Aujourd’hui âgé de 59 ans, Michael Stürzenberger a étudié les sciences politiques et l’histoire à l’université Ludwig Maximilians de Munich. Après ses études, il entame une carrière de journaliste, notamment dans le sport pour RTL et Sat1. Dans un article pour le média TAZ, Marian Offman explique le parcours de l’homme avant sa radicalisation. “Stürzenberger était autrefois un journaliste sportif, un ardent supporter du Munich 1860, qui se rendait souvent au stade de football pour faire des reportages depuis là-bas.” Un homme sans histoire, donc.
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Attentat à Mannheim (Allemagne) : Michael Stürzenberger, l’activiste ciblé, est devenu anti-islamiste après avoir perdu son meilleur ami dans les attentats de Mumbai en Inde en 2008. (MàJ)
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À 30 km de Crépol, encore un jeune tabassé lors d’un bal : on prend les mêmes et on recommence
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Il faut stopper le psychopathe de l'Elysée
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PARIS, 30 mai reuters -
La France pourrait prochainement envoyer des entraîneurs militaires en Ukraine malgré les inquiétudes de certains alliés et les critiques de la Russie, et pourrait annoncer sa décision la semaine prochaine lors d'une visite du président ukrainien, ont indiqué trois sources diplomatiques.
Les diplomates ont déclaré que Paris espérait forger et diriger une coalition de pays offrant une telle assistance à l'effort de guerre de Kiev, même si certains de ses partenaires de l'Union européenne craignent que cela ne rende plus probable un conflit direct avec la Russie.
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Aide juridictionnelle pour les étrangers : qu’est-ce qui change ?
Le Conseil vient de censurer la loi de 1991, qui ne réservait le bénéfice de l’aide juridictionnelle qu’aux étrangers en situation régulière. À compter de ce mardi 28 mai, tous les étrangers clandestins y auront droit. Voici quelques éléments d’analyse de cette décision par Pierre Gentillet, avocat et chroniqueur sur CNews, partagés sur son compte Twitter.
Aide juridictionnelle : quel était l’état du droit antérieur ?
La loi du 10 juillet 1991 conditionnait l’aide juridictionnelle pour les étrangers au respect de plusieurs conditions et notamment leur situation régulière.
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La famille française de souche, voilà l’ennemi
Invitée ce mardi 28 mai 2024 à la matinale de France Inter, Marion Maréchal, tête de liste de Reconquête! aux européennes 2024, a vivement réagi à la « question bête, dingue et outrancière » de la journaliste Sonia Devillers (voir son portait édifiant par l’OJIM). En cause, une question mettant en parallèle la défense de la famille “traditionnelle” et la politique du Maréchal Pétain. Cette attaque s’inscrit en réalité dans une lutte de longue haleine entreprise par la gauche au sens large, sous couvert de justice sociale, pour en finir avec l’un des piliers de notre civilisation : la famille. Dans le texte ci-dessous, écrit il y a près de 10 ans, l’essayiste Guillaume Faye revient sur la genèse de ces attaques.
Polémia -
Comment étouffer les meurtres de Blancs
Chronique de Paysan Savoyard (n° 319 – Mai 2024)
Lorsque leurs victimes sont des Blancs, les meurtres commis par des immigrés revêtent pour le Système immigrationniste et ses gouvernements une importance particulière. Si, du fait de la répétition de ces meurtres, le Français moyen de souche qui vote Macron ou qui s’abstient commence à se sentir personnellement en danger, le risque existe qu’il finisse par sortir de son attitude traditionnelle fondée sur l’égoïsme et le « après moi le déluge » et qu’il se mette à envisager de voter pour l’extrême droite. C’est pourquoi le Système développe toutes les ressources de sa propagande afin de limiter l’impact de ces crimes et éviter à tout prix que le cœur de son électorat ne soit gagné par la peur (apportons, avant de poursuivre, ces précisions de vocabulaire : juridiquement, les « crimes » comprennent les homicides volontaires, mais également d’autres infractions graves, tels que par exemple les vols à main armée ; un « homicide » peut être involontaire ; un « meurtre » est un homicide volontaire ; un « assassinat » est un meurtre prémédité).
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Nouvelle Calédonie… que faire ?
Bernard Germain
Les évènements tragiques qui sont en train de se dérouler en Nouvelle Calédonie sont de la plus haute importance, et surtout placent tous et chacun au pied du mur.
En préalable, on me permettra de noter qu’en France, un étranger Africain ou Afghan fraîchement naturalisé est considéré Français. À l’inverse, en Nouvelle Calédonie - donc également en France - on parle de colons pour des blancs dont la famille est présente depuis bien plus de 100 ans au travers de ses multiples générations.
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Slovaquie, l'attentat contre Fico est le résultat de sa dissidence avec l'Occident : et certains parlent de guerre civile
Stelio Fergola
Rome, 16 mai - La tentative d'assassinat dont a été victime hier le Premier ministre Robert Fico a choqué non seulement la Slovaquie mais aussi, bien évidemment, l'ensemble des milieux politiques continentaux. Ces derniers ont, comme il se doit, condamné l'incident. Malgré le fait que, dans le passé, les accusations portées contre le dirigeant slovaque n'avaient pas été tendres et, à bien des égards, similaires à celles constamment portées contre son collègue hongrois Viktor Orban : ainsi, il serait autoritaire, antidémocratique, dictatorial. Certaines formules nous sont familières, surtout lorsqu'elles s'adressent à ceux qui ont pour l'UE et l'Occident un défaut jugé intolérable: ne pas adhérer aux diktats occidentaux.
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Nouvelle-Calédonie. La gauche contre « le grand remplacement »… des Kanaks : « Ne vous inscrivez pas dans un processus de colonisation qui consiste à mettre en minorité un peuple sur sa propre terre »
À l’occasion de la crise en Nouvelle-Calédonie, on voit des personnalités habituellement vent debout contre les positions identitaires défendre le droit du peuple kanak à ne pas être minoritaire chez soi. Analyse d’Eugénie Bastié.
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Ces guerres raciales que soutient la gauche perdue
Confirmation : la race obsède les antiracistes. Les voici, CGT en tête, en soutien aux Canaques qui, devenus démographiquement minoritaires (39%) en Nouvelle-Calédonie, refusent le métissage, la société multiculturelle, le droit de vote démocratique et ne cachent rien de leur violente détestation des blancs. Un même refus de vivre ensemble est revendiqué par ceux des musulmans qui, encouragés par l’extrême-gauche, approuvent le Hamas terroriste et judéophobe. Les Canaques comme les Palestiniens alignent toutes les caractéristiques qui devraient faire d’eux, aux yeux des promoteurs du nomadisme et de la créolisation, des peuples « nauséabonds » dans leur désir d’exclure l’altérité au nom de l’enracinement.