
Voici la Une de l’hebdomadaire américain “The New Yorker” pour présenter les Jeux olympiques :
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Voici la Une de l’hebdomadaire américain “The New Yorker” pour présenter les Jeux olympiques :
Qui est J. D. Vance, le sénateur de l’Ohio choisi par Donald Trump pour être son vice-président lors de la campagne présidentielle de 2024 ? Cet intellectuel entré en politique sur le tard cristallise des réactions opposées. Surtout connu pour son essai à succès « Hillbilly Elegy », la presse de gauche voit en lui une personnalité politique incompatible avec la démocratie. L’universitaire française Maya Kandel, spécialiste des États-Unis à la Sorbonne Nouvelle, une faculté résolument située à gauche, range J. D. Vance parmi les « stratèges de la colère » développant « une rhétorique apocalyptique et fascisante ». De son côté, l’« alt-right » (par l’entremise de Nick Fuentes et consorts) a également réagi, toujours avec hostilité, sur les réseaux sociaux, reprochant à Vance tantôt son soutien à Israël, tantôt l’origine indienne de son épouse, pourtant diplômée de Yale et de Cambridge, avocate issue de la riche caste Kamma qui domine l’État de l’Andhra Pradesh, dans le sud de l’Inde, arguant qu’il ne serait pas assez dur sur l’immigration. Alors, qui est-il vraiment ?
Après sa déclaration de guerre aux français et sa déroute aux législatives provoquées par lui, Macron garde la main sur l’Assemblée nationale grâce à un coup d’État institutionnel.
Plus il échoue, plus il réussit. Le souverain faussement dialectique du « en même temps » mène le bateau alors que ni l’équipage ni les passagers ne veulent plus de lui. Sauf que pas tout à fait. Les passagers des suites royales tiennent à le garder afin qu’ils puissent continuer à abuser sans vergogne des manants situés entre le pont principal et les soutes inférieures, autrement dit le reste des passagers.
Lu sur le blog d’Yves Daoudal :
Le grand fabricant américain de machines agricoles John Deere (les tracteurs verts) était à la pointe du militantisme « diversité, équité inclusion » (DEI), à savoir la morale woke-LGBT obligatoire. Mais l’entreprise est allée trop loin, jusqu’à soutenir une course LGBT pour enfants (Little Rainbow Run) lors de la gay pride de l’Iowa. C’est la paille qui a cassé le dos du chameau, comme on dit là-bas. Les critiques se faisaient de plus en plus insistantes, là ce fut le tollé. Un animateur demanda si John Deere utilisait l’argent des paysans « pour financer les transitions des enfants »…
Pendant les élections législatives et après celles-ci, la question ouvrière est passée presque inaperçue, alors même que nombre d’entreprises annonçaient fermetures d’usines en France et délocalisations, y compris de marques emblématiques…
Poulain et Saupiquet, deux noms de marques qui résonnent encore dans les mémoires françaises des générations des Trente Glorieuses, et qui sont éminemment symboliques d’une France traditionnelle alors en voie de modernisation : et pourtant ! Aujourd’hui, ces deux marques emblématiques sont en voie de disparition, condamnées à la fermeture par des directions de groupe qui pensent « international » avant « social », et espèrent dégager plus de profit immédiat pour leurs actionnaires, au détriment, donc, des salariés considérés, en définitive, comme une simple variable d’ajustement : la profitabilité (1) prévaut sur toute autre considération et, il faut le répéter, ce n’est ni bon ni juste.
L‘affaire commence le 1er mai 2024. À Brest et Landerneau (29), deux magasins des enseignes Happycash et Easycash sont victimes de cambriolages pendant la nuit. Les voleurs, cagoulés et gantés, fracturent l’accès aux commerces, occasionnent de nombreux dommages matériels et ressortent avec du matériel multimédia.
Ces deux vols visant ces enseignes spécialisées dans l‘occasion s’inscrivent dans une série de cambriolages commis partout en France. À chaque fois, plusieurs dizaines de milliers d’euros de marchandises sont dérobées.
Un Z’élu ?
Un mamamouchi. Petit ou grand, ils partagent les mêmes défauts.
Bien souvent un z’élu n’est pas très futé. Les gens brillants fuient la politique depuis bien longtemps. Il ne reste que les médiocres, les ambitieux, les autoritaires, ceux en manque de pouvoirs et de façon générale bien souvent des gens avec des névroses plus prononcées que la moyenne.
Comme chaque année en juillet, le mouvement identitaire autrichien a organisé une manifestation pour demander la remigration. L’évènement réunit l’ensemble du mouvement identitaire européen : Pays-Bas, Bretagne, Italie, Allemagne, France, Espagne, Roumanie entre autres. La manifestation a eu lieu le 20 juillet cette année. A cette occasion, nous avons interrogé Martin Sellner.
Michel Festivi
Je l’écris souvent, l’histoire politique de la France recèle des permanences par-delà les décades écoulées, et ce malgré des changements sociaux, économiques ou comportementaux.
Nous l’avons encore vécu, lors de ce frauduleux deuxième tour des élections législatives du 7 juillet dernier. La large victoire en voix du RN et de ses alliés, lui a été volée au niveau des sièges, certes à cause d’un système électoral totalement inique, le seul en Europe, faut-il le souligner, mais surtout et avant tout par les trahisons des droites molles, des centristes, des conservateurs de façade, qui ont proclamé reporter leurs suffrages, sur les pires des révolutionnaires, des classés S, des islamistes patentés, des antisémites notoires. Peu importe si leurs appels faisaient triompher les partisans de la tabula rasa. Il importait de tout faire, tout entreprendre pour jeter aux gémonies les tenants de l’ordre, de l’autorité, de la nation, selon un triptyque mit en vigueur aussi dans les années 1930.
C’est dans les zones arides que ce verdissement mondial est le plus visible et qu’il a le plus d’impact sur les écosystèmes et la vie des populations qui en dépendent.
Une évaluation réalisée en 2020 par Evans et Arden Burrell, chercheur en télédétection au Woodwell Climate Research Center de Falmouth, dans le Massachusetts, a révélé qu’environ 6% des zones arides avaient connu une désertification depuis 1982, soit seulement un quart des estimations précédentes basées sur les conditions météorologiques. Ces zones comprenaient une grande partie du sud-ouest des États-Unis, le nord-est du Brésil, sujet à la sécheresse, et certaines régions d’Asie centrale.