Dans cette capsule, Eric Verhaeghe rappelle que la crise agricole survient essentiellement du fait de la politique de sanction contre le gaz russe, qui fait flamber le prix des intrants agricoles de plus de 50 % et étrangle les agriculteurs. Mais, visiblement, ni Emmanuel Macron ni Jordan Bardella n'ont envie d'en parler.
actualité - Page 445
-
Pourquoi Macron et Bardella baladent les Français sur la crise agricole
-
Macron, un dangereux “va t’en guerre” en Ukraine qui nous met en danger et nous ridiculise
Armons-nous et partez : le ridicule et la folle prétention d’un président start-up !
Le lundi 26 février 2024 au soir, lors de la conférence de soutien à l’Ukraine, le Président Macron a déclaré : « Il n’y a pas de consensus aujourd’hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu » à la suite des derniers succès russes sur la ligne de front, notamment la prise de la ville Avdeevka aux forces ukrainiennes.
-
Macron totalement humilié
-
Le salon de l’agriculture, un emblème illusoire et politisé (Pour le Figaro Vox)
Chaque année, le salon de l’agriculture s’impose comme une manifestation populaire où se pressent des familles de tout milieu mais aussi un événement politique majeur, notamment à la veille d’élections. Le déplacement ultra médiatisé du chef de l’Etat à la porte de Versailles a pris, à chaque mois de février, une dimension rituelle. L’image d’Epinal de Jacques Chirac, le « président sympathique », flattant le « cul des vaches » et partageant avec des paysans une assiette de charcuterie et un verre de vin rouge, reste gravée dans la mémoire des Français. Le temps de présence consacré au salon de l’agriculture est perçu par les responsables politiques comme un levier des sondages de popularité.
-
« Wallah t’es mort ! » : des policiers du Mans (72) menacés par un homme ivre, déjà connu de la justice, qui lors de la GAV… a étalé ses excréments dans sa cellule ; relaxé pour les violences, il a écopé de 4 mois de sursis
Il est 1 h 20, dans la nuit du 19 au 20 février 2024, quand la police intervient avenue du Général Leclerc au Mans : une scène de violences réciproques a été signalée entre un homme et une femme manifestement alcoolisés.
Les forces de l’ordre trouvent bien un couple en état d’ivresse et la femme s’en prend verbalement à eux. L’homme a, semble-t-il, reçu des coups de sa compagne.
Les policiers essaient de calmer la femme mais celle-ci refuse. Son compagnon s’en prend aux policiers, à son tour. L’homme saisit alors la ceinture d’un manteau et fait comme s’il allait la passer autour du cou d’un policier (…)
Lien permanent Catégories : actualité, immigration, insécurité, islamisme, magouille et compagnie 0 commentaire -
Manif de Dol… Il serait peut-être temps d’arrêter les bêtises…
Bernard Germain
Samedi 24 février 2024, Reconquête appelait à une manifestation contre l’installation d’un centre d’accueil pour mineurs non accompagnés (MNA) à Dol de Bretagne (35).
Grosse émotion des immigrationnistes sur place. Le discours des pro-migrants est des plus simples : « On ne va pas les laisser refaire un nouveau Callac ».
Refaire un nouveau Callac ?
Malheureusement, il n’y a aucun risque que cela arrive car depuis notre succès à Callac contre la mise en œuvre du projet Horizon, le duo Nicolas Bay (secrétaire général) – Damien Rieu (animateur des réseaux sociaux) n’a eu qu’une préoccupation : dénoncer la manière dont nous avons mené le combat et gagné à Callac.
-
La France comprend-elle bien ce qui va lui arriver ?
par Boris Guenadevitch Karpov
L’ancien président Dmitri Medvedev ne s’y est pas trompé quand, tout début janvier dernier il avait déclaré que la France était un ennemi hier, et est un ennemi aujourd’hui. Ses déclarations avaient déclenché un tollé chez les Français qui déclarent soutenir la Russie, mais force est de constater aujourd’hui que l’analyse de Medvedev est confortée par les récentes actions de Macron qui, rappelons-le, a été élu puis réélu alors qu’il avait déjà décidé de soutenir la Russie. Macron est donc le président légal et légitime de la France et les Français qui ne partagent pas ses opinions seront bien obligés, par le jeu de la «démocratie», de les assumer.
Il y a quelques jours Macron a décidé d’envoyer plusieurs centaines de missiles à longue portée, parfaits pour frapper la Russie en profondeur. La France avait déjà justifié le bombardement de civils par l’Ukraine à Belgorod (25 morts), elle pourra donc justifier les victimes civiles de nos villes en Russie.
-
De crise en crise, de provocation en provocation, le chaos permanent est-il voulu et recherché et si oui, pourquoi?
« Il a fallu faire un choix et l’Elysée n’a pas tardé à faire celui de la FNSEA. Face à l’invitation des Soulèvements de la Terre au grand débat organisé au Salon de l’agriculture en présence d’Emmanuel Macron, le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, avait refusé d’y participer. Difficile d’organiser ces discussions sans le syndicat agricole majoritaire en peine crise des agriculteurs et sur leur propre terrain. La présidence est alors revenue sur sa décision et a finalement décidé de ne plus convier les Soulèvements de la Terre à l’événement. Retour sur un rétropédalage diplomatique. » Organiser un nouveau « grand débat » au salon de l’agriculture en y invitant Soulèvement de la terre était, de toute évidence, le moyen le plus sûr de remettre le feu aux poudres.
-
J.D. Vance (sénateur Républicain de l’Ohio) : « J’aimerais que les élites européennes écoutent leurs citoyens pour une fois »
Lors du récent sommet de Munich sur la sécurité, le sénateur américain J.D. Vance, un républicain de l’Ohio en poste depuis un an, était la mouffette de la garden-party. Vance, un allié de Trump, est depuis longtemps un sceptique déclaré de l’implication américaine dans la guerre entre la Russie et l’Ukraine, et il a irrité ses collègues du GOP du Sénat les plus établis pour sa critique pénétrante de la conduite de Washington dans cette guerre par procuration.
Pourtant, sa critique fait son chemin. Politico, la voix du courant dominant de Washington, a admis cette semaine que “J.D. Vance n’a pas tort” lorsqu’il affirme que les États-Unis ne peuvent pas produire de munitions et d’armes pour continuer à soutenir l’Ukraine. Immédiatement après la conférence de Munich, le Financial Times a publié une tribune sévère de M. Vance appelant les Européens à assumer une plus grande part du fardeau de leur propre défense. M. Vance a notamment écrit : “Nous devons à nos partenaires européens d’assumer une plus grande part du fardeau de leur défense : Nous devons à nos partenaires européens d’être honnêtes : les Américains veulent des alliés en Europe, pas des États clients, et notre générosité à l’égard de l’Ukraine touche à sa fin. Les Européens doivent considérer la fin de la guerre en Ukraine comme un impératif. Ils doivent continuer à reconstruire leurs capacités industrielles et militaires. Et l’Europe devrait réfléchir à la manière dont elle va vivre avec la Russie lorsque la guerre en Ukraine sera terminée”
-
Deux ans après le début de l’opération militaire spéciale, l’Occident est totalement paralysé
Le 24 février 2022 a été le jour qui a changé à jamais la géopolitique du XXIe siècle.
Il y a exactement deux ans ce samedi, le 24 février 2022, Vladimir Poutine a annoncé le lancement – et décrit les objectifs – d’une opération militaire spéciale (OMS) en Ukraine. C’était la suite inévitable de ce qui s’était passé trois jours auparavant, le 21 février – exactement 8 ans après le Maïdan de 2014 à Kiev – lorsque Poutine a officiellement reconnu les républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk.