par Alexandre Lemoine
L’Union européenne n’a pas renoncé à l’idée de mettre fin prématurément à la présidence de la Hongrie au sein de la communauté.
Un vote ouvert sur la question de la destitution de Viktor Orban de la présidence du Conseil de l’UE obligerait Bruxelles à reconnaître la division au sein de l’union. Il faut s’attendre à ce que les pays membres de l’Union européenne commencent à fouiller dans le «linge sale» de la politique nationale hongroise, cherchant un prétexte pour imposer des sanctions contre Budapest. Auparavant, le ministre polonais des Affaires étrangères, Radoslaw Sikorski, avait déclaré que l’UE avait trouvé des «idées créatives» contre la Hongrie.