La chronique de Philippe Randa
La menace de Donald Triump de faire sortir les États-Unis d’Amérique de l’OTAN avait « bouleversifié » la grande majorité des dirigeant de l’Union européenne. Comment osait-il ?
Comment ? On l’a vu !
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La chronique de Philippe Randa
La menace de Donald Triump de faire sortir les États-Unis d’Amérique de l’OTAN avait « bouleversifié » la grande majorité des dirigeant de l’Union européenne. Comment osait-il ?
Comment ? On l’a vu !
par Patrick Reymond
«La classe dirigeante européenne, ainsi qu’une majorité encore considérable de ses électeurs, vit depuis bien trop longtemps dans un pays imaginaire, et les récents résultats des élections en Allemagne montrent que le réveil n’est pas encore arrivé… Le continent poursuit son chemin, somnambule, vers un désastre économique majeur».
Michel Festivi
Aurore Bergé n’est absolument pas ma tasse de thé, très loin s’en faut. Elle est quasiment ministre depuis 2017, et gesticule beaucoup pour des résultats insignifiants voire invisibles, sinon nuisibles. Elle est l’archétype de cette macronie qui fait crouler la France et qui ne règle jamais les vrais problèmes et difficultés des français, comme l’immigration massive, débridée et illégale ; la violence et la délinquance généralisée exponentielle ; le pouvoir d’achat en berne ; l’indépendance énergétique de plus en plus menacée ; l’industrie à la ramasse ; l’agriculture croulant sous des normes débiles ; sans compter des milliards d’euros jetés par les fenêtres pour l’Afrique, l’Ukraine, les migrants, la culture woke, les transgenres, l’Union européenne, argent qui manque tant aux français qui travaillent et qui souffrent. Elle a participé avec d’autres, à toutes les atteintes à nos libertés et semble payer pour faire tout et n’importe quoi, comme s’attaquer aux salons de massages parisiens, qui seraient, selon elle, des maisons de tolérance ! La belle affaire, il est vrai que la France n’a pas d’autres priorités existentielles à régler !
L’autoroute A69 Toulouse-Castres, un tronçon en chantier de 53 km, vient de faire l’objet d’une décision du tribunal administratif de Toulouse qui contraint les entreprises à arrêter du jour au lendemain les travaux en cours. Des travaux qui étaient pourtant très avancés puisque l’ouverture de l’ouvrage était prévue pour la fin de l’année.
Une décision néfaste
Cette décision irresponsable prise au nom de la biodiversité est une catastrophe pour les habitants de la région concernée dont une majorité d’entre eux souhaitaient pouvoir bénéficier du désenclavement que leur aurait apporté cette nouvelle voie.
Depuis une semaine, l’antifa Anton Burel, membre d’un obscur groupuscule breton d’extrême-gauche était un héros ! Le 22 février à Cintré, commune où il est élu, Anton Burel « aurait subi une agression raciste » à la sortie d’un débit de boisson « Le Synchro Bar » où il se trouvait. Selon lui, il se serait opposé à des individus « faisant des saluts nazis » et des « chants racistes ». Son histoire a fait le tour du web, de Libération au Huffington Post et toute la garde et l’arrière-garde du mouvement breton lui apportait son soutien sur les réseaux sociaux avec de vibrants hommages à un tel courage redoublant, au passage, d’appel à la « vigilance face au péril fasciste ».
Il ne fallait pas être grand clerc pour deviner que la large victoire de la CDU en Allemagne ne serait pas une bonne nouvelle pour la France. Présenté à la fois comme un atlantiste et un grand européen, le futur chancelier Friedrich Merz n’a pas attendu longtemps pour abattre son jeu : profiter d’un vacillement dans les relations entre l’Europe et les États-Unis pour lorgner sur les armes nucléaires britannique et française en vue de les « partager ». Si le chancelier n’est pas sans savoir que l’arme britannique est à la main des États-Unis, en revanche, il compte bien profiter des lubies de « souveraineté européenne » de Macron qui a déjà plusieurs fois émis l’idée d’un tel partage, et répondu aussitôt favorablement au futur chancelier outre-Rhin qui, en bon nationaliste allemand, cherche à retrouver la suprématie en Europe.
Monsieur Bruno Retailleau est en place depuis quelques mois et a semblé, pour certains patriotes, être un espoir.
Qu’en est-il en réalité ?
L’homme ne mâche pas ses mots certes, mais je me souviens d’un Nicolas Sarkozy qui n’était pas le dernier à dire et se vanter que la France allait, avec lui, retrouver sa dignité, sa sécurité, l’ordre et la justice. On sait ce qu’il en est advenu. Courbette envers la gauche, compromissions et ministres socialistes dans ses gouvernements. Sans compter la trahison du référendum de 2005 !
C’est notre grand mamamouchi Stéphane Séjourné, seul dyslexique souffrant d’un trouble oral de cette maladie qui ne touche que l’écrit, mais c’est un autre sujet, s’est vu affublé d’un titre sacrément ronflant.
Monsieur Séjourné est Vice-président exécutif à la Prospérité et la Stratégie Industrielle !
Hahahahahahahahaha…. Dans cette Union Européenne devenue aussi dystopique qu’Orwellienne, nous sommes en pleine inversion des mots. Par exemple la paix c’est la guerre. Ou l’absence de gaz c’est trop d’énergie. Ou pour être vraiment libre il faut réduire la liberté de parole. Alors quand on nomme un Vice-président exécutif à la Prospérité et la Stratégie Industrielle, c’est que plutôt que de la prospérité, car tout le monde sait bien n’est-ce pas que l’Europe c’est la paix et la prospérité, et bien vous aurez plutôt de la misère… et aucune stratégie industrielle puisque l’Union Européenne détruit consciencieusement toutes nos capacités industrielles depuis 30 ans en accélérant depuis 10 ans.
Thomas Joly, président du Parti de la France
Depuis trois ans, les chancelleries occidentales et leurs médias aux ordres répètent inlassablement le même mantra : si la Russie n’est pas arrêtée en Ukraine, elle envahira l’Europe. Ce narratif, digne d’une propagande de guerre, n’a qu’un objectif : justifier la poursuite d’un conflit absurde qui ravage l’Ukraine et angoisser les peuples européens. Pourtant, un examen sérieux des faits et de l’Histoire démontre que cette thèse relève du fantasme pur et simple.