
Le placier du marché Cassanyes a été victime d’une agression, dimanche 4 août à Perpignan (Pyrénées-Orientales). C’est un mineur non accompagné, âgé de 16 ans, qui s’en est pris à lui.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le placier du marché Cassanyes a été victime d’une agression, dimanche 4 août à Perpignan (Pyrénées-Orientales). C’est un mineur non accompagné, âgé de 16 ans, qui s’en est pris à lui.
La Cour constitutionnelle italienne a refusé de reconnaître légalement une identité sexuelle “non binaire”, au motif que cela perturberait l’ensemble du système social et juridique italien.
Christian Navis Riposte laïque cliquez ici
La France n’est plus le seul paradis des traîtres et des collabos. Après les assassinats d’enfants au couteau, et les innombrables crimes de sang commis par les islamistes, le gouvernement socialo-pourri des Brittons, loin de partager la colère et l’indignation de son peuple, tape dessus pour protéger les nouveaux maîtres du pays.
Polémia
Quand la foire démocratique prépare l'ère de la trans-politique
Frédéric Andreu
« Je ferais n'importe quoi, si tu me le demandais ; je renierais ma patrie, si tu me le demandais, etc, etc ». Écoutons les paroles de l'Hymne à l'Amour chanté lors de la cérémonie d'ouverture des JO 2024, en nous demandant pourquoi Macron s'évertue à « faire n'importe quoi , « à renier sa patrie » sans que ni Édith Piaf, ni Céline Dion ne le lui demande. Admettons avec Aragon que « le poète a toujours raison » et, avec René Char, « que les paroles connaissent de nous des choses que nous ignorons d'elles »...
par Andrea Zhok
Ce matin, j'ai reçu une publicité du magazine MicroMega, un magazine progressiste par excellence, auquel j'ai également contribué par le passé. La communication annonçait la sortie, en librairie et en ligne, du nouveau volume intitulé « Contre la famille. Critique d'une institution (anti-)sociale ».
La France d’Emmanuel Macron n’est pas la mienne. Je ne l’ai pas non plus reconnue dans la cérémonie des JO, emplie de stéréotypes sexués et de flatteries à l’air du temps. J’ai vu, dans la mise en scène de Thomas Jolly, une opération politique pour valoriser la nouvelle France diversitaire promue par le chef de l’Etat. 80% des investissements publics ont d’ailleurs bénéficié à la Seine-Saint-Denis, selon Amélie Oudéa-Castera (Europe 1, lundi). Alors que l’article 50-02 de la charte olympique du CIO stipule : « Aucune sorte de démonstration ou de propagande politique, religieuse ou raciale n’est autorisée dans un lieu, site ou autre emplacement olympique », le pouvoir, désavoué depuis par les urnes, a choisi de passer outre cette interdiction en imposant d’autorité sa vision contestée d’une société post-nationale et post-française.
Ina Phisinov
Vendredi 26 juillet 19h30… je ne m’installe pas devant le téléviseur ! des articles de presse m’ont appris que la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 avait été écrite par l’écrivaine Leïla Slimani, l’historien Patrick Boucheron, la scénariste Fanny Herrero et le comédien Damien Gabriac, des personnalités choisies fin 2022 par le metteur en scène Thomas Jolly, chef d’orchestre de cette ouverture qui se veut originale. Je crains fort de voir notre pays largement moqué…