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  • Judit Varga, tête de liste Fidesz aux élections européennes : « L’immigration économique n’est pas un droit de l’homme » [Interview]

    Judit Varga a été ministre de la Justice de la Hongrie de juillet 2019 au 31 juillet 2023, date à laquelle elle a démissionné pour annoncer sa candidature en tant que tête de liste du parti Fidesz au pouvoir pour les élections européennes de 2024. Notre confrère Álvaro Peñas l’a interviewée pour The European Conservative, traduction par nos soins.

    Vous êtes ministre de la justice depuis quatre ans et le visage le plus visible du gouvernement hongrois à Bruxelles. Pourquoi avez-vous décidé de vous présenter aux élections européennes et de conduire la liste électorale du Fidesz pour 2024 ?

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  • Immigration: “Pour l’Ukraine, il y a un million de personnes qui sont venues, on en parle moins car ils sont sans doute mieux intégrés”, affirme François Hollande

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  • [Chronique] Antisémitisme de gauche : le retour

    Un sondage réalisé par l’IFOP pour l’Union des étudiants juifs de France, publié le 28 septembre dernier, a jeté une certaine consternation dans la presse et l’opinion. L’antisémitisme à l’égard des étudiants juifs serait de nouveau présent dans l’université sous la forme de préjugés, de blagues de mauvais goût mais aussi d’injures (pour 45 % des étudiants interrogés), d’agressions physiques ou verbales relatives à Israël (43 %), d’agressions physiques antisémites (7 %). On aurait pu penser qu’après l’effroi causé par la politique d’extermination menée par le national-socialisme, nos sociétés auraient été définitivement purgées de l’antisémitisme. Hélas, non.

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  • Pourquoi pas une guerre mondiale ?

    par Dmitry Orlov 

    Plus de 18 mois se sont écoulés depuis le lancement de l’opération militaire spéciale (OMS) de la Russie, dont les objectifs déclarés sont les suivants :

    • assurer la sécurité de la région du Donbass,
    • démilitariser et dé-nazifier l’Ukraine
    • et garantir son statut de neutralité à perpétuité.

    Depuis lors, l’Occident collectif a fait un certain nombre de choses pour aider la Russie et pour se nuire à lui-même. Les sanctions antirusses, par exemple, ont permis d’atteindre de nombreux objectifs : elles ont débusqué une grande partie de la «cinquième colonne» russe et l’ont poussée à quitter le pays ; elles ont incité de nombreuses entreprises occidentales à cesser leurs activités en Russie, en vendant leurs actions à des sociétés russes à des prix défiant toute concurrence ; le refus d’accès au réseau bancaire SWIFT et les attaques spéculatives contre la monnaie russe ont isolé la Russie de l’Occident sur le plan financier et ont mis un terme à l’expatriation des bénéfices et à diverses formes de fuite des capitaux, freinant l’inflation dans la plupart des secteurs (à l’exception des véhicules de tourisme) ; et les bouleversements considérables que les sanctions, ainsi que la destruction du gazoduc Nord Stream ordonnée par Biden, ont provoqués sur les marchés mondiaux de l’énergie, ont fait grimper les recettes d’exportation de la Russie dans une mesure tout à fait embarrassante.

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