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anti-national - Page 410

  • Commission parlementaire « extrême droite » : auditions publiques pour les accusateurs, huis clos pour les accusés !

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    Depuis le 23 janvier 2019, et jusqu'au 16 mai prochain, se tient une curieuse commission d'enquête contre de supposées violences des groupes d'extrême droite, à la demande de Jean-Luc Mélenchon. Cette commission est présidée par Mademoiselle Muriel Ressiguier, député des Insoumis de l'Hérault. Elle devait conclure ses travaux le 16 mai, et rendre son rapport le 11 juin.

    Communiqué commun de la Ligue du Midi, de Vigilance Halal, de Riposte laïque et de Résistance républicaine :

    Nous avons appris, par une fuite du Figaro, qui n'a pas été démentie, que nos responsables devaient faire partie des personnalités auditionnées. Pourtant, nous ne nous reconnaissons absolument pas dans cette définition donnée par les députés : « Tous ces groupes ont en commun la violence, l’incitation à la haine raciale, homophobe et sexiste. Ils agressent des couples, des cyclistes, des passant-e-s, des étudiant-e-s pour leurs opinions, leur orientation sexuelle ou leur origine. Ils agressent, insultent, intimident, menacent de simples citoyen-ne-s mais aussi des élu-e-s de la Nation ».

    Nous y verrions plutôt les pratiques des groupes d'extrême gauche, antifas ou Black Blocs, qui ont multiplié, à l'occasion du mouvement des Gilets jaunes, les actes de vandalisme contre des symboles qui leur déplaisent, des agressions contre des journalistes, des librairies ou des opposants politiques, ainsi que des violences graves contre les forces de l'ordre, ce qui ne paraît pas émouvoir le chef des Insoumis, ni Mademoiselle Ressiguier.

    À quelques jours de leur éventuelle audition par la Commission d’enquête, les personnalités et leaders des groupes visés, n’ont toujours reçu aucune notification. Par conséquent, en fonction de leur éloignement ou de leur emploi du temps déjà engagé, certains d’entre eux pourraient avoir à demander des reports d’audience.

    Par ailleurs, si aucun texte ne précise les conditions permettant de décréter le huis clos en commission, il semble pourtant que les règles constantes du droit commun, ainsi que l’usage, commandent d’en justifier l’emploi.

    Les parlementaires voudront bien se demander pourquoi Madame HERVOUËT, présidente d’une association immigrationniste - dont les curieuses pratiques ont été épinglées par le conseil départemental socialiste de l’Hérault - a été auditionnée à huis clos alors qu’elle était là en infraction totale avec le principe de séparation des pouvoirs ; pourtant, dans le même temps cette disposition a été refusée à Monsieur BATTESTI, président de Facebook, qui la demandait, terrorisé par les menaces induites par la Présidente.

    Pareillement, on se demandera ce qui justifie le huis clos pour les auditions de Messieurs Fabrice ROBERT et Romain ESPINO, animateurs de mouvances identitaires, convoqués ce jeudi 11 avril. Ce refus du principe du « contradictoire » n’est pas sans rappeler les pratiques d’autres pays, d’autres époques et d’autres mœurs.

    De notre point de vue, aucune raison réelle et sérieuse ne justifie le huis clos pour les personnalités et leaders des groupes visés ; sinon celle de leur fermer la tribune qui leur est due et d’occulter aux yeux du public les éléments qu’ils pourraient faire valoir en défense ; alors que tous les éléments à charge les concernant ont été largement rendus publics et de manière tendancieuse et très exagérée ; parfois même en infraction avec le principe de séparation des pouvoirs.

    Les parlementaires devraient s’interroger sur le sens de ces manœuvres arbitraires qui n’ont d’autre but que de nous bâillonner et de présenter au public un seul son de cloche : démarche publique résolument à charge d’un côté, interdiction de publicité de notre défense de l’autre. Ce déséquilibre est inadmissible dans un état de Droit, surtout émanant du pouvoir législatif.

    En conclusion de tout ce qui précède, les signataires entendent, si leur convocation était confirmée, se présenter à un débat public, équilibré et contradictoire.

    Par conséquent, ils demandent la levée du huis clos en ce qui les concerne, et à défaut, qu’en soient publiquement justifiées les raisons dès avant leur audition.

    Montpellier, le 9 avril 2019

  • On a les gauchistes les plus cons du monde, mais aussi les plus nuisibles

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    Riposte laïque cliquez ici

    On a souvent dit que la France avait la droite la plus bête du monde. Ce n’est pas faux, car il faut être sacrément crétin pour être tombé, comme l’ensemble des chefs de cette mouvance, depuis les années 1985, dans le piège que lui a tendu avec machiavélisme François Mitterrand. Ce vieux renard politicien a réussi à interdire à la droite de faire des alliances avec le Front national, tout en s’autorisant tous les accords avec le PCF et l’extrême gauche trotskiste. Résultat, bien que largement minoritaire, la gauche a gagné nombre d’élections qu’elle aurait dû perdre.

    Dans un autre registre de stupidité, on a assisté à la première confrontation entre les douze têtes de listes aux Européennes. Et on a écouté Raphaël Glucksmann, que les socialauds ont mis en tête pour mieux dissimuler leur naufrage, l’écolo Yannick Jadot, l’Insoumise Manon Aubry, le coco Ian Brossat et Benoit Hamon, de Génération.s (défense de rigoler). C’était grotesque. Ces charlots étaient d’accord sur l’essentiel : urgence de la transition écologique, obligation de continuer la submersion migratoire, soumission à l’islam, négation de toute question identitaire, nécessité de rester dans l’Union européenne, pour la changer de l’intérieur.

    Il n’ont même pas réussi à voler dans les plumes de Nathalie Loiseau, car, à part la question sociale, qui leur sert à se différencier de Macron, ils sont d’accord avec lui sur ces questions essentielles. Ils avaient tout ce qu’il fallait pour faire une liste commune, qui s’appuyant sur l’impopularité de l’équipe présidentielle, aurait pu réussir un bon score.

    Mais ils ont choisi de jouer chacun leur partition, pour pouvoir exister. Les réveils vont être douloureux, quand on sait qu’il faut atteindre 3 % des voix pour être remboursé, et 5 % pour avoir des élus, qui donnent des moyens organisationnels (autrement dit des sous) aux postulants. Sans risque de grosse erreur, on peut considérer que Brossat va rester à 1 %, ce ne sont pas les stupidités qu’il a racontées sur les avions qu’il convient de réserver aux seuls riches qui vont l’aider. Benoît Hamon, que nous avions surnommé Bilal pour sa course au vote musulman, aura également bien du mal à atteindre les 3 %, et comme il n’intéresse pas grand monde, son avenir politique est assombri, il va peut-être devoir travailler pour la première fois de sa vie, à 51 ans, et ne pas vivre que de la politique…

    Reste Glucksmann, cache-sexe du PS moribond. Pour lui aussi, le réveil va être difficile, et s’il va dépasser les 3 %, la barre des 5 % est loin d’être garantie. Il n’est pas certain que ces grandiloquentes déclarations d’amour à l’Europe ne soient très payantes.

    Les Insoumis, avec la médiocre caricature haineuse Manon Aubry, seront bien sûr fort éloignés des scores que seule la personnalité de Mélenchon leur permettait d’atteindre aux Européennes. Tel que cela est parti, ils risquent de plafonner à 7 %, ce qui leur permettra quand même d’envoyer à Bruxelles tous les tocards qu’ils n’ont pas réussi à faire élire au Palais Bourbon, et d’avoir quelques moyens supplémentaires.

    Quant aux écolos, avec toute la propagande faite sur l’urgence climatique, il devrait se trouver les habituels crétins qui, à l’occasion des Européennes, se disent qu’effectivement, il faut qu’on défende la planète, et donc que le vote écolo s’impose. Bien que discrédités nationalement, ils sont bien capables d’atteindre les 10 %, ces imposteurs !

    Mais la nuisance de la mouvance gauchiste s’exerce dans nombre d’autres secteurs, bien plus importants que les élections. Elle s’exerce d’abord dans la rue, où les Antifas et les Black Blocs sont les véritables milices du régime, interdisant d’expression la mouvance patriote, qu’elle peut agresser avec une totale impunité. À notre connaissance, ceux qui ont frappé à dix contre un le journaliste Vincent Lapierre à Toulouse, bien que connus, n’ont pas encore été arrêtés. Pas davantage ceux qui ont essayé de vandaliser la Nouvelle Librairie, dans le Quartier Latin. Ces milices ont été indispensables à Macron-Castaner pour pourrir de l’intérieur, sur Paris essentiellement, le mouvement des Gilets jaunes. Travail complété par l’infiltration de gauche et d’extrême gauche, qui ont noyauté le mouvement, l’enfermant dans les seules revendications sociales, et y interdisant toute allusion sur l’immigration (qui coûte très cher aux Gilets jaunes) et sur l’identité.

    Naturellement, l’agitation entretenue contre ce qu’ils appellent l’extrême droite, en fait la mouvance patriote et identitaire, seule opposante sérieuse à Macron et au mondialisme, fait le jeu du pouvoir. C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre la grotesque commission Ressiguier, contre « les violences commises par l’extrême droite », et la volonté affichée de Génération Identitaire, qui n’a jamais exercé la moindre violence contre des policiers, des migrants ou des gauchistes. Ce régime, aidé par les gauchistes, ne cache plus sa volonté de briser par tous les moyens la dissidence patriote, par des dissolutions ou la censure opérée sur les réseaux sociaux. Nous ignorons, à l’heure où nous écrivons ces lignes, si Pierre Cassen et Christine Tasin seront auditionnés par leur grande amie Muriel Ressiguier, qui paraît vouloir imposer le huis-clos pour ces interrogatoires… Mais nous savons que l’un comme l’autre devront encore consacrer du temps à se défendre devant les tribunaux, sans savoir s’ils ne vont pas tomber sur des juges « Mur des Cons ».

    La nuisance gauchiste s’exerce également dans tous les domaines de la société, où leur travail de déconstruction quotidien sape la France depuis cinquante ans : la magistrature, les médias, l’école, l’université, la Culture. Naturellement, elle est l’alliée naturelle des islamistes, contre qui elle n’a jamais un mot. Cela s’appelle l’islamo-gauchisme.

    C’est une véritable cinquième colonne, au cœur de l’appareil d’État, qui constitue un véritable contre-pouvoir à tout gouvernement légitiment élu. Et cela dans tous les pays occidentaux, Donald Trump y étant confronté quotidiennement depuis deux ans.

    S’il arrivait au pouvoir en France, comme cela s’est fait en Italie et dans les pays de l’Est de l’Europe, il devrait se donner des moyens exceptionnels, en s’appuyant sur le peuple, pour briser, par la force s’il le faut, ce cancer qui exerce sa capacité de nuisance contre le peuple français, au service du mondialisme, du Grand Remplacement, du changement de civilisation et de l’islamisation de notre pays.

    Un passage obligatoire.

    Avant la Reconquête du pays, qui passera par l’éradication de la cinquième colonne islamiste, il faudra en finir avec le cancer gauchiste.

  • Des Grenobloises défilent pour « la liberté des femmes voilées ». Vraiment ?

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    Samedi dernier, quelques dizaines de femmes ont couru dans Grenoble pour réclamer « la liberté des femmes voilées ». Plus précisément pour dénoncer « les discriminations et les humiliations quotidiennes » dont elles se disent victimes dans leur vie de tous les jours.

    Afin de donner à leur démarche tout le poids nécessaire, elles ont manifesté de la Bastille à la mairie de Grenoble, revêtues du hijab pour la plupart d’entre elles. Elles dénoncent « certains espaces qui leur sont refusés », telles les piscines ou les salles de sport, et d’autres où elles assurent être « mal accueillies », comme l’université, la CAF ou Pôle emploi.

    « Stop, ça suffit. On est citoyennes françaises, on vote, on paye des impôts mais on ne veut pas de nous sur la place publique. C’est limite chez les médecins, dans le sport, un peu partout. On préfère nous voir cloîtrées à la maison », déclare l’une des manifestantes à FR3.

    Qu’est-ce que quarante ou cinquante femmes sur une agglomération de 670.000 habitants ? Rien ou presque. Ça ne vaut pas plus qu’un haussement d’épaules…

    C’est ce que pensait cette habitante parisienne quand elle enfilait un pull pour ne pas sortir bras nus : si la paix du quartier est à ce prix, ça n’est pas si grave… C’est aussi ce que se disaient nos voisins anglais quand ils ont accepté que le droit coutumier islamique prime parfois sur le droit anglais (en matière de divorce, notamment). Et puis une femme en burkini à la piscine, où est le problème ? C’est vrai, quoi, pourquoi ne pas leur réserver des horaires aménagés s’il faut cela pour qu’elles se mettent au sport ? Ce qu’a fait Martine Aubry à Lille. Et l’on peut bien, aussi, leur réserver des cabinets médicaux où elles ne risqueront pas de croiser un mâle. Après tout, si leur santé est à ce prix, où est le problème ?

    On peut aussi faire une séparation dans les amphis, à l’université, et puis des horaires réservés dans les musées, comme au hammam ; séparer aussi les petits enfants des écoles pour que garçons et filles ne se côtoient pas dans les classes de mer ou de nature. Ah pardon, c’est déjà fait : les plus radicaux n’y vont pas, c’est plus simple. Pas grave, non plus, d’apprendre que l’une des opérations de chirurgie esthétique les plus pratiquées, aujourd’hui, soit l’hyménoplastie (reconstruction de l’hymen, c’est-à-dire de la virginité). « Ça explose »/em>, disent les médecins. On trouve même un « pack tout inclus » pour aller se faire opérer en Tunisie : 700 euros, billet d’avion et hébergement compris.

    Parmi les manifestantes, l’une se plaint qu’on lui ait refusé l’entrée dans une piscine lors d’un examen. « Quand je suis arrivée au bord de la piscine avec mon maillot de bain couvrant, un maître-nageur est venu me chasser et je n’ai pas pu passer mon agrément. J’ai été discriminée », dit-elle. Il existe un règlement vestimentaire dans toutes les piscines de France, il vaut pour tout le monde. Qu’on se présente avec un bermuda et sans bonnet et c’est le retour au vestiaire assuré. Il n’y a aucune raison pour faire une exception.

    Il ne faut pas être naïf. Ce type de manifestation est une manœuvre à visée politique. Et Grenoble n’est pas n’importe quelle ville. En 2016, Patrick Kanner, ministre de la Ville du gouvernement Valls, avait provoqué des hurlements dans les rangs du Parti socialiste en affirmant que certains quartiers en France – comme on en trouve à Grenoble – n’avaient rien à envier à Molenbeek. Exemple à Allier-Alpins : école 100 % musulmane, inscriptions à la maternelle en arabe et en turc dans le quartier Vigny-Musset, boutiques strictement communautaires, avaient dénoncé, en 2015, Les Républicains de l’Isère et le blog d’opposition « Grenoble, le changement ».

    Le 7 février 2019, le préfet de l’Isère a ordonné la fermeture, pour six mois, de la mosquée Al-Kawthar, cela, en vertu de l’article L. 227-1 du Code de la sécurité intérieure qui vise à « prévenir la commission d’actes de terrorisme ».

    Son imam légitimait le djihad armé…

    Marie Delarue

    Tribune reprise deBoulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Une enquête montre comment la communauté LREM manipulerait les réseaux sociaux

    Une enquête montre comment la communauté LREM manipulerait les réseaux sociaux

    © Martin Bureau Source: AFP   Ismaël Emelien, à l'époque conseiller spécial d'Emmanuel Macron, le 14 mai 2017 à Paris (image d'illustration

    Dans une enquête publiée le 10 avril, le site Mediapart révèle comment la communauté LREM opèrerait afin d'instrumentaliser les réseaux sociaux.
    Des actions en contradiction totale avec la doctrine officielle du parti présidentiel.                              
    «A tous les #MacronistesAnonymes…vraiment, MERCI !!!» Ce message, posté sur Twitter en février 2019, est l’œuvre de Benjamin Griveaux, l’ancien porte-parole du gouvernement et désormais candidat à la Mairie de Paris. 
    Deux ans plus tôt, ce même Benjamin Griveaux déclarait, toujours sur le réseau social : «Quand on a un peu de courage, on ne twitte pas anonymement. La démocratie se vit à visage découvert.» 
    Alors que s’est-il passé entre ces deux déclarations ?
    Dans une enquête publiée le 10 avril, Mediapart, en association avec le chercheur indépendant Baptiste Robert, célèbre hacker français également connu sous le pseudonyme d'Elliott Alderson, révèle comment la communauté LREM a tenté de «manipuler le traffic sur Twitter lors du premier meeting de Nathalie Loiseau». 
    Du 29 mars au 1er avril, week-end ayant connu l’acte 20 des Gilets jaunes, le lancement de la campagne LREM pour les européennes et un mini-remaniement, l’équipe d’investigation a relevé tous les messages comportant l’un des 21 hashtags en lien avec les élections et le parti présidentiel (#LREM, #EnMarche, #JeVotele26Mai…).
    Une fois ces données compilées, le chercheur a calculé un «coefficient de manipulation de trafic» grâce à un outil développé à l’Oxford Internet Institute (université d’Oxford). 
    Résultats : celui de la communauté LREM est de 16 soit «au-dessus de la moyenne observée». 
    A titre de comparaison, des mots-clefs banals sont associés à un coefficient compris entre 8 et 10. «On peut donc en déduire une tentative de manipulation du trafic de la part de cette communauté», explique Baptiste Robert à Mediapart. 
    Une affirmation qui peut paraître étrange lorsqu’on se remémore le discours d’Emmanuel Macron à propos d’Internet en novembre dernier plaidant pour la fin «d’un anonymat devenu problématique».
    Depuis l’élection présidentielle, les exemples au sein de la macronie ne manquent pas. 
    La secrétaire d'Etat à l'Egalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa refusant de dévoiler le ou la propriétaire du compte de soutien @Avec_Marlène, ou encore l’embarras de l'ancien conseiller spécial du président Ismaël Emelien, incapable de se justifier devant Patrick Cohen sur France 5 à propos la diffusion anonyme d’images de vidéosurveillance de la préfecture ou du montage grossier qui en est réalisé pour disculper Alexandre Benalla.
    «Une démonstration de force»
    Mediapart révèle un ensemble de comptes structurés autour de @EnsembleEMacron, décrit comme «l’un des comptes les plus actifs de la sphère macroniste» qui serait «vraisemblablement tenu par plusieurs personnes» à en croire les données de connexion recueillies. 
    L’étude montre comment 14 des 20 comptes les plus actifs ce week-end du 29 mars appartiennent à la communauté LREM qui en comptabilise 4 626. 
    Le samedi 30 mars en fin d’après-midi, lors du meeting de Nathalie Loiseau, les 4 626 comptes fournissent 68% des retweets alors qu’ils ne représentent que 10% des comptes recensés grâce aux hashtags. 
    «Une démonstration de force» pour le chercheur, avec la volonté de créer un effet de masse. Il est néanmoins très difficile d’identifier les personnes se cachant derrière ces comptes.
    Le site d’investigation poursuit son analyse : «Cet usage des réseaux sociaux peut s’apparenter à une campagne d’astroturfing, décrit comme "le fait de simuler de manière artificielle un mouvement d’opinion en ligne".» 
    Romain Badouard, enseignant-chercheur à Paris II, confie à Mediapart : «Historiquement, l’intérêt des réseaux sociaux est de permettre des mouvements d’opinion spontanés. Chercher à reproduire, à simuler cette spontanéité, c’est ça l’astroturfing.» 
    Néanmoins, il est très difficile de confondre ces vrais faux comptes. 
    «Aujourd’hui, il existe à la fois des faux comptes administrés par des personnes réelles et des vrais comptes alimentés par des robots, ce qui rend leur détection quasi impossible», constate l’universitaire.
  • Grand débat : Macron, Blanquer et Castaner chutent dans les sondages

    Macron-Castaner.pngLe président et ses ministres semblent payer la mauvaise gestion du Grand débat national. 
    En avril, le gouvernement n’a pas la cote. Un sondage Ifop pour Paris Match et Sud Radio indique une nette baisse de sympathie pour Emmanuel Macron et certains de ses ministres, très exposés ces derniers temps.
    C’est Jean-Michel Blanquer qui perd le plus de terrain, et semble payer sa réforme sur l’école qui passe mal chez les enseignants. Crédité de 29% d’opinions favorables, le ministre de l’Education nationale perd neuf points par rapport au précédent sondage. Derrière lui, Emmanuel Macron lâche cinq points et culmine à 34% d’opinions favorables. La conséquence directe d’une mauvaise gestion du Grand débat national, malgré une hausse de sympathie à droite (+2). Les ministres François de Rugy, Marlène Schiappa et Christophe Castaner sont également sanctionnés dans ce sondage, perdant respectivement cinq, quatre et trois points. Au sein du gouvernement, seuls les ministres issus de la droite Edouard Philippe (46%, +2), Bruno Le Maire (43%, +3) et Gérald Darmanin (31%, +1) se maintiennent à flots.
    [...] 
    En savoir plus sur valeursactuelles.com 

  • Expulsion d’un violeur Kosovar : la Suisse épinglée par la Cour européenne des droits de l’Homme

     INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Une constante désormais : selon un arrêt du 9 avril de la Cour européenne des droits de l’homme, la Suisse aurait à nouveau violé l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) en ordonnant le renvoi d’un Kosovar condamné pour un viol commis en 2003. En cause ?

    L’intervention de cette condamnation douze ans après les faits. Les juges du Tribunal administratif fédéral auraient négligé de tenir compte de l’évolution du condamné, ainsi que des liens sociaux et familiaux qu’il entretenaient en Suisse et au Kosovo.

    Le présent arrêt de chambre peut encore faire l’objet d’un renvoi dans les trois mois devant la grande chambre de la Cour européenne des droits de l’homme.

    https://fr.novopress.info/214242/expulsion-dun-violeur-kosovar-la-suisse-epinglee-par-la-cour-europeenne-des-droits-de-lhomme/

  • La dissolution de Génération identitaire s’annonce compliquée : « Cela ferait peser un risque sur d’autres ONG ayant recours à des procédés similaires comme Greenpeace »

    Dissoudre Génération identitaire ? Selon des sources officielles consultées par Libération, le projet envisagé par le gouvernement est encore loin d’aboutir. Cette hypothèse a été évoquée la semaine dernière par la secrétaire d’Etat Christelle Dubos, après une intrusion de militants du mouvement d’extrême droite dans la caisse d’allocations familiales de Seine-Saint-Denis, à Bobigny. Ils avaient alors gagné le toit du bâtiment pour y déployer une banderole sur laquelle était écrit : «De l’argent pour les Français. Pas pour les étrangers !» Les militants avaient été délogés par la police après plusieurs heures d’occupation. La secrétaire d’Etat avait annoncé dans la foulée un rendez-vous avec ses collègues, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, et la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, «pour voir comment on peut dissoudre ce groupe».

    Créé en 2012, le mouvementdont le porte-parole Romain Espino sera auditionné jeudi à l’Assemblée par la commission d’enquête parlementaire sur la lutte contre les groupuscules d’extrême droite, milite contre «l’islamisation»«l’immigration massive», la «fracture ethnique» et le «métissage imposé». Ses actions – occupations de lieux publics, «sécurisation» du métro, patrouille anti-migrants dans les Alpes, à la frontière entre la France et l’Italie – visent à maximiser l’impact médiatique tout en minimisant le risque légal. Le groupe veut éviter le sort du groupuscule Unité radicale, dont il est un descendant indirect, dissous en 2002 après la tentative d’assassinat sur Jacques Chirac commise par l’un de ses sympathisants, le jeune Maxime Brunerie.

    «On pourrait quand même imaginer une dissolution pour de telles actions, mais on ferait alors peser un risque sur d’autres ONG ayant recours à des procédés similaires, comme Greenpeace», poursuit notre source. Une organisation écologiste dont Génération identitaire se flatte régulièrement d’avoir repris les méthodes pour les mettre au service de sa propre cause. Contacté par Libération, l’Intérieur confirme que le mouvement fait partie des groupes dont le ministère «analyse» la situation, mais ne se prononce pas sur la complexité juridique de son éventuelle dissolution.  (…)

    http://www.fdesouche.com/1190067-la-dissolution-de-generation-identitaire-sannonce-compliquee

  • Les vrais responsables des morts en Méditerranée, ce sont bien les passeurs, mais avec eux les ONG et certains gouvernements européens

    Les vrais responsables des morts en Méditerranée, ce sont bien les passeurs, mais avec eux les ONG et certains gouvernements européens

    Lu dans Les 4 Vérités :

  • Les complotistes bruxellois dans tous leurs états

    La_Verite_sortant_du_puits.jpgEuractiv rapportait ce début de semaine que  « plus de 80 représentants des gouvernements européens, ainsi que des observateurs du Parlement, de la Commission et de l’Agence européenne pour la cybersécurité, l’ENISA, ont participé à (un) exercice cybersécuritaire(le) 5 avril. Premier test de ce type, il visait à analyser les moyens de prévenir, détecter et atténuer rapidement les incidents liés à la cybersécurité. Rainer Wieland, vice-président du Parlement européen et eurodéputé allemand du PPE (s’est inquiété) de la fiabilité des prochaines élections si la cybersécurité était compromise.  Une cyberattaque contre les élections pourrait saper de façon dramatique la légitimité de nos institutions », a-t-il dit. « La légitimité des élections repose sur l’idée que nous pouvons avoir confiance en leurs résultats. » Pour autant, est-il rappelé,  « Les systèmes de vote par Internet ne seront utilisés qu’en Estonie pour ce scrutin. » « L’Irlande a  abandonné un projet visant à introduire le vote électronique »,  « les Pays-Bas ont abandonné le vote électronique en 2007, après un battage médiatique sur les questions de sécurité, suivis deux ans plus tard par l’Allemagne, suite à un jugement de la Cour constitutionnelle fédérale prononçant inconstitutionnel le vote électronique, citant notamment des niveaux élevés de méfiance du public. » Pour ce qui est des électeurs français, l’« élan  (vers le vote électronique) a été freiné en 2017, après que le piratage des réseaux du Comité national démocrate pendant la campagne présidentielle d’Hilary Clinton aux États-Unis a suscité des craintes similaires en France… ».

    A ce vœu (bien légitime en soi) d’instaurer une cybersécurité respectant le choix des électeurs, s’ajoute l’appel  réitéré  à la sacro-sainte croisade  contre les infox, fake news et autre fausses nouvelles parano-complotistes, qui menaceraient de fausser le jugement des Européens. Et comme à chaque fois les fourbes, les odieux qui manœuvreraient   pour corrompre  les (faibles d’) esprits  agiraient dans l’ombre et l’orbite de la Russie poutinienne. C’est ce que rapporte en tout cas  un article de Ouest-France,  publié en lien avec Euractiv, convoquant à l’appui  de  ce scénario d’impeccables témoins de moralité… «  Les « fake news » est-il écrit,  « vont-elles troubler la campagne des élections européennes comme elles l’ont fait avec celle du référendum du Brexit ou de l’élection de Donald Trump ? C’est la grande angoisse des autorités européennes, convaincues que Moscou se cache derrière ce  fléau ».

    « Il y a des forces extérieures anti-européennes, qui cherchent à influencer les choix démocratiques des Européens  a mis en garde le président du Conseil européen  Donald Tusk (…) ». « Certains responsables identifient sans détour Moscou comme le chef d’orchestre de tentatives de manipulation de l’opinion à coups d’infox :  Il y a des preuves désignant la Russie comme la source principale de ces campagnes , a affirmé l’un des vice-présidents de la Commission Andrus Ansip.  (…) Dans le domaine des infox,  les nouvelles technologies avancent extrêmement rapidement, s’est inquiétée la commissaire au numérique,  Mariya Gabriel, qui appelle donc l’UE à  redoubler d’efforts ».  Redoubler d’efforts  pour accréditer l’idée, que l’on pourrait juger elle-même très complotiste,  que toute remise en cause du progressisme bruxellois relève du mensonge. En effet,  insiste cet article, « de  l’immigration à la corruption des élites, en passant par des complots de toutes sortes, les infox ont des thèmes de prédilection souvent en phase avec ceux des mouvements dits populistes ou d’extrême droite. Elles surfent sur la viralité sur internet des contenus à sensation comme sur la défiance ambiante à l’égard des institutions et des médias. »

    Dans ce climat de parano hargneuse qui gagne le camp  des adversaires de l‘Europe des  souverainetés et des identités nationales, certains crient encore plus fort que d’autres : « L’Europe est en feu, et les plateformes de médias sociaux apportent des pistolets à eau pour combattre les flammes , accuse l’ONG Avaaz, qui appelle Bruxelles à des mesures contraignantes. Facebook, ébranlé par l’affaire Cambridge Analytica et critiqué pour son rôle dans la propagation des infox, y semble disposé.  Je suis convaincu que les gouvernements et les régulateurs doivent jouer un rôle plus actif , a écrit son patron Mark Zuckerberg dans une tribune publiée fin mars dans des journaux du monde entier. »

    « Tandis que certains pays, comme la France, ont décidé de légiférer, la Commission privilégie pour l’heure le dialogue avec les géants d’internet. Avec notamment son  Code de bonnes pratiques signé à l’automne 2018 par Facebook, Google et Twitter. » Ouvrons ici une parenthèse pour rappeler que dans sa lutte contre le « complotisme »,  Emmanuel Macron, constate Bruno Gollnisch,  s’est appliqué une nouvelle fois à mettre ses pas dans ceux de François Hollande. C’est ce dernier qui commanda à Rudy Reichstadt en 2015, créateur d’un ubuesque Observatoire du complotisme , et aujourd’hui membre de la Fondation Jean Jaurès, un rapport sur les complotistes. A la lecture de celui-ci on pouvait comprendre qu’être eurosceptique ou contester le bien fondé de  la  loi dite Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973  qui a placé l’Etat français sous l’emprise financière directe des banques privées, faisait de vous un parano à tendance antisémite  ou un antisémite à tendance complotiste, au choix !

    « À Bruxelles, indique encore Ouest-France, une institution liée à la Commission européenne, le Service européen pour l’action extérieure (SEAE), s’est lancée elle-même dans la bataille (…). Leur site EU vs desinformation affirme avoir déjà démonté plus de 5 000 fausses informations, principalement liées à la Russie. Mais les moyens de cette cellule restent modestes, et sa démarche suscite des doutes. » « Pour que les pays de l’UE fassent bloc, la Commission a tracé des lignes directrices, les appelant notamment à soutenir le journalisme de qualité ou encore à collaborer avec des fact-checkers  (vérificateurs de faits) indépendants. » Concrètement, dix-neuf médias  venant  de treize pays européens participent au projet collaboratif  eurobruxellois de lutte contre les fake news , baptise Fact Check EU. Ils ont signé la charte  de l’International Fact-Checking Network (IFCN) ou Réseau international de fact-checking.

    Ce projet rapporte Le Monde, a été lancé « à l’initiative de l’IFCN en toute indépendance des institutions européennes et de toute autre entité gouvernementale. La plateforme en elle-même a été financée par l’IFCN et développée par Libération et l’agence Datagif. Elle a également reçu des financements de la Google News Initiative et de l’Open Society for Initiative for Europe »… une des structures  appartenant au  trouble milliardaire  mondialiste George Soros. Au nombre des médias français collaborant à ce projet, figurent des parangons d’impartialité, d’objectivité et de rigueur que sont Fake Off de 20 minutesAFP FactuelCheck News de Libération,  Les Observateurs de France 24,Les Décodeurs du Monde…

    Les Décodeursnous l’avions écrit,  sont la matérialisation du Decodex financé par le « Fonds Google » à hauteur de plusieurs dizaines de milliers d’euros. Un outil qui distribue bons et mauvais points aux sites d’informations, selon des  critères souvent extrêmement partiaux et biaisés, faisant la part belle au respect ou non, du catéchisme progressiste, de la doxa officielle et de sa propagande. Comme  le soulignait  alors Laurent Berruyer sur son blogue Les Crises, le « service de vérification des faits (du Monde) ne pouvait qu’aboutir à sa transformation insidieuse en une sorte de Ministère de la Vérité qui prétend dire le Vrai.»  Dans les faits,  «une Police de la pensée, car toute autorité prétendant dire le Vrai ne peut accepter de voir son autorité remise en question, dans le cas où des personnes persistent volontairement dans l’erreur. Un tel Pouvoir constitué est donc toujours tenté d’abuser de ses prérogatives.» Un constat qu’il est loisible d’étendre plus largement aux agissements de la technostructure eurobruxelloise.

    https://gollnisch.com/2019/04/10/les-complotistes-bruxellois-dans-tous-leurs-etats/

  • ONU, UE et médias de gauche accusés « d’organiser un changement de population » en Europe

    Le ministre des Affaires étrangères du gouvernement hongrois, Péter Szijjártó, a accusé vendredi dernier, lors du lancement officiel du programme électoral du Fidesz pour les élections européennes, les institutions mondialistes, ONU et UE, d’organiser, avec la complicité des médias du système, « un changement de population » en Europe selon un « plan mondial » favorisant l’arrivée de clandestins sur le Vieux Continent.

    Il a par ailleurs félicité son pays, la Hongrie, d’avoir refuser de signer le Pacte Mondial sur les migration, moyen mis en place par l’ONU pour légaliser l’immigration illégale.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/onu-ue-et-medias-de-gauche-accuses-dorganiser-un-changement-de-population-en-europe/107177/