
Au début du XXe siècle, la corruption de la classe politique de la IIIe République était régulièrement dénoncée par la presse d’opposition au régime, qu’elle fut royaliste ou anarchiste.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Au début du XXe siècle, la corruption de la classe politique de la IIIe République était régulièrement dénoncée par la presse d’opposition au régime, qu’elle fut royaliste ou anarchiste.
Certes, les 27 pays membres de l’Union européenne continuent de considérer que l’accueil de l’Autre, avec une majuscule et sans autre précision, est un devoir moral. Toutefois, les gouvernements européens ne sont pas idiots et commencent à comprendre que leurs électeurs non plus.
Les Européens ont vu que les réfugiés ne venaient pas tous de pays en guerre. Ils ont vu que nombre de ces réfugiés avaient abandonné femme(s) et enfants au pays, avec un discutable courage, pour tenter leur chance en Occident. Et ils n’ont pas oublié que, la dernière fois, dans ces files de migrants, il y avait aussi des terroristes.
En France, l'autorité est détenue par Météo France qui contrôle le Centre national de recherche en météorologie (CNRM), lequel dépend de l'Ecole nationale de la météorologie, à Toulouse. Le centre regroupe un réseau de 171 stations synoptiques (ensemble de stations et de centres départementaux de mesures de paramètres climatiques-les relevés). Il regroupe aussi un réseau climatique d'état (RCE) d'environ 4 000 postes (tenus par des bénévoles).
La présidente du parti Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, qui est la grande rivale du dirigeant de la Ligue Matteo Salvini, devrait voir sa formation arriver en tête au premier tour des municipales d’aujourd’hui et de lundi, et notamment à Rome. Au niveau national, Fratelli d’Italia devance la Ligue dans les sondages.
L’égérie de la droite souverainiste italienne a adhéré à 15 ans aux jeunesses fascistes du Mouvement social italien, le parti héritier de Benito Mussolini. Élue députée à 29 ans, Giorgia Meloni préfère se présenter comme une “femme”, “mère” et “chrétienne” qui défend une vision “sociale, nationale et populaire”.
La foule se presse à Lille pour la signature du livre de Zemmour. C’est une séance de dédicaces qui se fait habituellement dans une librairie. Mais c’est au Grand Palais, la salle est immense et bondée, et pour reprendre une publicité qui fut célèbre, cela a l’ambiance d’un meeting électoral, l’ardeur d’une campagne qui commence, mais ce n’est ni un meeting, ni une campagne. C’est beaucoup mieux, c’est la preuve du désir populaire que cette campagne ait lieu, la démonstration que le besoin existe avant même que son objet soit disponible. Pour l’instant, c’est un auteur et un livre. Et le titre de ce livre ressemble à un slogan : “la France n’a pas dit son dernier mot”.
La Sainte-Alliance et Franz von Baader
Pendant la Restauration, c'est l'Autrichien Metternich qui donne le ton et tente de forger et d'asseoir définitivement une Europe réactionnaire, traquant partout tous les résidus de la Révolution française. L'instance internationale de l'époque est la Sainte-Alliance de 1815 (Grande-Bretagne, Russie, Prusse, Autriche), qui devient la Pentarchie en 1822 (quand la France se joint aux 4 puissances victorieuses de 1814-15). La Restauration permet l'éclosion d'un romantisme contre-révolutionnaire, incarné notamment par Franz von Baader. Elle vise aussi à organiser rationnellement l'Europe sur base des acquis de l'Ancien Régime, remis en selle en 1815.
Éric Zemmour l’a cherché, Éric Zemmour l’a trouvé. Enfin, un contradicteur du même acabit, un contradicteur de poids, tonnage garanti. Comme le dit l’adage, qui joue avec le feu finit par se brûler. Qui s’y frotte trouve Aurore Bergé. Ça secoue, du 8,5 sur l’échelle de Richter.
« Je ne débattrai pas avec, je débattrai contre Éric Zemmour, c’est pas tout à fait la même chose, parce que je pense qu’il ne faut pas lui laisser un centimètre carré d’espace, parce que je pense qu’à un moment il faut combattre ce qu’il est, ce qu’il représente, et ce qu’il dit », lançait la députée LREM sur les ondes de Sud Radio. « On a quelqu’un qui finalement a la trouille de dire qu’il est candidat, et Éric Zemmour est quelqu’un qui a peur ; il a peur des femmes, en permanence, il a peur des homosexuels, il a peur des immigrés. » Zemmour le froussard a trouvé quelqu’un qui veut en découdre.