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anti-national - Page 413

  • Exclusif ! Un nouveau complot lepéniste déjoué ?

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    Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

    L’heure est grave et la République en danger. Certes, il y a les incidents du Bataclan et de Charlie Hebdo, les problèmes rencontrés par le père Hamel et le gendarme Beltrame, sans oublier quelques autres faits divers de même acabit. Mais allons plutôt à l’essentiel : ces ennemis de la démocratie et de la bonne humeur qui, dans l’ombre, fourbissent leurs funestes projets ; au premier rang desquels, évidemment, un certain Jean-Marie Le Pen.

    Rappelons les faits : lors de l’incendie ayant ravagé son nid d’aigle de Rueil-Malmaison en janvier 2015, les pompiers, n’écoutant que leur courage insensé et les voix humanistes les appelant, en leur for intérieur, à discerner les véritables périls, ont donc, au lieu d’éteindre les flammes, déniché une arme de destruction massive dans le repaire de l’infâme. Soit un fusil de chasse que son épouse tenait de son premier et défunt mari. Déjà, ces premières preuves sont accablantes.

    Mais c’est ensuite qu’elles deviennent irréfutables. Lors d’une perquisition dans le Parc de Montretout, relative à des « emplois fictifs » présumés au Parlement européen, d’intrépides policiers font une découverte autrement plus alarmante, celle de deux armes de poing. La possession de la première est parfaitement légale – en tant que personnalité menacée, l’ogre de Saint-Cloud détient un port d’armes. Celle de la seconde est encore plus intrigante, ayant paraît-il été offerte par un ancien patron des services de renseignement français. D’ignobles subterfuges qui, heureusement, ne trompent personne.

    Quoi qu’il en soit, voilà bien la preuve que le complot est fort de ramifications tissant leur toile dans un filet remontant au plus haut sommet de la tête de l’État. Une chance que les autorités judiciaires, garantes de nos institutions, n’aient pas hésité à convoquer le factieux avant qu’il ne soit trop tard, ce jeudi 11 avril. Il va sans dire que le présumé coupable ne s’est pas rendu à la convocation, croyant peut-être à un tardif 1er avril relayé par les réseaux médiatico-ploutocratiques. Un indice de plus. Bref, l’étau se resserre et les ennemis du vivre ensemble n’ont plus qu’à bien se tenir.

    À l’heure où ces mots sont mis en ligne, d’autres arrestations du proche entourage lepéniste ne sauraient tarder. Son attaché de presse aurait été surpris avec un coupe-papier et son jardinier avec un sécateur. Quant à Jany, son épouse et âme damnée, elle devrait tôt s’expliquer de la possession illégale d’une pince à épiler et d’un fer à friser. Le complot semble donc avoir pour le moment avorté, étouffé dans l’œuf par des juges courageux et des forces de l’ordre prêtes à tous les sacrifices pour préserver la quiétude de notre démocratie apaisée.

    Heureusement que ces « belles personnes » veillent, dans l’ombre, face aux menées sournoises de ces forces ténébreuses, immanquablement promptes à téléguider des coups bas venus de haut. En attendant, il paraît que prisons et tribunaux seraient surchargés. Encore une « fake news »visant à nous faire perdre de vue l’essentiel : la sauvegarde du vrai et du beau, du bon et du bien. Et c’est aussi pour ça que nous pouvons nous montrer si fiers d’être Français en France.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Islam en France : bienvenue chez les fous

    Islam en France : bienvenue chez les fous

    Eric Zemmour dans Le Figaro magazine :

  • Grand bla-bla : une contribution sur deux a été… oubliée

    Grand bla-bla : une contribution sur deux a été… oubliée

    Lu ici :

    la moitié des contributions des Français n’ont pas été analysées pour la restitution du grand débat. Parce qu’ils n’ont pas été numérisés à temps par la Bibliothèque nationale de France (BNF) et parce que n’ont été pris en compte qu’une partie des cahiers citoyens, des comptes rendus des réunions d’initiative locale et des lettres envoyées à la mission du grand débat. Mais, pour ne pas gâcher la fête, ni le gouvernement, ni les garants, ni les prestataires ne l’ont avoué ce lundi, lors de la séance de restitution. De la même façon qu’ils n’ont pas dit que la moitié des textes rédigés sur la plateforme en ligne sont des copier-coller des mêmes remarques, ce qu’a mis au jour Le Monde. Conjuguées, ces deux informations invalident totalement les résultats qui circulent depuis quarante-huit heures sur ce que désirent les Français qui ont participé à cette consultation.

    Cette révélation, nous l’avons obtenue par hasard, en discutant avec un membre de l’équipe choisie par le gouvernement pour mener l’analyse des contributions libres (le consortium composé des entreprises Roland Berger, Cognito et Bluenove). Nous lui demandions si son travail était fini. Il nous a alors lâché que non, qu’il y avait encore des contributions à analyser […]

    Seulement 5 058 contributions ont été étudiées sur les 16 874 que la Bibliothèque nationale de France a numérisées. 5 481 réunions d’initiatives locales ont été étudiées sur les 9 454 restituées, et 13 644 cahiers sur les 18 647 recensés. 24 183 documents ont été traités alors que 44 975 ont été numérisés, ce qui représente 53,8%. Un chiffre à nuancer puisque 680 comptes-rendus de réunions n’ont pas été transmis à la mission du Grand débat. La restitution du grand débat, avant les annonces d’Emmanuel Macron, n’a donc pas respecté la promesse de tenir compte de la parole de « tous les Français ».

    https://www.lesalonbeige.fr/grand-bla-bla-une-contribution-sur-deux-a-ete-oubliee/

  • Julian Assange : lanceur d’alerte en danger – Journal du vendredi 12 avril 2019

    Julian Assange : lanceur d’alerte en danger

    Réfugié depuis 2012 dans l’ambassade d’Equateur à Londres, le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, a été arrêté jeudi après la révocation de son asile politique. Alors qu’il pourrait être extradé vers les Etats-Unis, son arrestation a provoqué une levée de boucliers pour défendre la liberté de la presse.

    Un acte 22 des Gilets Jaunes sous le signe de la répression

    Malgré l’entrée en vigueur de la loi anti-casseurs, les Gilets Jaunes vont une nouvelle fois battre le pavé samedi pour un acte 22. Si le mouvement a connu un coup de mou la semaine passée, de nombreux mécontents restent déterminés partout en France.

    Unplanned : le succès du cinéma alternatif étasunien

    Alors que la remise en cause de l’avortement est en passe d’être interdite en France, les États-Unis voient entrer un film pro-vie dans le top 5 au box-office. Retour sur la « success story » d’Unplanned, « Imprévu » en français.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/julian-assange-lanceur-dalerte-en-danger-journal-du-vendredi-12-avril-2019

  • Migrants en Méditerranée : Castaner reconnait à son tour la complicité de certaines ONG avec les passeurs (MàJ)

    08/04/19

    (…) Le ministre français reprend une critique apparue en 2017 dans le sillage d’un rapport de Frontex. «Depuis juin 2016, un nombre important de bateaux ont été interceptés ou secourus par des navires des ONG sans appel de détresse préalable et sans informations sur le lieu de sauvetage», s’étonnait l’agence européenne de contrôle des frontières. Dans ce même document, Frontex déclarait que les passeurs équipaient désormais les migrants de téléphones satellitaires pour alerter les secours une fois en mer, mais il n’était pas question de contacts téléphoniques entre passeurs et ONG. «Toutes les parties impliquées dans les opérations de recherche et de sauvetage en Méditerranée centrale aident involontairement les criminels à atteindre leurs objectifs à un coût minimum», reconnaissaient plus largement les auteurs du rapport.

    (…) Le Figaro

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  • En marche vers le meilleur des mondes

    caspar-david-friedrich.jpgNous rappelions le 5 avril dernier le sort  indigne réservé à Julian Assange et les risques pesant sur lui,  amplifiés depuis par  les ennuis judiciaires  et le départ de la présidence de  l’Equateur de Rafael Correa  (dans le viseur de Washington). Le fondateur de  Wikileaks a été arrêté hier à Londres où il avait trouvé asile depuis 2012 au sein de l’ambassade d’Equateur.  Il doit désormais tenter d’échapper à son extradition vers les Etats-Unis. L‘Europe libre, courageuse,  souveraine et respectueuse des droits de l’homme dans toute sa splendeur… De lâcheté, de soumission, il était encore question fin mars  avec les manœuvres contre la représentation d’une pièce d’Eschyle,  Les suppliantes,  à la Sorbonne. Pierre Jourde, écrivain, universitaire et homme de gauche (mais un homme qui aime Julien Gracq, Borges et Tolkien ne peut pas être foncièrement mauvais!) a bien résumé dans une tribune publiée sur son blogue et reprise par l‘Obs,  le malaise des progressistes devant la montée en puissance des communautarismes qu’ils soient  religieux ou comme ici ethniques et raciaux.

    «Un petit groupe de nervis écrivait M. Jourde,  fait irruption dans une université et, par la force, fait interdire la représentation d’une pièce de l’antiquité grecque. Berlin 1934 ? Pékin 1966 ? Pas du tout, Paris, 2019. On en est là (…). L’UNEF et le CRAN (Conseil représentatif des institutions noires de France de Louis Georges Tin, NDLR),  ont réussi à empêcher, par la force, la représentation d’une pièce d’Eschyle à la Sorbonne, au prétexte que les acteurs se mettaient du noir sur le visage. Et donc, c’est, forcément, du racisme et du blackface. On voit l’intelligence du raisonnement. Mais ne nous y trompons pas : nous entrons dans une ère où ces groupuscules de fanatiques et d’imbéciles incultes feront sans cesse pression sur l’art et la culture, au nom d’un antiracisme qui est devenu le slogan creux de toutes les pressions et de toutes les interdictions, et surtout le prétexte à des organisations ultra-minoritaires pour faire leur publicité et imposer leur petit pouvoir. Honte à une organisation d’étudiants comme l’UNEF, qui se déconsidère en s’opposant à la littérature et à la culture.»

    Le CRAN  affirme Pierre Jourde, « ridiculise et déconsidère le combat antiraciste», «s’est plusieurs fois signalé par son opposition à la culture. En militant par exemple contre une épreuve de culture générale aux concours administratifs, au motif que cela défavoriserait les Noirs». «Le CRAN, c’est moins la lutte pour les Noirs que la lutte pour l’obscurantisme.» «J’attends de gens comme Michel Wievorka ou Pap Ndiaye, censés être des intellectuels, et qui siègent ou ont siégé dans les instances du CRAN, qu’ils se désolidarisent publiquement de ce groupe spécialisé dans le terrorisme intellectuel. Mais je crains de devoir attendre longtemps» ajoute-t-il,  avant  de régler leur compte au passage aux harceleurs et Tartufe  Tariq Ramadan  et Yacine Belattar, aux  Rokhaya Diallo et autres  Indigènes  de la république , aux cultureux de gauche qui soutiennent encore le  criminel de droit commun Battisti

    Ce CRAN, dont nous avons déjà pointé ici les délirantes exigences mémorielles et culpabilisatrices , officine financée notamment par les philantropes yankees de la banque JP Morgan, n’en rate effectivement pas une. Leur bêtise prêterait même à rire si  celle-ci n’était pas en fait  si dangereuse.   Une nouvelle illustration en a été apportée par un communiqué  en date du 5 avril  dans lequel il est rapporté que  «dans le couloir qui mène à l’hémicycle (de  l’Assemblée nationale)  il y a bel et bien une fresque reprenant l’imagerie coloniale et le style de Tintin au Congo. » Une découverte stupéfiante  qui a été faite  par Mame-Fatou Diang,  «une lanceuse d’alerte» , à l’origine d’ une pétition pour que l’objet du délit   soit éradiqué. Cette représentation dépeint « l’Histoire de l’Assemblée Nationale  sur plus de 40 mètres, et une partie de l’œuvre représente l’abolition de l’esclavage sur près de 10 mètres. Deux visages noirs apparaissent, yeux écarquillés, lèvres énormes, dans la  grande  tradition de  Ya Bon Banania ».« L’œuvre a été peinte en 1991, par Hervé di Rosa», certes progressiste et antiraciste  mais  «  que répondre aux nombreux élèves confrontées à l’imaginaire colonial quand ils visitent ce lieu ? (…) du point de vue de la réception, l’effet est calamiteux. Des noirs esclaves libérés, présentés avec les codes ordinairement utilisés par l’imaginaire colonial ne sauraient trouver leur place à l’Assemblée Nationale.»

    Une question ethnique qui hante aussi , de manière différente, « le premier député issu de l’immigration comorienne », Saïd Ahamada, élus des quartiers Nord de Marseille,  militant anti FN, ancien  d’EELV, du Modem, qui a rejoint le parti macroniste (il est porte-parole de LREM à l’Assemblée)  pour se faire élire. Dans le cadre de la «synthèse du Grand débat national​ organisé dans les quartiers prioritaires»  rapportait 20 minutes, M. Ahmada  a expliqué que malgré les sommes astronomiques ponctionnées  aux Français ces dernières décennies, les quartiers pluriels  du vivre-ensemble manquaient  de tout.  Leurs habitants ont   la sensation d’être des « Français de seconde classe », il faudrait donc  encore intensifier les efforts financiers. .«Dans un territoire sans service public,  dit-il, il y a une forme d’entre soi, et c’est eux-mêmes (les résidents de ces quartiers, NDLR)  qui se créent leurs propres règles. Ces territoires ont besoin de l’Etat, de services publics, pour être insérés dans la société. C’est aussi pour cela que des mères de famille demandent des têtes blondes dans les écoles. »

    C’est surtout  parce que ces quartiers sont de moins en moins Français,  que   les têtes blondes, quand elles en ont les moyens et la possibilité, fuient vers des endroits  où les  familles françaises sont encore majoritaires.  Toutes choses que ce député LREM ne peut ignorerIl devrait savoir aussi que c’est la poursuite des flux migratoires à haut débit, le maintien des pompes aspirantes de l’immigration,  qui rendent  le problème insoluble. Entre 1989 et 2012, 90 milliards d’euros ont été engloutis pour le seul volet de la  politique immigrationniste,  dite de la ville,  avec des résultats désastreux: une hausse constante de l’insécurité, du chômage, des trafics ,de l’idéologie salafiste et/ou de son hybridation islamo-racailleuse anti-française. Xavier Raufer le notait déjà en 2010: «la politique de la ville telle qu’elle est conçue aujourd’hui (association de l’idéologie et de la bureaucratie), ne peut qu’échouer du fait même qu’elle constitue le désolant fantôme, l’affreux remake de l’agriculture soviétique (…) Nul, droite ou gauche, n’a jamais fait qu’ajouter couche sur couche à ce ruineux millefeuille bureaucratique, nuisible à l’objet même de ladite politique : paix sociale, tranquillité des habitants, retour des emplois. »

    Lâcheté, démission et soumission, encore et toujours, de nos dirigeants, illustrées  dans le dernier livre de Christian Chesnot et Georges MalbrunotQatar Papers. Une  nouvelle enquête  révélant des documents confidentiels  sur les menées prosélytes  du Qatar en France et en  Europe pour enraciner, via Qatar Charity, la plus puissante ONG de l’émirat (très introduite au sein des institutions  des Nations unies) ,  le mouvement des Frères musulmans, notamment dans les quartiers prioritaires décrits plus haut.

    Si l’organisation des  Frères musulmans  est classée depuis 2003 en Russie comme organisation terroriste, le livre de MM. Chesnot et Malbrunot,  dévoile implicitement l’angélisme, le clientélisme ou le choix délibéré  de la classe politicienne de fermer les yeux  devant cette offensive idéologique. Celle-ci prend entre autre   la forme du financement de 140 projets de constructions de madrasas (écoles coraniques), mosquées et autres centres culturels et  éducatifs, d’aides à des associations  mahométanes…

    Est-ce  en s’appuyant sur ses autres philantropes là que les partis du Système entendent maintenir la paix civileUne colonisation des esprits et des âmes, répétons-le, rendue possible par la colonisation démographique, laquelle permet aussi, hélas, dans un autre registre, les délires  communautaristes-racialistes contre l’autochtone gaulois sommé de se soumettre, de baisser la tête…et de faire de la place. Voilà le résultat de cinquante  ans de masochisme européen, d’effondrement spirituel, culturel.  Voilà le résultat de quarante ans d’immigration massive au nom du    progressisme droite-gauche,  du vivre-ensemble, de la tolérance,  de l’apologie des sociétés ouvertes. Comment Emmanuel Macron, Angela Merkel, Theresa May ou Jean-Claude Juncker expliqueront-ils demain cette situation à leurs enfants et petits-enfants? Ah oui, c’est vrai, ils n’en ont pas…

    https://gollnisch.com/2019/04/12/en-marche-vers-le-meilleur-des-mondes/

  • La persécution politique de Génération Identitaire continue !

  • Jean-Luc Mélenchon va désormais avoir du mal à critiquer la famille Le Pen

    Jean-Luc Mélenchon va désormais avoir du mal à critiquer la famille Le Pen

    Quatre parents ou proches de Mélenchon et Aubry figurent bien sur la liste de LFI, et le site du parti n’indique pas ces liens :

    Le gendre de Jean-Luc Mélenchon, Gabriel Amard, est bien présent sur la liste, en huitième position. Benoît Schneckenburger, qui a été garde du corps de Jean-Luc Mélenchon, se trouve en douzième position. Pascale Le Néouannic, l’ex-compagne du député LFI, est en treizième position. A la 59e position, une position non éligible, se trouve Catherine Poggi Aubry, la mère de Manon Aubry. Mais les portraits des quatre militants sur le site du parti ne mentionnent pas ces liens.

    Déjà en 2017 dans Capital, il lui avait été reproché d’avoir fait embaucher sa fille au Conseil général de l’Essone en 2009 :

    Pour son vieil ennemi Christian Schoettl, élu de l’Essonne, le candidat de «La France insoumise» est pourtant loin d’être irréprochable en la matière (…)

    Capital : Vous ne partagez donc pas la conviction de Jean-Luc Mélenchon, selon qui la droite mériterait d’avoir un candidat «plus présentable» que François Fillon ?

    Quand je l’ai entendu, le 1er mars, déclarer depuis Concarneau, dans le Finistère, que les électeurs de droite «auraient le droit d’avoir un candidat qui puisse être présentable», j’ai pensé qu’il avait perdu la mémoire ou qu’il avait un sacré culot. Alors, on va lui faire une piqûre de rappel, et lui parler de sa propre désinvolture. Parce qu’en décembre 2009, c’est sa fille Maryline qu’il a fait embaucher par le conseil général de l’Essonne (…)

    Capital : Et pourquoi n’aurait-il eu pas le droit de le faire ?

    Mais parce qu’elle n’a pas été embauchée comme collaboratrice du groupe socialiste au conseil général. Là, le recrutement aurait été à la discrétion du politique, comme pour les attachés parlementaires d’un député. Mais en 2009, c’est en tant qu’agent administratif que Maryline Mélenchon a été engagée. Pour réaliser ce recrutement, la collectivité territoriale devait respecter les règles, notamment d’impartialité, qui s’appliquent à toute la fonction publique. Quand une administration a un poste vacant, elle doit publier une offre d’emploi, recevoir les candidats et recruter le plus compétent, sans bien sûr se préoccuper de savoir quelle est son appartenance politique. Or, à l’issue de cette procédure de recrutement, qui voit-on arriver à un poste de «chargée de coopération» ? La fille d’un ancien vice-président du conseil général, par ailleurs toujours sénateur de l’Essonne. La fille de l’ami des présidents socialistes successifs du conseil général – à l’époque, c’est Michel Berson qui est à sa tête. Vous avouerez que c’est quand même une étrange coïncidence. D’autant plus étrange, que ce n’est pas la première.

    Capital : Vous voulez dire que ce n’est pas la première fois que Maryline est embauchée grâce à son père ?

    Son premier job, elle le décroche comme agent administratif à la mairie de Viry-Châtillon, toujours dans l’Essonne. On est en 1998 et elle a 24 ans. Son père est déjà vice-président du Conseil général. C’est, avec Julien Dray, l’un des leaders de la Gauche socialiste, un courant du PS qui entraine dans son sillage pas mal d’élus de l’Essonne. Justement, le lieutenant de Jean-Luc Mélenchon s’appelle Gabriel Amard, et c’est le maire de Viry-Châtillon. Mieux : on le surnomme «monsieur gendre», parce qu’il est le compagnon de Maryline. Si ce n’est pas du favoritisme, je voudrais qu’on me dise ce que c’est.

    https://www.lesalonbeige.fr/jean-luc-melenchon-va-desormais-avoir-du-mal-a-critiquer-la-famille-le-pen/

  • Commission parlementaire « extrême droite » : auditions publiques pour les accusateurs, huis clos pour les accusés !

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    Depuis le 23 janvier 2019, et jusqu'au 16 mai prochain, se tient une curieuse commission d'enquête contre de supposées violences des groupes d'extrême droite, à la demande de Jean-Luc Mélenchon. Cette commission est présidée par Mademoiselle Muriel Ressiguier, député des Insoumis de l'Hérault. Elle devait conclure ses travaux le 16 mai, et rendre son rapport le 11 juin.

    Communiqué commun de la Ligue du Midi, de Vigilance Halal, de Riposte laïque et de Résistance républicaine :

    Nous avons appris, par une fuite du Figaro, qui n'a pas été démentie, que nos responsables devaient faire partie des personnalités auditionnées. Pourtant, nous ne nous reconnaissons absolument pas dans cette définition donnée par les députés : « Tous ces groupes ont en commun la violence, l’incitation à la haine raciale, homophobe et sexiste. Ils agressent des couples, des cyclistes, des passant-e-s, des étudiant-e-s pour leurs opinions, leur orientation sexuelle ou leur origine. Ils agressent, insultent, intimident, menacent de simples citoyen-ne-s mais aussi des élu-e-s de la Nation ».

    Nous y verrions plutôt les pratiques des groupes d'extrême gauche, antifas ou Black Blocs, qui ont multiplié, à l'occasion du mouvement des Gilets jaunes, les actes de vandalisme contre des symboles qui leur déplaisent, des agressions contre des journalistes, des librairies ou des opposants politiques, ainsi que des violences graves contre les forces de l'ordre, ce qui ne paraît pas émouvoir le chef des Insoumis, ni Mademoiselle Ressiguier.

    À quelques jours de leur éventuelle audition par la Commission d’enquête, les personnalités et leaders des groupes visés, n’ont toujours reçu aucune notification. Par conséquent, en fonction de leur éloignement ou de leur emploi du temps déjà engagé, certains d’entre eux pourraient avoir à demander des reports d’audience.

    Par ailleurs, si aucun texte ne précise les conditions permettant de décréter le huis clos en commission, il semble pourtant que les règles constantes du droit commun, ainsi que l’usage, commandent d’en justifier l’emploi.

    Les parlementaires voudront bien se demander pourquoi Madame HERVOUËT, présidente d’une association immigrationniste - dont les curieuses pratiques ont été épinglées par le conseil départemental socialiste de l’Hérault - a été auditionnée à huis clos alors qu’elle était là en infraction totale avec le principe de séparation des pouvoirs ; pourtant, dans le même temps cette disposition a été refusée à Monsieur BATTESTI, président de Facebook, qui la demandait, terrorisé par les menaces induites par la Présidente.

    Pareillement, on se demandera ce qui justifie le huis clos pour les auditions de Messieurs Fabrice ROBERT et Romain ESPINO, animateurs de mouvances identitaires, convoqués ce jeudi 11 avril. Ce refus du principe du « contradictoire » n’est pas sans rappeler les pratiques d’autres pays, d’autres époques et d’autres mœurs.

    De notre point de vue, aucune raison réelle et sérieuse ne justifie le huis clos pour les personnalités et leaders des groupes visés ; sinon celle de leur fermer la tribune qui leur est due et d’occulter aux yeux du public les éléments qu’ils pourraient faire valoir en défense ; alors que tous les éléments à charge les concernant ont été largement rendus publics et de manière tendancieuse et très exagérée ; parfois même en infraction avec le principe de séparation des pouvoirs.

    Les parlementaires devraient s’interroger sur le sens de ces manœuvres arbitraires qui n’ont d’autre but que de nous bâillonner et de présenter au public un seul son de cloche : démarche publique résolument à charge d’un côté, interdiction de publicité de notre défense de l’autre. Ce déséquilibre est inadmissible dans un état de Droit, surtout émanant du pouvoir législatif.

    En conclusion de tout ce qui précède, les signataires entendent, si leur convocation était confirmée, se présenter à un débat public, équilibré et contradictoire.

    Par conséquent, ils demandent la levée du huis clos en ce qui les concerne, et à défaut, qu’en soient publiquement justifiées les raisons dès avant leur audition.

    Montpellier, le 9 avril 2019

  • On a les gauchistes les plus cons du monde, mais aussi les plus nuisibles

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    Riposte laïque cliquez ici

    On a souvent dit que la France avait la droite la plus bête du monde. Ce n’est pas faux, car il faut être sacrément crétin pour être tombé, comme l’ensemble des chefs de cette mouvance, depuis les années 1985, dans le piège que lui a tendu avec machiavélisme François Mitterrand. Ce vieux renard politicien a réussi à interdire à la droite de faire des alliances avec le Front national, tout en s’autorisant tous les accords avec le PCF et l’extrême gauche trotskiste. Résultat, bien que largement minoritaire, la gauche a gagné nombre d’élections qu’elle aurait dû perdre.

    Dans un autre registre de stupidité, on a assisté à la première confrontation entre les douze têtes de listes aux Européennes. Et on a écouté Raphaël Glucksmann, que les socialauds ont mis en tête pour mieux dissimuler leur naufrage, l’écolo Yannick Jadot, l’Insoumise Manon Aubry, le coco Ian Brossat et Benoit Hamon, de Génération.s (défense de rigoler). C’était grotesque. Ces charlots étaient d’accord sur l’essentiel : urgence de la transition écologique, obligation de continuer la submersion migratoire, soumission à l’islam, négation de toute question identitaire, nécessité de rester dans l’Union européenne, pour la changer de l’intérieur.

    Il n’ont même pas réussi à voler dans les plumes de Nathalie Loiseau, car, à part la question sociale, qui leur sert à se différencier de Macron, ils sont d’accord avec lui sur ces questions essentielles. Ils avaient tout ce qu’il fallait pour faire une liste commune, qui s’appuyant sur l’impopularité de l’équipe présidentielle, aurait pu réussir un bon score.

    Mais ils ont choisi de jouer chacun leur partition, pour pouvoir exister. Les réveils vont être douloureux, quand on sait qu’il faut atteindre 3 % des voix pour être remboursé, et 5 % pour avoir des élus, qui donnent des moyens organisationnels (autrement dit des sous) aux postulants. Sans risque de grosse erreur, on peut considérer que Brossat va rester à 1 %, ce ne sont pas les stupidités qu’il a racontées sur les avions qu’il convient de réserver aux seuls riches qui vont l’aider. Benoît Hamon, que nous avions surnommé Bilal pour sa course au vote musulman, aura également bien du mal à atteindre les 3 %, et comme il n’intéresse pas grand monde, son avenir politique est assombri, il va peut-être devoir travailler pour la première fois de sa vie, à 51 ans, et ne pas vivre que de la politique…

    Reste Glucksmann, cache-sexe du PS moribond. Pour lui aussi, le réveil va être difficile, et s’il va dépasser les 3 %, la barre des 5 % est loin d’être garantie. Il n’est pas certain que ces grandiloquentes déclarations d’amour à l’Europe ne soient très payantes.

    Les Insoumis, avec la médiocre caricature haineuse Manon Aubry, seront bien sûr fort éloignés des scores que seule la personnalité de Mélenchon leur permettait d’atteindre aux Européennes. Tel que cela est parti, ils risquent de plafonner à 7 %, ce qui leur permettra quand même d’envoyer à Bruxelles tous les tocards qu’ils n’ont pas réussi à faire élire au Palais Bourbon, et d’avoir quelques moyens supplémentaires.

    Quant aux écolos, avec toute la propagande faite sur l’urgence climatique, il devrait se trouver les habituels crétins qui, à l’occasion des Européennes, se disent qu’effectivement, il faut qu’on défende la planète, et donc que le vote écolo s’impose. Bien que discrédités nationalement, ils sont bien capables d’atteindre les 10 %, ces imposteurs !

    Mais la nuisance de la mouvance gauchiste s’exerce dans nombre d’autres secteurs, bien plus importants que les élections. Elle s’exerce d’abord dans la rue, où les Antifas et les Black Blocs sont les véritables milices du régime, interdisant d’expression la mouvance patriote, qu’elle peut agresser avec une totale impunité. À notre connaissance, ceux qui ont frappé à dix contre un le journaliste Vincent Lapierre à Toulouse, bien que connus, n’ont pas encore été arrêtés. Pas davantage ceux qui ont essayé de vandaliser la Nouvelle Librairie, dans le Quartier Latin. Ces milices ont été indispensables à Macron-Castaner pour pourrir de l’intérieur, sur Paris essentiellement, le mouvement des Gilets jaunes. Travail complété par l’infiltration de gauche et d’extrême gauche, qui ont noyauté le mouvement, l’enfermant dans les seules revendications sociales, et y interdisant toute allusion sur l’immigration (qui coûte très cher aux Gilets jaunes) et sur l’identité.

    Naturellement, l’agitation entretenue contre ce qu’ils appellent l’extrême droite, en fait la mouvance patriote et identitaire, seule opposante sérieuse à Macron et au mondialisme, fait le jeu du pouvoir. C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre la grotesque commission Ressiguier, contre « les violences commises par l’extrême droite », et la volonté affichée de Génération Identitaire, qui n’a jamais exercé la moindre violence contre des policiers, des migrants ou des gauchistes. Ce régime, aidé par les gauchistes, ne cache plus sa volonté de briser par tous les moyens la dissidence patriote, par des dissolutions ou la censure opérée sur les réseaux sociaux. Nous ignorons, à l’heure où nous écrivons ces lignes, si Pierre Cassen et Christine Tasin seront auditionnés par leur grande amie Muriel Ressiguier, qui paraît vouloir imposer le huis-clos pour ces interrogatoires… Mais nous savons que l’un comme l’autre devront encore consacrer du temps à se défendre devant les tribunaux, sans savoir s’ils ne vont pas tomber sur des juges « Mur des Cons ».

    La nuisance gauchiste s’exerce également dans tous les domaines de la société, où leur travail de déconstruction quotidien sape la France depuis cinquante ans : la magistrature, les médias, l’école, l’université, la Culture. Naturellement, elle est l’alliée naturelle des islamistes, contre qui elle n’a jamais un mot. Cela s’appelle l’islamo-gauchisme.

    C’est une véritable cinquième colonne, au cœur de l’appareil d’État, qui constitue un véritable contre-pouvoir à tout gouvernement légitiment élu. Et cela dans tous les pays occidentaux, Donald Trump y étant confronté quotidiennement depuis deux ans.

    S’il arrivait au pouvoir en France, comme cela s’est fait en Italie et dans les pays de l’Est de l’Europe, il devrait se donner des moyens exceptionnels, en s’appuyant sur le peuple, pour briser, par la force s’il le faut, ce cancer qui exerce sa capacité de nuisance contre le peuple français, au service du mondialisme, du Grand Remplacement, du changement de civilisation et de l’islamisation de notre pays.

    Un passage obligatoire.

    Avant la Reconquête du pays, qui passera par l’éradication de la cinquième colonne islamiste, il faudra en finir avec le cancer gauchiste.