Après avoir pris connaissance de l’affaire qui voit notre collègue Yann Vallerie faire face à une poignée de harpies n’ayant rien d’autre à foutre dans la vie que d’essayer de l’empêcher de retourner à son poste de pompier volontaire pour divergence d’opinions politiques, je tombais sur une autre nouvelle.
Celle d’une attachée de presse du nom de Guilaine Depis écartée d’un événement littéraire que son entreprise couvrait depuis plusieurs années, au seul prétexte qu’elle avait soutenu Sylvain Tesson face à la ridicule cabale de minables qui entendaient interdire son parrainage au Printemps des Poètes 2024, au motif qu’il serait, selon eux, « une icône réactionnaire ».