
Dix jours après les violentes manifestations et émeutes anti-immigration qui ont suivi le meurtre de trois fillettes à Southport, les autorités britanniques fouillent les réseaux sociaux pour débusquer les coupables de l’embrasement des rues.
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La société du spectacle ne fait jamais relâche, elle fonctionne H24, sous tous fuseaux horaires, dans une orgie planétaire de divertissement. À peine les JO de Paris sont clôturés que ceux de Los Angeles s’ouvrent dans un jour qui n’en finit pas.
Jusque-là, il faut dire, les sportifs, focalisés chacun à leur manière sur leur discipline, avec tout ce que cela exige de rigueur et de concentration, n’avaient guère pu goûter l’immense partouze olympique organisée, depuis bientôt trois semaines, en leur honneur. Avec la cérémonie de clôture d’hier, c’est désormais chose faite ; le stade de France se sera transformé le temps d’un soir en un monstrueux terminal d’aéroport où sportifs, bénévoles et spectateurs en tout genre se seront entassés en musique ; et tout aura enfin été consommé.
Tommy Robinson venait de quitter le rassemblement qu’il présidait à Trafalgar Square le 27 juillet, les fillettes étaient horriblement assassinées à Southport le 29, causant le début des révoltes populaires qui débutèrent partout en Grande-Bretagne, quand il prit lui et sa famille une pause méritée à Chypre loin du vacarme. Il posta une communication d’Athènes pour protester contre la révélation par des journalistes du Daily Mail de l’adresse de l’hôtel cypriote où il séjournait quelques jours auparavant.
INTERVIEW. L’écrivain et chroniqueur du « Point » publie son deuxième roman, « Houris » (Gallimard), un monument littéraire qui brise enfin le tabou de la guerre civile algérienne.
(…) Fresque intime de la guerre civile des années 1990 qui lui restait fichée en travers de la gorge, roman de la transgression d’un interdit, celui de faire un récit-miroir de ce monde du silence et de la mort.
L’enfant roi dans toute sa splendeur
L’Observatoire du Journalisme nous offre un florilège des plus grosses âneries proférées par les «experts» soigneusement sélectionnés par nos médias mainstream pour commenter la guerre en Ukraine. Son titre : «Guerre Russie-Ukraine, les charlatans de l’information». On y retrouve les noms bien connus des meilleurs propagandistes atlantistes de notre pays : Jean-François Colosimo, Xavier Tytelman, Bruno Tertrais, Pierre Servent, Nicolas Tenzer.
Enough is enough ! Trop c’est trop, mettez-les dehors…
Ces cris de colère d’une foule qui s’adressait à un Pouvoir, lequel au nom d’un pas de vague protège un assassin. Cela, sans la moindre compassion pour les petites victimes d’un tueur d’origine africaine, dont trois sont décédées.