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anti-national - Page 117

  • Face au terrorisme musulman, il y a ceux qui parlent et ceux qui agissent

    Face au terrorisme musulman, il y a ceux qui parlent et ceux qui agissent

    Nicolas Bay (député RN au Parlement européen) montre la différence entre les gouvernements français et autrichien :

    Un attentat islamiste sur son sol, un seul, aura suffi au gouvernement autrichien pour lancer immédiatement un plan de combat contre le terrorisme et le terreau politico-religieux dans lequel il se forme.

    Outre la simplification des modalités pour fermer des mosquées, retirer les aides sociales ou le permis de conduire des individus suspects d’islamisme radical, ce plan va mettre en place la possibilité d’une détention préventive pour les djihadistes identifiés. Les déchéances de nationalité seront facilitées pour les binationaux.

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  • Alain de Benoist : « Sur les tombes de soldats, il est écrit qu’ils sont morts pour la France, pas pour la République ! »

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    Nos hommes politiques n’ont plus à la bouche que le mot de «  », allégorie politique et morale invoquée à tout bout de champ : « la République est menacée », « la République ne cédera pas », etc. C’est du psittacisme ou quoi ? Les « valeurs républicaines », ça vous parle ?

    Ce n’est pas nouveau, mais en effet, ça s’accélère. Si l’on récite ce mantra, c’est qu’on ne veut pas utiliser un autre mot : la , tout simplement. Et l’on ne veut pas l’utiliser parce que l’on veut suggérer que la France a commencé avec la République, de telle façon qu’il suffirait de parler de la seconde pour s’abstenir de faire allusion à la première. C’est évidemment ridicule : si la France a commencé avec la proclamation des Droits de l’homme, quelle était donc la nationalité de Corneille et de Pascal ? Sur les tombes de soldats, il est écrit qu’ils sont morts pour la France, pas pour la République. Pour m’exprimer, comme l’a dit Charlotte d’Ornellas, je n’utilise pas la langue républicaine mais la langue française !

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  • Imposition du camp de migrants du Louvre : les habits neufs du communisme

     

    L’annonce ne surprendra que les plus naïfs d’entre nous. 

    Ça y est, la décision est prise : un tout nouveau centre d’accueil pour migrants va être installé en plein cœur de Paris, en face du musée du Louvre, dans le très élégant 1er arrondissement. , adjoint communiste d’Anne Hidalgo, en charge notamment de l’accueil de ces Parisiens de fraîche date, a tranché.

    Ah, ces communistes ! On avait oublié jusqu’à leur existence. L’obscène présence, en 2020, d’un héritage aussi sanglant, dans le paysage politique de la « patrie des Lumières et des droits de l’homme », ne dérangeait même plus, tant ils étaient microscopiques. Or, voilà que reviennent, sous nos yeux, les bons vieux modes d’action des amis du genre humain.

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  • La postmodernité, nouveau cadre du Système ? 4/4

    À l'instar de la techno-utopie et du mythe scientiste qui servirent d'arme idéologique à la modernité, le relativisme et l'hyper-individualisme sociétal et culturel continuent d'homogénéiser et de naturaliser la vision libre-échangiste de l'ordre mondial, la théocratie libérale. Dans le même sens, Fredric Jameson met l'accent sur la signification du moment historique de la pensée postmodern(4). Tout en y recherchant une « logique » centrifuge, il inscrit le postmodernisme dans la dynamique culturelle du capitalisme tardif. La postmodernité serait l'avatar du consumérisme culturel qui correspond bien, depuis la phase fordiste et postindustrielle de l'économie mondiale, à l'accomplissement de la phase du capitalisme tardif, cognitif, voire de séduction évoquée par Michel Clouscard en s'appuyant sur les ressorts culturels et la société de spectacle(5) pour mieux se reproduire en tant que système d'exploitation.

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  • Hold-up : LE film qui révèle les dessous du Covid-19

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    « Dès lors que vous faites croire à quelqu’un qu’il est en danger de mort, vous en faites ce que vous voulez », explique l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, dans ce film (bande-annonce ici) qui sort le 11 novembre. Produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé,  met en lumière les nombreuses contradictions et restrictions de liberté occasionnées avec cette crise pandémique.

    « Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre », écrit Christophe Cossé dans une tribune dans France-Soir.

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  • 63 islamistes, condamnés pour terrorisme, sont sortis de prison en 2020, une vingtaine seront libérés avant la fin de l’année, la plupart des détenus relâchés ne sont pas surveillés

    Plusieurs dizaines d’islamistes, incarcérés dans les prisons françaises, ont été libérés cette année. Des libérations “massives” selon un magistrat spécialisé interrogé par le Figaro qui révèle ces chiffres. Le suivi sociojudiciaire serait peu appliqué après une libération.

    “Les sorties sont massives”. Le commentaire d’un magistrat spécialisé dans les affaires terroristes n’est guère rassurant. Le Figaro détaille, ce mardi, les chiffres des libérations de détenus islamistes alors que de nouvelles attaques terroristes ont frappé la France et que le plan Vigipirate a été relevé au niveau “urgence attentat”.

    505 personnes sont actuellement détenues pour des faits de terrorisme en lien avec l’islamisme en France. 273 ont été condamnées définitivement et 232 sont mises en examen ou en attente de leur procès. Depuis le début de l’année 2020, 63 prisonniers ont été libérés et une vingtaine de libérations supplémentaires sont attendues d’ici la fin de l’année. Les prévisions de libération se montent à 70 personnes en 2021, une cinquantaine en 2022 et une trentaine en 2023.

    Un magistrat spécialisé interrogé par le Figaro explique que “les gens qui sortent actuellement sont les djihadistes de la première vague, des individus souvent hyper entraînés et prêts à tout, y compris à mourir, pour certains”.

    (…) Autre élément d’inquiétude : le suivi sociojudiciaire des détenus libérés est relativement faible. Seuls 80 des 273 détenus islamistes bénéficieront de ce suivi.

    (…) La Dépêche

    https://www.fdesouche.com/2020/11/10/63-islamistes-condamnes-pour-terrorisme-sont-sortis-de-prison-en-2020-une-vingtaine-seront-liberes-avant-la-fin-de-lannee-la-plupart-des-detenus-relaches-ne-font-pas-lobjet-dune-surveillance/

  • Notre faiblesse ne justifie pas l’islamisme et le Grand Remplacement, par Clément Martin (Les Identitaires)

    Certains voient dans les attentats la sanction de nos faiblesses et de notre décadence. De la même manière, le Grand Remplacement ne serait que la conséquence de notre « grand effacement » intellectuel. Tenter de freiner le Grand Remplacement ou de lutter contre le terrorisme par des moyens concrets serait donc pure perte temps : il faudrait « remonter aux causes » plutôt que de « s’en prendre aux conséquences ».

    Fermer les frontières est à la portée de n’importe quel État

    Tout d’abord, les résistants identitaires ne négligent pas la réflexion sur les causes. Mais le combat politique, au service du bien commun, tend premièrement à écouter les plaintes de notre peuple, qui portent généralement sur des problèmes tangibles (insécurité, islamisation, dégradation du cadre de vie…) auxquels un militant honnête et intègre doit porter un grand intérêt.

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  • Violences urbaines en banlieue lyonnaise et Lilloise

    Appelés pour l’incendie d’une voiture à Bron (Rhône) lundi soir, les pompiers ont été bloqués par un groupe de personnes. A Mons-en-Baroeul (Nord), les forces de l’ordre ont été visées par des tirs de mortiers.

    Le Parisien

    https://www.tvlibertes.com/actus/violences-urbaines-en-banlieue-lyonnaise-et-lilloise

  • Robert Ménard : « C’est un passage obligé, on va en Algérie demander pardon… c’est insupportable ! »

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    Le maire de Béziers s’indigne face à l’hommage de  à tous les combattants du FNL qui ont œuvré pour la libération de l’.

    Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur en visite en Algérie a suscité votre indignation en s’inclinant devant le mémorial du martyr, monument en hommage à tous les combattants du FLN qui ont œuvré pour la libération de l’Algérie. Pourquoi, son comportement vous choque-t-il ?

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