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De nouvelles vidéos tournées en caméra caché par Project Veritas montrent que la censure dont le média social Twitter a frappé Donald Trump et ses partisans après l’irruption de manifestants au siège du Congrès le 6 janvier 2021 s’inscrit dans une action de censure beaucoup plus large.

« Face à l’urgence humanitaire en Méditerranée et alors que les États européens se désengagent toujours plus de leurs responsabilités en matière de secours en mer, plusieurs collectivités locales françaises ont décidé d’agir aux côtés de SOS MÉDITERRANÉE. Elles ont lancé, le 21 janvier 2021, la « Plateforme des collectivités solidaires avec SOS MÉDITERRANÉE » et appellent toutes les collectivités de France à les rejoindre. »
« Ces collectivités apportent un soutien financier indispensable à l’association et constituent une force d’appui essentielle pour faire avancer son plaidoyer. Elles sont également une caisse de résonance pour les citoyennes et les citoyens mobilisés dans leurs territoires, en facilitant leurs actions de témoignage et de sensibilisation. »

Pour avoir dit lors d’un cours le 27 octobre, onze jours après l’assassinat de Samuel Paty : « L’islam ne reconnaît pas la liberté de conscience. C’est quand même absolument terrifiant », et évoqué « des religions sexuellement transmissibles », Mme L., prof de droit à la fac d’Aix-Marseille, a reçu des menaces de mort, avant d’être placée sous surveillance policière. L’enseignante a déposé plainte le 6 janvier contre Mediapart pour « mise en danger de la vie d’autrui ». Le site d’information avait en effet publié le 8 décembre le nom de l’enseignante et qualifié ses propos d’«islamophobes»…
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Contacté par Le Point, l’avocat de l’enseignante pointe également du doigt les agissements de la vice-présidente de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH). Cette dernière aurait diffusé un extrait audio du cours incriminé lors d’échange de mails au sein de la CNCDH avec la mention «à vomir».
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Le Point / Valeurs Actuelles

Fidèle à sa volonté d’incarner le totalitarisme 2.0, le gouvernement français continue de censurer toute parole critique à son sujet… ça c’est de la démocratie !
Alors aujourd’hui, l’Etat dépêche sa spécialiste du H1N1, Roselyne Bachelot, pour essayer de censurer France-Soir.

L’AFP, organe de propagande du gouvernement, s’emploie à détourner la question, en fixant son argumentation sur le statut dit IPG, qui ouvre droit pour les publications en ligne, à certains avantages fiscaux et aux aides potentielles du Fonds stratégique pour le développement de la presse (FSDP), dont les critères d’attribution sont précisés dans un décret de 2009.

Au moment où la fine fleur de l’intelligentsia s’acharnait sur Thaïs d’Escufon, membre de Génération identitaire, sur le plateau de Cyril Hanouna, le jeune Yuriy gisait sur son lit d’hôpital, entre la vie et la mort. Victime d’un véritable lynchage en règle sur la dalle de Beaugrenelle, dans le 15e arrondissement de Paris, par huit hommes cagoulés et recouverts d’épaisses doudounes.

Comme chaque semaine, I-Média décrypte l’actualité médiatique en déconstruisant le discours dominant.

Ce matin, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur se déclarait « scandalisé » par notre action militante à la frontière pyrénéenne et annonçait étudier la possibilité de dissoudre Génération Identitaire.
Cet après-midi, le temps de recevoir l’ordre de Paris, le procureur de la République de Saint Gaudens annonçait à l’AFP, une semaine après notre action, qu’il ouvrait une enquête préliminaire pour « provocation publique à la haine raciale. Selon M. le Procureur, cette enquête serait justifiée par « des propos tenus sur cette banderole très clairement anti-immigration et surtout la raison pour laquelle cette banderole a été déployée ».
Le 18 janvier 2020 éclatait « l’affaire Mila » du nom de cette adolescente menacée de mort par des centaines d’individus après avoir tenu des propos peu élogieux concernant l’islam.

Qui est à la tête du pays légal ? Et l’écho de la France périphérique, de répondre : la « Technocratie ». La République à beau désarticuler le pays réel, il garde son bon sens français. Il a vu qui s’était emparé de l’État en 2017. Il a compris la nature de la nouvelle caste dirigeante. Celle qui au nom de la Souveraineté populaire, gouverne à quatre experts, dans un fameux autant que fumeux, « Conseil de Défense ».