Le nom et l'œuvre de Gustave le Bon sont aujourd'hui superbement ignorés par les universités françaises. La raison en est simple : les dures vérités qu'enseigne ce pionnier de la psychologie sociale appliquée à la sociologie sont trop rudes à entendre pour les fragiles oreilles de nos contemporains, qui préfèrent se laisser bercer par les élucubrations du catéchisme freudien et des "philosophes" de supermarchés (de B.H Lévy à André Gkucksman, la liste est longue...).
Pourtant, lorsqu'il meurt à quatre-vingt-dix ans, le 14 décembre 1931, Gustave le Bon laisse derrière lui une œuvre impressionnante, que tout militant nationaliste se doit de connaître car elle lui fournit des armes de premier choix dans son combat.
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