
Dans son mépris débridé à l’égard des Français, le pouvoir précipite sa chute. Les rejets que suscitent Emmanuel Macron et François Bayrou dans l’opinion sont proportionnels à leurs agressions gratuites contre la population. Lundi, dans sa prestation crépusculaire sur les quatre chaines d’information, le premier ministre a désigné les Français comme responsables de la dette publique faramineuse accumulée depuis 1974 par tous les dirigeants successifs. Il a accusé les citoyens d’avoir « demandé » et « dépensé » l’argent distribué, tout en justifiant la politique irréfléchie du « quoi qu’il en coûte » du chef de l’Etat. A lui seul, Macron a creusé la dette de 1300 milliards d’euros supplémentaires. Pour sa part, Macron n’a de cesse depuis son premier mandat de vouloir faire la guerre au populisme, qu’il assimile à l’extrême droite.







