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Espagne – Une Allemande de 18 ans a affirmé qu’un certain nombre d’hommes l’avaient violée dans une chambre d’hôtel sous les yeux d’autres personnes.
Cinq hommes ont été placés en détention provisoire. Un tribunal de l’île espagnole de Majorque a rejeté samedi une demande de libération sous caution de cinq touristes allemands (“tous issus de l’immigration”, précise BILD) accusés d’avoir violé collectivement une jeune femme de 18 ans.
« Donc, c’est une Américaine tout droit venue du département de la Justice américaine qui devient la chef de la Concurrence européenne, en pleine guerre économique avec Washington ? Et tout le monde trouve ça normal ? » Tout le monde ? Sans doute pas ! Ce tweet a été lancé par Julien Aubert, ancien député LR de Vaucluse et président de Oser la France. On attend avec impatience la réaction de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances de la région France au sein de l’Union européenne, et, bien évidemment, d’Emmanuel Macron qui, on le sait, n'a qu’un mot à la bouche : « Souveraineté ». À condition qu’elle soit européenne, ça va sans dire.
Cette saillie, comme vous dites, rappelle les propos du ministre de l’Intérieur après les incidents du Stade de France lors du match Liverpool-Real Madrid. Kevin et Matteo sont les dignes successeurs des supporteurs anglais, et nous sommes, une fois encore, transportés dans une réalité parallèle. Avec ces deux prénoms, en outre, Gérald Darmanin signe, sans même s’en apercevoir, l’acte de décès de la France de Claude Sautet. Ce ne sont plus Vincent, François, Paul, Pierre ou Jacques qui viennent spontanément à l’idée. Entre islamisation et mondialisation, notre société saute à pieds joints dans l’ère postnationale.
Souvenez-vous de Callac, cette petite commune tranquille de centre-Bretagne qui avait été choisi par une obscure association parisienne pour « accueillir » des plus d’une centaine de migrants extra-européens… La mobilisation générale qui a eu lieu pour contrer ce projet inique a été victorieuse et les migrants n’ont finalement pas été amenés dans cette paisible bourgade bretonne. Et bien, aussi improbable que ça puisse paraître à première vue, ce sont des trotskystes qui ont grandement participé à la victoire de Callac ! Entre témoignage que la transgression politique est possible et transfert de technologie militante, Pierre Cassen et Bernard Germain ont bien des choses à nous dire. Polémia
Pierre Cassen et Bernard Germain ont respectivement appartenu à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) et à l’Organisation communiste internationaliste (OCI). Leur livre Transgression – Voyages du camp du « bien »… vers le camp du « mal » (Éditions Synthèse nationale, 224 pages, 22 euros) retrace leurs parcours et explique les raisons qui les ont amenés à rallier le camp national et identitaire. Le premier a ainsi fondé le site Riposte laïque en 2007 et le second a rejoint le mouvement Reconquête ! en 2021.
C'est un bouleversement loin d'être anodin, qui semble valider la stratégie de respectabilité du Rassemblement national. Vous vous souvenez, on s'était amusé, dans les médias, de voir ces députés cravatés, qui arrivaient à l'heure et faisaient leur travail. On disait d'eux que c'étaient des Playmobil, oubliant pour la circonstance la présence d'une centaine de clones sur les bancs de Renaissance, que leurs invariables costumes étroits et leur air uniformément prétentieux ne permettaient pas de distinguer les uns des autres. Côté RN, ce n'était pas HEC et la rive gauche, c'était plutôt la France périphérique et la bourgeoisie conservatrice. C'est peut-être pour ça qu'on ne les aimait pas. Le RN a décidé de ne pas « se faire plaisir » et de se concentrer sur l'exercice du pouvoir (législatif, tout du moins). Cette ligne défendue par le brillant Renaud Labaye, le Père Joseph de Marine Le Pen, a fini par payer : le RN est désormais pleinement ancré, y compris au sein de l'Assemblée nationale, dans le paysage politique.
L’avocat Marc Amblard a vu Sound of freedom. Il raconte dans Les 4 Vérités :
[…] Rappelons que le film décrit le combat de l’agent américain Tim Ballard contre le commerce d’enfants. Notamment son enquête pour retrouver une fillette enlevée par des trafiquants colombiens.
Évidemment, son cas est loin d’être isolé puisque la traite d’êtres humains représenterait un chiffre d’affaires annuel proche de 150 milliards de dollars. Ahurissant. On évoque également une augmentation de 5000 % de la pornographie enfantine, au cours de l’année dernière, expliquant en partie la demande croissante d’enfants à vendre.
«L’État permanent n’a pas le courage de prendre des décisions difficiles, de dire à Moscou : «Laissons ce malheureux épisode (l’Ukraine) derrière nous. Sortez ces projets de traités que vous avez rédigés en décembre 2021, et voyons comment nous pouvons travailler ensemble pour redonner à l’Europe un peu de fonctionnalité». (Alastair Crooke)
Quand on nie ce qui est évident, on est en guerre contre la réalité, et cela ne finit jamais bien. Telle est l’issue ultime de la mésaventure de notre pays, qui dure depuis des années, dans la malhonnêteté la plus totale. Le Blob administratif américain ne s’est pas contenté de mentir sur tout ce qu’il fait, il a utilisé l’appareil gouvernemental à sa disposition pour détruire tout ce qu’il touche dans un effort hystérique terminal pour dissimuler ses méfaits – notamment ses crimes contre son propre peuple.
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a indiqué une fin de non recevoir aux représentants (non élus) de l’Union Européenne sur la volonté d’imposer des migrants à tous les pays de l’UE. Ci-dessous son discours complet :
Mesdames et Messieurs,
La Hongrie est un pays qui se trouve dans une situation particulière. La guerre fait rage chez notre voisin de l’Est, l’Ukraine, et la route des migrants la plus fréquentée traverse notre frontière méridionale. Aucun autre pays ne se trouve dans une situation aussi difficile. Nous ne protégeons pas seulement la Hongrie des immigrés clandestins, mais nous protégeons toute l’Europe, y compris l’Autriche. L’année dernière, 330 000 migrants illégaux ont été arrêtés tout au long des frontières de l’Europe, dont 270 000 à la frontière entre la Hongrie et la Serbie. J’imagine que vous ressentez le poids de ces chiffres. Si nous ne faisions pas ce que nous faisons, vous auriez de gros problèmes.