cette période, il s’agit pourtant d’un document capital. C’est pourquoi il faut féliciter les éditions Perrin d’avoir réédité ce classique de la littérature diplomatique, avec une préface et un appareil critique confiés à Jean-Paul Bled, spécialiste incontesté de l’histoire allemande et austro-hongroise.
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Blanc, seul et très malade
Alain Sanders
Nous avons déjà eu l’occasion, à différentes reprises, de relever ces désormais innombrables publicités (tant à la télé que dans les journaux et les magazines) qui mettent systématiquement en scène un homme noir et une femme blanche (généralement blondasse). Et jamais, sinon très rarement, le contraire. On ne fera croire à personne, et pas à moi en tous les cas, qu’il ne s’agit pas d’une démarche idéologiquement délibérée.
Est-ce à dire que tous les publicitaires sont idéologiquement vérolés et des fourriers du Grand Remplacement ? Ce serait donner beaucoup de crédit à leurs facultés intellectuelles... Reste qu’ils se couchent avec zèle et empressement devant la doxa racialiste. « Les capitalistes finiront par nous vendre la corde pour les pendre », disait Lénine.
Cette propagande racialiste, qui touche aussi les annonces gouvernementales (télé et presse papier là encore), a fini par tout envahir. Un exemple récent qui pourrait paraître anecdotique s’il n’était, tout au contraire, symptomatique de l’effacement progressif – à la sournoise naguère, aujourd’hui totalement assumé – des Blancs (mais pas des Blanches...).
En page « économie » du Parisien donc, un article intitulé : « Gare au poids de l’assurance dans votre endettement ». De quoi s’inquiéter, si j’ai bien compris, mais là n’est pas le sujet. Ce qui l’est, en revanche, c’est que ledit article est illustré, histoire de nous informer mieux, par un dessin parlant (comme on disait jadis). Il représente un couple d’un côté, et un célibataire de l’autre. Le couple ? Classique : un Noir et une Blanche. « En bonne santé », précise-t-on. Le célibataire ? Un Blanc. Pas en bonne santé, lui : « Diabète type 2 et surpoids ». Blanc, seul et très malade, n’en jetez plus la cour est pleine...
Vous pensez que c’est par hasard que l’infographiste et Le Parisien ont fait un tel choix plutôt que l’inverse : deux Blancs en bonne santé et un célibataire noir subclaquant ? T’as qu’à croire...
Il y a déjà quelques années, en 2011, nous avions été quasiment les seuls à dire la nocivité du film Intouchables alors que la France entière lui faisait un triomphe. Derrière les bons sentiments et les scènes lacrymales, on montrait quoi ? Un vieux Blanc acariâtre, tétraplégique, cloué dans un fauteuil roulant, un peu « vieille France » sur les bords, désuet, compassé, encombré d’une famille convenue et convenable. Et qui pour le tirer de là ? Un lascar des quartiers ethniques, un jeune Noir (l’imbuvable Omar Sy) qui sort de prison, pétant de santé, créatif, taquin et virevoltant. On était au-delà du cliché et de plain-pied dans une fable dont la leçon n’échappera qu’à ceux qui ne veulent pas voir : une France en fin de vie, réoxygénée par un Sénégalais un peu filou, mais tellement sympathique (comme le diraient ces boulangères et autres nonos qui font la grève de la faim pour qu’on leur laisse leurs migrants épatants...)
La semaine dernière, sous le titre : « La chasse aux Blancs est ouverte », nous donnions quelques exemples de cette curée déclenchée par Hollywood, Netflix, les BLM, les GAFAM, leur armée d’esclaves leucodermo-masochistes, etc. Eh bien voilà une nouvelle salve épuratrice avec le film de Brenda Chapman, Come Away, proposé par Amazon Prime Vidéo.
Soit donc un couple dans les années 1860 aux Etats-Unis. Un Noir (David Oyelowo), bien sûr, et une Blanche (Angelina Jolie), évidemment... Ils ont trois enfants : David, Peter, Alice. David meurt. Peter se console avec le Pays imaginaire. Alice passe de l’autre côté du miroir. On est là dans le détournement pervers (car pourquoi racialiser ces deux contes sinon ?) de deux histoires emblématiques de la civilisation occidentale en général, et britannique en particulier. Les chefs d’œuvre de J. M. Barrie (Peter Pan) et de Lewis Caroll (Alice au pays des merveilles), un écrivain écossais et un écrivain anglais. Deux Blancs. Dont les héros, Peter et Alice, sont des Blancs. Transformés, par une manip raciale incongrue, en petits mulâtres balancés dans une histoire qui n’est pas, qui n’est plus, la leur...
Ce Come Away (par ailleurs nullissime et sirupeux) a provoqué cette réflexion d’un internaute qui a tout compris : « Bientôt on aura Blanche-Neige en noire et les Schtroumpfs en je ne sais quelle couleur sauf bleue. »
Source : Présent 25/02/2021
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2021/02/27/blanc-seul-et-tres-malade-6300354.html