« Pilotage défaillant », « gestion chaotique », « manque d’anticipation » ou encore « lourdeurs bureaucratiques et administratives » : ceux qui, comme nous, s’attendaient à ce que la Commission d’enquête parlementaire de l’Assemblée sur la gestion de la crise du COVID-19 rende des conclusions particulièrement accablantes pour l’Etat n’auront pas été déçus du voyage. En effet, voté mercredi par tous les députés à l’exception – ô surprise ! – de ceux du MoDem et de LREM, le rapport de 200 pages présenté par le député LR Eric Ciotti, au terme de six mois d’investigations et de 53 auditions, a comme qui dirait un goût de vitriol amplement justifié.
anti-national - Page 115
-
Gestion de l’épidémie de COVID-19 : le rapport au vitriol de la Commission d’enquête
-
« Cela a quelque chose à apporter pour notre pays »: Emmanuel Macron veut permettre l’enseignement de l’arabe à l’école
Lors de son entretien pour le média Brut vendredi, le président de la République a déclaré vouloir permettre l’apprentissage de l’arabe « dans la République » dans un souci de lutte contre le séparatisme mais aussi de reconnaissance.« Ce que je veux faire, c’est pouvoir remettre l’enseignement de l’arabe: l’une des langues les plus parlées par ces jeunesses dans leur famille, pour éviter que ce soit détourné par d’autres mais aussi pour reconnaître cette part », a déclaré le chef de l’Etat, reconnaissant que la République « leur offre peu d’enseignements en arabe ».« On a en quelque sorte refoulé les langues étrangères de celles et ceux issus d’autres pays ou qui appartenaient à des diasporas, c’est vraiment un processus de refoulement », a poursuivi Emmanuel Macron, qui note que cet enseignement s’effectue désormais par des associations qui « sont souvent le lieu – ce n’est pas toujours le cas – de celles et ceux qui vont en même temps leur expliquer un projet séparatiste pour les détourner de la République ».
(…) BFMTV
-
LOI POUR LA SÉCURITÉ GLOBALE : VERS UN ÉTAT POLICIER ?
-
Les « emmerdes » volent en escadrilles …
Ô surprise, le gouvernement découvre que les « emmerdes » volent en escadrilles. Il est vrai que la vie politique n’a jamais été un long fleuve tranquille et ne le sera jamais.
Néanmoins, il y a une grande différence entre des événements fortuits qui tracassent le politique, l’interpellent et l’alarment en survenant de manière inopinée et ceux qui s’inscrivent dans la logique de l’action gouvernementale et en sont les conséquences directes.
-
La place des migrants dans la République ? Toute la place !
Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias ♦ Les réactions médiatico-politiques au démantèlement d’un campement sauvage de migrants, place de la République à Paris, le prouvent : ce gouvernement ne fera jamais rien contre l’immigration, serait-elle clandestine.
Succès d’une embuscade
Un piège médiatique a été tendu. Il a fonctionné. Des organisations immigrationistes et gauchistes ont rameuté des centaines de clandestins pour occuper la place de la république. Tout ce monde est arrivé pour s’engouffrer dans des tentes standardisées et bien alignées. Il ne leur reste plus qu’à attendre, mais pas seuls. Bien sûr, la presse a été convoquée et rameutée, dont certains militants avec carte de journaliste. Ces derniers seront les premiers à dénoncer, comme par hasard, des brutalités policières. Dans les rares images diffusées, toujours les mêmes, on voit que ceux qui s’affrontent aux policiers ne sont pas des migrants mais des militants des droits de l’homme — étranger. Il y a aussi des élus qui en font des tonnes, se drapent dans leur dignité bousculée, alors qu’ils ne devraient pas être auprès de gens qui sont dans l’illégalité vis-à-vis de cette république qu’ils prétendent incarner.
-
Celui qui désarma la France
Par Benoît Busonier
Personnene lui enlèvera une chose : il a été un précurseur. Lorsqu’il est élu présidentà 48 ans en 1974, il est une incarnation quasiment parfaite de la génération qui aura la vie la plus facile de l’histoire de l’humanité. Quasiment : parce que contrairement aux enfants du baby-boom, il faut reconnaître à Giscard le courage de s’être battu pour la France. Elève brillant à Louis-le-Grand lors de la libération de Paris, il s’engage dans la 1e armée française de De Lattre, combat comme canonnier dans un char, et reçoit la croix de guerre.
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby 0 commentaire -
Castex c’est la France ouverte pour les clandestins, et la France prison pour les Français
Ubuesque ! Pour empêcher les Français d’aller skier pendant les vacances de Noël en Suisse ou Autriche, là où les pistes restent ouvertes, Ubu Castex au micron de Jean-Jacques Bourdin n’a pas hésité à déclarer :
« On va instaurer une quarantaine avec les préfets limitrophes, il y aura des contrôles aléatoires à la frontière. Vous serez placés en quarantaine de 7 jours et vous subirez des tests. La conclusion à en tirer est que je ne vais pas en Suisse. »
-
Michel Thooris : « Affaire Zecler : on a affaire à une tentative d’interpellation qui a mal tourné en raison de la résistance de la personne mise en cause »
Le syndicat France Police-Policiers en colère adresse un courrier au procureur de la République lui demandant d’attaquer Michel Zecler en Justice.
Une initiative à contre-courant de l’actualité ?
Explication de Michel Thooris au micro de Boulevard Voltaire.
-
Jérôme Fourquet : « Pour une majorité de Français, le pays ne peut plus accueillir de nouveaux arrivants », par Alexandre Devecchio.
«Quand on parle d’immigration aux Français, beaucoup d’entre eux raisonnent non pas seulement sur les “flux” mais sur le “stock”», décrit Jérôme Fourquet. Illustration Fabien Clairefond
Dans Le Figaro Enquêtes, La France face au défi de l’immigration, un recueil exceptionnel rassemblant entretiens, analyses et reportages des meilleurs spécialistes sur ce sujet, le politologue décortique une enquête exclusive de l’Ifop sur la perception de l’immigration par les Français.
Les conclusions de l’enquête exclusive de l’Ifop, que commente Jérôme Fourquet, sont nettes. Seuls 32% des Français considèrent que les pouvoirs publics luttent efficacement contre l’immigration clandestine. Une large majorité d’entre eux sont favorables à des mesures vigoureuses pour limiter les flux ; 78% pensent qu’il faut une immigration choisie et non pas subie ; 55% sont favorables à la suppression du regroupement familial. Et 58% souhaitent l’instauration du droit du sang. Nous publions ici quelques extraits de cet entretien dont vous pourrez retrouver l’intégralité dans Le Figaro Enquêtes (1), en vente le 16 novembre, en Kiosque et sur le FigaroStore .
-
Discours de nos politiques : « La vérité si je mens ! »
Le discours sirupeux d’Emmanuel Macron, le 24 novembre dernier, restera, dans l’analyse critique des annales politiques, un cas d’école d’ambiguïté jusqu’à la duplicité, d’infantilisation jusqu’à la crétinisation du « petit peuple » censé gober sans sourciller les fausses nouvelles et les promesses officielles. Il illustre, une fois de plus, l’adage « Plus c’est gros, mieux ça passe » – tant qu’on y met les formes.