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  • Moratoire sur les éoliennes : les sénateurs disent non

    @Pexels / Jem Sanchez
    @Pexels / Jem Sanchez
    Mardi 1er juillet, la commission des affaires économiques du Sénat a adopté une nouvelle version du texte de la proposition de loi portant programmation nationale pour l'énergie et le climat pour les années 2025 à 2035 (PPE 3), dite « loi Gremillet ». Avant son retour au Sénat le 8 juillet puis à l’Assemblée nationale, cette étape de mi-parcours en commission a confirmé une reprise en main du dossier éolien par une coalition pro énergies intermittentes où se liguent, d’une part, de purs idéologues et, de l’autre, des soutiens des industriels du secteur.

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  • Les États-Unis ont complètement arrêté les livraisons d'armes à l'Ukraine, écrit The Economist.

    Déchargement d'obusiers M777 destinés aux forces armées ukrainiennes depuis un C-17 Globemaster III de l'US Air Force - RIA Novosti, 1920, 03.07.2025

    MOSCOU, 3 juillet — RIA Novosti. Les responsables ukrainiens ont déclaré que toutes les livraisons d'armes américaines ont effectivement cessé, écrit le magazine The Economist .
    « Pratiquement tous les approvisionnements en armes américaines, y compris les obus et les pièces détachées, ont été interrompus, mais les responsables américains le nient », indique l'article.

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  • « Budget 2026, ne plus augmenter personne au lieu de diminuer tout le monde ! ». L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Ce à quoi vous assistez est un grand classique de la politique gouvernementale partout dans le monde mais qui a été érigé au rang d’art par nos mamamouchis en France.

    Le ballon d’essai.

    Le ballon d’essai consiste à avancer une mesure dans la presse.

    C’est soit une « confidence », soit un ministre qui parle et évoque une « piste », ou exprime ce qu’il faudrait sans doute faire.

    Puis on attend et on compte les hurlements.

    Vous connaissez l’applaudimètre ?

    Et bien le ballon d’essai c’est l’inverse.

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  • Lorient (56) : Faouzi Ben Jamaa, 54 ans, agresse sexuellement une fille de 19 ans qui attend sa mère à la gare. « J’étais tétanisée… ». Douze mois ferme

    Le 4 mai 2025, aux alentours de 23 h, la victime sort de la gare de Lorient. En attendant sa mère, la jeune fille de 19 ans décide de s’asseoir sur les marches de la médiathèque, place François-Mitterrand, pour patienter. Lorsqu’elle demande une cigarette à un passant, ce dernier s’agenouille devant elle. Il pose sa main sur sa cuisse et engage la conversation. La jeune fille est mal à l’aise. Une première fois, elle fait en sorte d’écourter la conversation, mais le quinquagénaire revient quelques minutes plus tard. Cette fois, il s’assied à ses côtés. C’est à ce moment qu’il aurait placé sa main sur sa cuisse avant de remonter sous sa jupe pour lui toucher le sexe, tout en plaçant son autre main sur sa poitrine, à même la peau. (…)

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  • Comme dans un sketch, Larcher se découvre de droite…

    Nous ne sommes pas Macronistes a lancé Larcher au Conseil National des républicains, devant des militants candides et soudainement euphoriques qui n’attendaient que ça pour scander un pathétique : « on est de droite ! » Soulagés de savoir où ils étaient tant les postures de ce parti sont, vue de l’extérieure, pourtant évidentes. Mais pour les jeunes rien n’allait de soi et c’est dans une ambiance d’anniversaire d’adolescents immatures qu’ils se sont réveillés, pour agiter des drapeaux, démontrant leurs incapacités chroniques à penser par eux-mêmes et à analyser les faits. À quoi bon penser, puisque le fossile Larcher le fait pour eux. Donc ils sont de droite, ce n’est pas flagrant, mais surtout ils ne sont pas macronistes… mais ils le protègent en ne votant aucune motion de censure, en écartant la destitution, en fermant les yeux sur les écarts, les insultes, les trahisons successives du chef de l’État. Pire ils participent à ses gouvernements en prétextant que c’est pour infléchir la politique du président. Mais les faits sont têtus, ils sont obligés de suivre le programme de Macron, et par conséquent de le soutenir. Il ne suffira pas de clamer haut et fort qu’ils ne sont pas dans son camp pour le prouver, et la seule façon de le faire serait de s’opposer !

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