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Un rassemblement d’une quarantaine de parents d’élèves et d’enseignants a été organisé le 30 novembre devant le collège Rosa Parks de Nantes. Le conseil départemental de Loire-Atlantique fait une croix sur trois établissements nantais défavorisés dans l’espoir d’améliorer la mixité sociale des écoles du centre-ville. Une opération qui inquiète […]
Alors que depuis deux ans, les libres penseurs essayent de faire interdire les crèches dans l’espace public, il convient de rappeler que ce sont les mêmes, par leur intolérance, qui ont permis la naissance de la tradition d’installer un crèche dans le foyer de chaque provençal durant la période de Noël.
L’origine de la crèche provençale nous vient d'Italie, du village de Greccio, située dans la province de Rieti. En effet, dès le XIIème siècle, dans les églises italiennes, on représentait la scène de la Nativité avec des sculptures mobiles, non fixées au sol. Cette tradition du culte catholique ne tarda pas à franchir les Alpes et à venir en Provence. La crèche était alors collective et installée dans une des chapelles de l’église paroissiale. La tradition voulait que chaque année, la crèche soit mise en place peu avant Noël pour n’être défaite qu’au début février, à la Chandeleur. Cet art populaire fera naître les Pastorales, représentations théâtrales de la Nativité.
Un élève de quatrième au collège Marguerite-Duras de Libourne (Gironde) a menacé d’égorgement son professeur durant un cours, relate Sud-Ouest.
Les faits se sont produits vendredi 1er décembre, en plein cours d’histoire-géographie. « Tu fais trop le mac, je vais t’égorger », a lancé l’élève, à deux reprises, au collège Marguerite-Duras de Libourne.
Un expert de l’élevage canin me disait un jour : « Quand un chien aboie furieusement jusqu’à mordre, c’est le plus souvent le maître qui est responsable. »
La saillie du garde des sceaux, mardi à l’Assemblée n’est-elle pas révélatrice de la panique qui s’empare aujourd’hui du patron de l’Élysée, devant la montée de la grogne de la France périphérique face à l’insécurité qui se répand dans tout le pays, fruit d’une obsession immigrationiste, et d’un échec des procédures d’intégration ?