
Stéphane François est un politologue dont les travaux portent sur les droites radicales, le néo-paganisme, l’ésotérisme et les sous-cultures musicales et vestimentaires. En 2019, il a été entendu par la commission d’enquête sur la lutte contre les groupuscules d’extrême droite.
Son dernier livre, La Nouvelle Droite et ses dissidences est un recueil d’articles publiés entre 2007 et 2019. Il traite de « l’obsession identitaire d’une école de pensée de l’extrême droite, la Nouvelle Droite, et de la transmission de ses thèses aux autres tendances, en particulier identitaires, et dans des structures comme la Fondation Polémia ou l’Institut Iliade, toutes deux fondées par d’anciens néo-droitiers ».
Il s’agit donc de textes rédigés par un adversaire politique dont il est utile d’entendre les arguments. L’auteur parviendra-t-il à convaincre les lecteurs de Polémia qu’ils sont, entre autres, des « obsédés de l’identité » ?





