
« 38 000 euros de dégâts »
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
« 38 000 euros de dégâts »
Pour lire ce texte, cliquez ici.
Maurice Bernard
Avant d’entrer dans le vif du sujet, il est nécessaire de rappeler le contexte : il y a douze jours, à Paris, les deux autrices du livre Transmania, Marguerite Stern et Dora Moutot, étaient conviées à une séance de dédicaces de leur ouvrage. Une soixantaine de nervis d’extrême gauche (qui se présentent comme des activistes trans) ont alors décidé d’opérer ce qu’ils considèrent comme une "action d’autodéfense". Mais pour une fois, la police les a interceptés avant leur descente et les a placés en garde à vue…
Un char ukrainien Abrams touché par une artillerie guidée de précision début mai
L'Australie s'est engagée à livrer 49 chars M1A1 Abrams retirés du service à l'armée ukrainienne, reconstituant ainsi la flotte après qu'une force fournie par les États-Unis de 31 des véhicules livrés à partir de septembre 2023 ait subi des pertes extrêmes. Le ministre de l'Industrie de la Défense, Pat Conroy, a annoncé lors d'une réunion des ministres de la Défense de l'OTAN à Bruxelles concernant la livraison : « Ces chars offriront plus de puissance de feu et de mobilité aux forces armées ukrainiennes, et complèteront le soutien fourni par nos partenaires aux brigades blindées ukrainiennes - l'Australie a été inébranlable dans son soutien à l'Ukraine. »
« Un homme maléfique brûlera sa propre nation pour régner sur les cendres » (Sun Tzu).
Les pertes ukrainiennes atteignent 1,8 million, dont 780 000 tués.
En 2022, ils ont tous cru terrasser l’Ours russe en menant une guerre fraîche et joyeuse. Mais rien ne s’est passé comme prévu. Et après 30 mois d’échecs et de désastres en tous genres, certains fous furieux, comme Macron, en redemandent.
A ce chiffre monstrueux, il faut ajouter sans doute deux ou trois millions de veuves et d’orphelins, tous innocents, victimes du machiavélisme occidental. Dès février 2022, Moscou et Kiev étaient prêts à négocier, mais pas l’Amérique, ni le Royaume-Uni.
Il y a quelques jours Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, déclenchait une polémique par ses propos sur l’état de droit en disant:
« L’état de droit, ça n’est pas intangible ni sacré. C’est un ensemble de règles, une hiérarchie des normes, un contrôle juridictionnel, une séparation des pouvoirs. Mais la source de l’état de droit, c’est la démocratie, c’est le peuple souverain. »
L’Élysée, le Sénat et l’Assemblée Nationale, renoncent à leur dotation budgétaire supplémentaire, tout en avançant qu’ils entendent montrer l’exemple. De qui se moque-t-on encore une fois ? Après avoir tenté ce nouveau hold-up et face au tollé engendré par cette indécence, initié entre autres par le RPF, les voilà qui reculent. Mais ce rétropédalage n’a rien à voir avec une volonté d’exemplarité. Si ce sentiment avait dû les habiter, non seulement ils n’auraient pas essayé de soutirer plus d’argent, mais ils auraient même réduit leur train de vie. Devant la fronde provoquée par cette obscénité en pleine crise budgétaire, ils ont été obligés de battre en retraite.
16/10/24
Est-ce que cette affirmation du président du Rassemblement national est vraie et, si oui, combien cela coûte ? Selon les dires de Jordan Bardella, on pourrait croire que ces cas sont en très grande proportion. Or, selon nos informations, en 2023, 11.660 euros ont été consacrés à ces interventions pour les bénéficiaires de l’AME. Le ministère de la Santé, que nous avons contacté, précise qu’il s’agit d’interventions médicales et non chirurgicales.
par Andrei Martyanov
On me demande pourquoi j’insiste sur le fait que l’opération militaire spéciale est en fait une salve finale de la Seconde Guerre mondiale. Mon premier livre en parle largement sans l’énoncer ainsi. Mais avec l’approche du sommet des BRICS à Kazan et les nouveaux rapports qui affluent sur les atrocités commises par les «mercenaires» occidentaux et sur leurs (très faibles) qualités au combat, on commence à comprendre pourquoi ils haïssent la Russie. Cela explique également pourquoi ils ne peuvent pas perdre, c’est-à-dire conserver un certain degré de décence et d’honneur lorsqu’ils sont vaincus. Et ils ont été vaincus. Vient maintenant la question délicate de savoir dans quelle mesure, en fin de compte, les nazis ont influencé les États-Unis – beaucoup, mais nous le savions. La question, cependant, est plus vaste, elle est métaphysique. Au moment où l’Occident est vaincu et entre dans la phase d’«arrangement»…