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anti-national - Page 415

  • Vous y croyez encore?

    agora.jpgLe Monde  indiquait hier que les promesses de Brexit trahies par Theresa May  devraient déboucher sur une déroute électorale de son parti  aux élections européennes auxquelles seront conviés les électeurs britanniques. A moins que «  le  deal avec les Vingt-Sept soit ratifié avant le 22 mai »,  « mais cette perspective s’éloigne. » Dans ces conditions « tous les sondages annoncent un désastre pour le Parti conservateur, qui ne recueillerait que 16 % des voix (contre 23,1 % lors du scrutin européen de 2014 », «  au profit des deux formations d’extrême droite (…) le Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (UKIP) »,  « aujourd’hui ouvertement xénophobe et anti-islam »   « et le Parti du Brexit que vient de fonder Nigel Farage, ancien dirigeant du UKIP. Les derniers sondages créditent au total leurs deux formations de 25 % à 29 % des voix. » De promesses aussi , Emmanuel Macron  n’a pas été avare. L’annonce officielle des conclusions pratiques,  politiques qu’il entend tirer de la fronde populaire et sociale de ces derniers mois,  que le pouvoir a tenté de canaliser par le pseudo Grand débat , a cependant été reportée. Mais le drame de lundi en a fait surgir une nouvelle , de l’ordre du symbole.

    Nous voulons parler bien sûr  de la promesse du chef de l’Etat de rebâtir de Notre-Dame en 5 ans, sous la supervision du général Jean-Louis Georgelin  nommé «représentant spécial» en charge de  «veiller à l’avancement des procédures et des travaux. » Un  délai  sujet à polémique puisqu’il  peut conditionner la nature même de ladite reconstruction, des choix techniques , esthétiques,  qui seront opérés pour la mener à bien… Selon les experts, il faudrait envisager de 5 à 20 ans de travaux,  le tout pour un coût qui devrait avoisiner le milliard d’euros… Ce qui est certain c’est  que le chantier pour effacer les ravages de l’incendie de Notre-Dame de Paris sera hors-norme, mais qu’il  peut être parfaitement mené à bien. Accordons à Donald Tusk, président du Conseil européen de dire le vrai quand il a dit implicitement que cette tâche était à la hauteur du génie français  rappelant,  « en tant que citoyen de Gdansk, que cette ville a été détruite et brûlée à 90% et a été reconstruite… »

    Mardi, dans son éditorial de L’Opinion,  Nicolas Beitout a dénoncé  les rumeurs d’attentat, « le complotisme le plus crétin » sur les réseaux sociaux autour de ce drame. Il a aussi fustigé  les attaques contre les grands groupes accusés de mener une opération de communication en mettant qui la main à la poche pour à la reconstruction de Notre-Dame. Un effet d’aubaine dénoncé par certains, avec la déduction fiscale, annoncée par Edouard Philippe,  de 66 % au-delà de 1000 euros pour les dons des particuliers en faveur de la reconstruction pour laquelle, prévient un longue analyse de l’Afp , «  les contribuables risquent de payer-deux fois.  » « Pour autant, François-Henri Pinault a annoncé que sa famille ne ferait pas valoir l’avantage fiscal auquel pouvait prétendre son don de 100 millions d’euros. La famille Pinault considère en effet qu’il n’est pas question d’en faire porter la charge aux contribuables français indique dans un communiqué le président de la holding familiale et PDG du groupe de luxe Kering

    Mais « pas de trêve, non plus, pour la haine » se désole M. Beitout, «  celle qui s’est déversée par dizaines et dizaines de milliers de messages sur les réseaux sociaux contre  les-milliardaires-qui-préfèrent-donner-pour-des-vieilles-pierres-plutôt-que-pour-les-pauvres . Pas de pause dans le combat viscéral contre ces très riches Français : ils offrent, ce n’est pas assez ; ils donnent, c’est la preuve qu’on pouvait leur prendre. Dans les caisses vides d’un Etat surendetté, cet argent a beau être une aubaine et la seule condition d’une reconstruction rapide de Notre-Dame, la jalousie ne fait jamais relâche.Partout dans le monde, on applaudit ceux qui donnent pour les arts, qui financent la culture ou sauvent un pan d’histoire. Partout, les mécènes sont remerciés pour leur générosité. Rares sont les sociétés où on les déteste. Ce sont des pays tristes. »

    Pays triste la France et dont le complotisme serait un symptôme de ce mal-être ? Pays inquiet assurément pour son avenir et avec de bonnes raisons de l’être. Inquiétude fondée qui, chez beaucoup de nos compatriotes,  n’a rien à voir avec un quelconque ressentiment contre les riches. Il s’agit plus précisément d’une colère plus ou moins sourde contre une caste jugée responsable de la montée en puissance ces dernières décennies , par impuissance, incapacité, rapacité ou idéologie de toutes les insécurités sociale, économique, culturelle, identitaire.

    Est-ce se complaire dans la pensée complotiste que de le dire ? Le mois dernier dans Valeurs actuellesPierre-André Taguieff notait que  « si un complot se définit comme une action planifiée en secret par un petit groupe d’individus visant à s’emparer du pouvoir, à le conserver ou à l’influencer, on doit reconnaître que l’histoire universelle est remplie de complots réels, qui ont abouti ou échoué. Mais l’histoire universelle est aussi pleine de complots imaginaires, objets de croyances collectives. Et, dans de nombreux cas, l’existence de complots réels s’accompagne d’une profusion de complots chimériques, qui peuvent cacher des complots réels ou en susciter. » Une grille de lecture qui correspond peu ou prou à celle que Bruno Gollnisch s’était évertué à exposer, dans l’hostilité générale il y a quatre ans maintenant, invité d’une émission du service public alors animée  par Franz-Olivier Giesbert…

    La réflexion de Charles Baudelaire est célèbre,  «  La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas.» Pareillement,  le discours de certains  réseaux discrets ou occultes consiste aussi à affirmer que celui qui estime envisageable une action planifiée en secret par un petit groupe d’individus pour s’emparer du pouvoir, le conserver ou l’influencer est un dangereux paranoïaque animé par de mauvais instincts. Vous y croyez encore?

    https://gollnisch.com/2019/04/18/vous-y-croyez-encore/

  • Nabe ne trouve pas les Gilets jaunes assez explosifs

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    « C’est une révolution ? Non, tristes sires, c’est une révolte. »

    Tel est le reproche adressé aux Gilets jaunes par Marc-Édouard Nabe dans le bref libelle qu’il vient de publier – en autoédition, comme il en a désormais l’habitude.

    C’est que Marc-Édouard, se réclamant ici de l’anarchisme de Bakounine et de Netchaïev, aspire à rien moins qu’à la destruction complète de cette société bourgeoise qu’il vomit depuis toujours. Et s’il salue l’œuvre des black blocs, « l’honneur des manifs », il s’exaspère de la mollesse de tous les pacifistes, qui acceptent docilement de ne se réunir qu’aux lieux et heures autorisés, qui renient publiquement les casseurs – tout en reconnaissant, à demi-mot, que ce sont eux « qui ont fait bouger les choses » –, et se contentent d’insulter de loin les CRS, quand ils ne vont pas jusqu’à tenter de dialoguer avec « ces pourritures de mecs de la BAC ».

    Nabe se moque en outre des « revendications petit bras, ou même sans bras du tout, des Gilets jaunes qui sont pour la plupart des beaufs envieux », souhaitant moins abattre le consumérisme que « consommer autant que les autres », moins « crever le patron que le remplacer ». Même le RIC lui semble un dérisoire objectif, qui ne pourrait conduire qu’à une démocratie à la suisse, « c’est-à-dire n’importe quoi ». Il est vain, dit-il, de chercher à « améliorer une société insauvable ».

    Des sans-culotte en couche-culotte

    Loin de ressembler aux sans-culottes de 89 comme on l’entend souvent, les « couche-culottes » d’aujourd’hui « ont peur de la révolution ». Pourquoi ? Selon l’auteur, « parce que la plupart des GJ sont issus d’Internet », parce qu’ils sont « fondamentalement des facebookmakers, des youentubeurs, des twitterisés jusqu’au trognon, des skypeurs d’eau douce », que l’écran « tue toute force réelle », et que ce n’est pas en surfant sur le web qu’on apprend à affronter les tirs de flash-ball. Parce qu’ils restent connectés jusque dans la rue, s’agrippant à leur smartphone au cœur du combat, de sorte qu’ « il y a plus de photographes que de manifestants et de policiers ». Parce que cette dépendance aux réseaux sociaux, enfin, les rend vulnérables au conspirationnisme qui, ne se défiant plus seulement de l’interprétation biaisée de « ces ordures de médias » mais des faits eux-mêmes, déforme la réalité et empêche d’identifier les alliés et les ennemis véritables.

    Les dizaines d’yeux crevés ne réveilleront pas ce peuple de sa virtualité et de ses fausses informations : « Les lives contre la life ! Vous avez choisi… »

    L‘écran tue la force

    Un constat dur, percutant, qui vise juste. Hélas, moi aussi, je suis nuance, comme disait Nietzsche, qu’ose citer Nabe, dont la violence relève moins de la courageuse radicalité que d’un nihilisme fiévreux. Car les casseurs ne lui suffisent pas non plus, à lui qui suggère de pourchasser les flics chez eux afin de leur crever les yeux en représailles, et qui appelle de ses vœux le ralliement de « quelques racailles bien vicelardes, promptes à dégainer le rasoir ».

    Puisque rien ne sépare foncièrement, selon lui, la colère des Gilets de la vindicte djihadiste, dont il s’est fait depuis plusieurs années l’obséquieux apôtre. Finalement, malgré ses critiques intelligentes citées plus haut, Nabe demeure tristement égal à lui-même : un petit excité narcissique et fielleux, dont les jeux de mots lourdingues n’atténuent pas même d’un sourire l’ennui d’une si extravagante et si pitoyable outrance. Il rappelle ces fanatiques dont parlait Bernanos, qui ne rêvaient de rallumer les bûchers que dans « l’espoir d’y venir réchauffer leur tiédeur ». Mieux vaut encore être au ras des pâquerettes mais sur les Champs, que serpent à sornettes crachant son venin replié dans son trou. Nabe, encore un effort pour être révolutionnaire !

    Olivier de Lérins

    Marc-Édouard Nabe, Aux rats des pâquerettes, pamphlet. Édité par l’auteur, 25 mars 2019. 100 p., 22 €.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Dans la République laïque, c’est l’islam qui commande

    Dans la République laïque, c’est l’islam qui commande

    Après l’annonce du ministre de l’Éducation nationale de fermer une école d’inspiration salafiste, l’avocat de l’établissement basé à Échirolles assure que l’école restera ouverte après les vacances.

    En février, le tribunal correctionnel de Grenoble avait ordonné la fermeture définitive de cet établissement, notamment parce qu’il ne respectait pas le programme obligatoire prévu par le ministère. L’association qui gère l’école a fait appel de cette décision de justice, la procédure est toujours en cours, mais l’académie de Grenoble vient d’ordonner aux familles d’environ 45 élèves scolarisés en primaire de les changer d’établissement.

    Ce que le ministre a appelé une fermeture est en fait une mise en demeure adressée aux familles par la rectrice d’académie. Les parents d’élèves sont sommés de ne plus mettre leurs enfants dans cette école après les vacances de Pâques. C’est “une injonction“, précise le rectorat, c’est-à-dire un ordre.

    Mais pour l’avocat de l’école, c’est “un contournement du processus judiciaire“.

    “Ce courrier indique aux familles qu’elles se placeraient en infraction avec la loi française en plaçant leurs enfants au sein de cette école. Or, jusqu’ici, il n’a pas été définitivement jugé que cette école n’était pas conforme à la loi française. On voit mal comment les familles pourraient se voir reprocher quoi que ce soit”.

    Maître Michaël Bendavid assure que l’école musulmane d’Échirolles restera ouverte après les vacances de Pâques, “jusqu’à ce que le pouvoir judiciaire, conformément à la loi française, lui ordonne d’en faire autrement“. L’appel déposé par l’école devant la justice doit être examiné le 1er juillet.

  • 1 an de prison ferme et mandat d’arrêt contre Alain Soral

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    Source Breizh info cliquez ici

    1 an de prison ferme et mandat d’arrêt contre Alain Soral. Telle est la peine infligée à l’essayiste, polémiste et animateur du site Egalité et Réconciliation, ce lundi 15 avril 2019.

    Voici ce que l’on peu lire sur le site d’Egalité et Réconciliation à ce sujet :

    Affaire Shoah où t’es ? : après avoir été condamné à 10 000 euros d’amende pour « contestation de crime contre l’Humanité », Alain Soral est cette fois condamné à un an de prison ferme avec mandat d’arrêt pour « contestation de l’existence de la Shoah » ! Rappel : il est bien question d’un simple dessin de caricature relayé sur E&R !

    Le 27 mars 2019, Alain Soral était définitivement condamné à 10 000 euros d’amende avec possibilité d’emprisonnement en cas de non-paiement pour avoir diffusé en avril 2016 un dessin de caricature sur le site internet d’Égalité & Réconciliation ! Malgré le fait qu’Alain Soral ne soit ni l’auteur du dessin ni le directeur de la publication du site internet d’E&R, c’est bien lui qui est condamné pour « injure en raison de sa race, de sa religion ou de son origine » et « contestation de crime contre l’Humanité ».

    Dans cette même affaire Shoah où t’es ?, le parquet de Paris a jugé Alain Soral et son avocat Damien Viguier pour « contestation de l’existence de la Shoah ». Le motif ? Avoir publié en novembre 2017 sur le site d’E&R les conclusions de Maître Damien Viguier au sortir de la première instance. Le parquet a alors requis six mois de prison ferme contre Alain Soral et 15 000 euros d’amende contre Damien Viguier. Mais le jugement du 15 avril 2019 est plus sévère pour le président d’E&R : un an de prison ferme assorti d’un mandat d’arrêt. Damien Viguier est quant à lui condamné à 5 000 euros d’amende pour « complicité ».

    Rappel : la partie civile principale dans cette affaire est la LICRA. L’Union des étudiants juifs de France (UEJF), Avocats sans frontières (ASF), le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), J’accuse ! et l’Action internationale pour la justice (AIPJ), le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) et SOS Racisme étaient également partie civile.

    Le compte rendu de Damien Viguier :

    Le 4 mars 2019 se déroulait devant la treizième chambre du tribunal de Paris l’audience du procès fait au titre de la loi Gayssot à Damien Viguier et Alain Soral. Le tribunal présidé par Mme Cécile Legidan assistée de Mesdames Jocelyne Palenne et Christine Huertas, Florence Gilbert étant au Parquet, a rendu son jugement ce lundi 15 avril 2019.

    Alain Soral était poursuivi à l’initiative du Parquet sur signalement de la LICRA en tant que directeur de la publication du site Égalité & Réconciliation pour la publication d’un article qui faisait le compte-rendu de l’affaire du dessin pastiche de la couverture de Charlie Hebdo « Papa où t’es ? » et reproduisait les conclusions prises par son avocat devant la Cour d’appel de Paris, conclusions qui contenaient les propos poursuivis. Alain Soral pouvait bénéficier de l’immunité journalistique et Maître Viguier de l’immunité du plaideur. Aucun des prévenus n’avait pu prendre connaissance du dossier, le 4 mars ayant été annoncé comme une formalité de fixation du calendrier de procédure. Au fond l’accusation restait très imprécise.

    Le Parquet avait requis six mois d’emprisonnement ferme pour Alain Soral et 15 000 euros d’amende pour son avocat. La LICRA, J’accuse, l’UEJF et le MRAP s’étaient portées partie civile.

    Les prévenus ont été reconnu coupable de « contestation de l’existence de crime contre l’humanité » et condamnés, pour Alain Soral à un an d’emprisonnement ferme avec mandat d’arrêt, et pour Damien Viguier à 5 000 euros d’amende.

    Les parties civiles obtiennent 6 000 euros et la publication du jugement dans la presse.

    Alain Soral et Damien Viguier ont fait appel.

    NDLR SN : on peut être ou ne pas être d'accord avec Alain Soral. Ses prises de positions sont, parfois, bien éloignées des nôtres. Quoi qu'il en soit, l'essayiste ne manque pas de talent et, même si nous ne l'avons pas attendu pour prendre conscience de certaines réalités, nous ne pouvons que nous réjouir de l'inclure dans le camp anti-mondialiste. La répression dont il est victime relève, à nos yeux, du processus de suppression de la liberté de penser en dehors des clous imposés par le Système et cela est insupportable.

    S.N

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/16/1-an-de-prison-ferme-et-mandat-d-arret-contre-alain-soral-6144293.html

  • Pour Rokhaya Diallo, c’est la France qui s’oppose à l’émancipation des femmes musulmanes !

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    Vous connaissez peut-être Rokhaya Diallo, qui se définit comme « une féministe intersectionnelle et décoloniale ». Si ce n’est pas le cas, vous n’y perdez pas grand-chose. Sachez, tout de même, qu’elle a publié, cette semaine, une tribune pour accuser la France d’« islamophobie », notamment à l’égard des musulmanes portant le voile. Et pas sur n’importe quel média : sur le site de TRT Word, une chaîne de télévision internationale contrôlée par le président turc Erdoğan qui, comme chacun le sait, est un grand démocrate. C’est l’hebdomadaire Marianne qui le rapporte.

    Le titre de la tribune est significatif : « L’obsession de la France à propos des femmes musulmanes relève du contrôle, pas de la libération. » Elle estime que la société française, loin de les défendre, serait obnubilée par l’idée de les « exclure » de la sphère publique. Ainsi, elle accuse la loi de 2004 sur les signes religieux dans les écoles publiques d’atteinte à la liberté : « Au nom de l’émancipation des femmes, des femmes ont été bannies de l’espace public à cause de leur voile. » Elle compare les critiques du voilement au « fantasme d’une France blanche, dans laquelle tous les citoyens avec un autre bagage culturel doivent s’assimiler ».

    À voir certains quartiers, on n’a pas le sentiment que tous les musulmans, français ou non, veuillent s’assimiler, mais notre polémiste sait utiliser toutes les ressources de la dialectique pour tenter de démontrer le contraire : ce sont les « Blancs » les coupables, ces affreux colonialistes qu’elle ne rate pas une occasion de dénoncer. Il faut dire qu’elle a un penchant pour les Indigènes de la République et avait, en 2017, soutenu l’organisation de camps d’été, dont certains ateliers étaient réservés « à toute personne qui n’est pas blanche ».

    Rokhaya Diallo cherche à retourner les situations à son avantage. Si des femmes musulmanes n’arrivent pas à s’émanciper, ce n’est pas la faute de leur culture, c’est la faute de la culture qu’on veut leur imposer. À propos du hijab de Décathlon®, elle estime que dans un mouvement choquant d’unanimité, les politiciens de tout le spectre politique ont fermement condamné le marketing du vêtement mis en œuvre par la marque française, disant qu’il offensait les soi-disant “valeurs françaises” ». Jugement bien approximatif, car l’affaire a provoqué des controverses jusque dans le parti majoritaire.

    Quand on considère que le sectarisme est l’expression de la liberté et le communautarisme une chimère du nationalisme, tout devient possible, même le plus aberrant. « À chaque fois qu’une femme musulmane réclame des droits et prouve qu’elle n’est pas soumise, on lui rappelle qu’elle doit rester invisible », prétend cette féministe. C’est au nom de leur liberté, bien sûr, que des femmes se promènent avec un voile intégral, pourtant interdit par la loi du 11 octobre 2010, qui dispose que « nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage ». La pression intellectuelle est telle que cette interdiction a été prononcée non pas au nom de la laïcité mais pour des raisons d’ordre et de sécurité publics.

    Rokhaya Diallo accuse les politiciens de « [faire] de leur mieux pour empêcher [les femmes musulmanes] de faire quoi que ce soit en dehors de leurs maisons ». Jusqu’à reprocher à Macron d’avoir déclaré que le hijab n’était « pas conforme à la civilité dans notre pays ». Ironie de l’Histoire, elle juge que notre Président ne serait pas assez multiculturaliste. Dieu sait, pourtant, s’il fait des efforts ! Mais ce n’est pas encore, à ses yeux, suffisant. Comme si elle ne voyait de liberté que dans la soumission.

    Philippe Kerlouan

    Tribune reprise deBoulevard Voltaire

  • À Saint-Denis : SUD organise un stage anti-Blanc… Un « jeune » tire sur un professeur

    Un ami, face aux agressions et aux violences qui sont le lot quotidien de la vie des habitants dans le 93, me déclarait avec ironie : « Heureusement que la Seine-Saint-Denis n’est pas en France ! »

    Cet humour destructeur cachait une rage difficilement contenue face à une délinquance journalière qui s’étend chaque jour un peu plus.

    C’est ainsi que le 11 avril s’est déroulée une scène particulièrement choquante dans un établissement scolaire de Saint-Denis en Seine-Saint-Denis.

    Un professeur du collège Elsa-Triolet a été braqué par un adolescent avec un pistolet à billes, lequel a tiré sur la jeune femme de 26 ans. L’auteur de l’agression, un ancien élève exclu il y a deux ans, a été arrêté peu après les faits.

    Selon France Inter, l’enseignante donnait un cours dans une salle située au rez-de-chaussée de l’établissement lorsque trois individus d’une quinzaine d’années, se trouvant dans la rue, ont commencé à interpeller les élèves de sa classe. Le professeur est alors sorti pour leur demander d’arrêter. Après l’avoir insulté, les délinquants ont lancé un pavé dans la vitre de la salle de classe, avant que l’un d’eux, escaladant la clôture, pénètre à l’intérieur. Il a alors crié : « C’est un attentat !», pointant un pistolet à billes vers la jeune femme. Puis il a tiré trois fois dans sa direction. La victime est parvenue à se protéger avec sa main. Elle n’a pas été blessée. Les deux autres jeunes n’ont pas été identifiés. L’enseignante traumatisée a indiqué à France Info : « J’étais dans la sidération parce que je ne connaissais pas l’individu. » En conclusion elle a expliqué : « Ce n’est pas un événement ponctuel. L’incident est d’une extrême gravité mais les violences, c’est tout le temps. »

    Le plus surprenant à la suite de cet attentat est le communiqué de SUD Education 93. Celui-ci titre en effet : « Encore un braquage d’une enseignante dans un collège ! A Saint-Denis comme ailleurs ça suffit ! #Pas de vagues. » Il indique ensuite que les personnels du collège Elsa-Triolet de Saint-Denis s’étaient mis en grève le lendemain après cette violente intrusion.

    Or ce même syndicat propose les 15 et 16 avril prochains un stage de formation pour les enseignants, sobrement intitulé « Comment entrer en pédagogie antiraciste ? ». Il est signifié dans l’introduction du programme : « Le traitement différentiel des populations non-blanches par l’institution scolaire apparaît comme de plus en plus décomplexé : il semble ainsi d’autant plus urgent d’y résister. » Ce même syndicat avait déjà prévu à la mi-décembre 2017 un stage intitulé « Au croisement des oppressions : où en est-on de l’antiracisme à l’école ? », proposant aux enseignants intéressés d’assister à deux ateliers en « non-mixité raciale », c’est-à-dire réservés aux personnes « racisées » ou, pour faire simple et sans langue de bois, aux non-Blancs.

    Ce colloque avait créé la polémique et le ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, avait jugé « inconstitutionnelle et inacceptable » l’organisation de réunions réservées aux « racisés » lors d’un stage syndical.

    Comment s’étonner quand on observe ce type de soutien que des « jeunes » en arrivent à tirer (même avec un pistolet à billes) sur leur professeur ?

    « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes », disait Bossuet. Aujourd’hui ce syndicat d’extrême gauche devrait battre sa coulpe face à sa responsabilité dans cette attaque.

    Guillaume Bernadac

    Article paru dans Présent daté du 15 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Le Sénat : un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes

    Le Sénat : un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes

    Les éditions du Rocher et Yvan Stefanovitch avaient publié Le Sénat : un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes, et avaient été attaqués en justice.

    Le sénateur Hubert Falco avait essuyé un premier revers en perdant son procès contre le livre en 2016. C’est au tour de l’institution sénatoriale, entraînée par son président, d’être désavouée récemment par la Justice.  Cette décision adresse un message fort aux journalistes d’investigation : leur travail contribue à faire la lumière sur ce qui est caché aux citoyens.

    Oui il est possible d’écrire que le Sénat est opaque, confère des avantages injustifiés à ses membres, est coupable d’un absentéisme inconsidéré, de pratiques de vote en marge de la Constitution et comporte dans ses rangs des élus non qualifiés voire tricheurs alors que d’autres sénateurs sont exemplaires : présents et travailleurs, et méritent qu’on le dise.

    Débouté par la Justice, le Sénat qui a perdu le procès qu’il a lancé va désormais chercher à sauver la face au travers d’un exercice de communication dont il a le secret.

    Yvan Stefanovitch révèle dans cet ouvrage les privilèges fiscaux que se sont octroyés légalement ces princes de la République et le vaste système de triche qui permet à une partie d’entre eux, les « intouchables », de ne rien faire ou presque… Chaque sénateur paie l’impôt sur le revenu, non pas sur son indemnité totale mensuelle (11 350 euros nets), mais uniquement sur ses indemnités de base et de résidence (soit 4 140 euros nets). Il reçoit donc chaque mois, sur son compte bancaire, 7 210 euros au black, le plus légalement du monde !

    L’ouvrage publie l’identité restée secrète des 14 sénateurs sanctionnés au dernier trimestre 2015, pour absentéisme, par une simple amende de 2 130 euros prélevée, une fois pour toutes, sur leur indemnité parlementaire.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-senat-un-paradis-fiscal-pour-des-parlementaires-fantomes/

  • Défense des Identitaires, par Roland Dubois

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    On n’a pas encore entendu parler de dissoudre une seule des diverses officines gauchistes et anarchistes qui organisent et exécutent la casse et l’agression des forces de l’ordre dans toutes les manifestations d’une certaine importance.

    Mais le gouvernement estime urgent de mettre fin à l’existence de «Génération Identitaire».

    Il faut dire que les militants identitaires exagèrent. Ils s’affichent hostiles à l’islam et à l’immigration massive que nous subissons. Impardonnable en effet!

    Parmi leurs exploits récents? L’occupation symbolique d’un chantier de construction d’une mosquée à Poitiers; la mise en place, symbolique aussi, d’un barrage anti-migrants à la frontière italienne; et, il y a quelques jours, la mise en place sur le bâtiment de la CAF de Bobigny en Seine-Saint-Denis d’une banderole réclamant que l’argent des Français aille aux Français et pas aux étrangers.

    Le lecteur appréciera la dangerosité de ces énergumènes.

    Tous les adjectifs en «phobe» existants leur sont applicables.

    La presse nous informe que «les dix-neuf personnes interpellées vendredi après l’action anti-immigration du mouvement d’ultra-droite Génération Identitaire sur le toit de la caisse d’allocations familiales (CAF) de Bobigny seront jugées le 14 novembre pour entrave à la liberté du travail».

    Oui! Vous avez bien lu: «entrave à la liberté du travail».

    Cet État, qui tolère presque toujours depuis longtemps, les piquets de grève syndicaux, les blocages de dépôts pétroliers, les blocages de circulation par tout ce qui roule, les multiples grèves des transports publics, les casses de commerces, les quartiers interdits, sans se préoccuper du sort de ceux qui voudraient seulement travailler, cet État donc s’émeut soudain du scandale causé par ces dangereux fascistes.

    Il faut ajouter que le directeur de la CAF lui-même a dit que cet affichage a inquiété certains riverains qui ont cru à la réalité de la mesure et à la fin de l’état de grâce pour eux. On mesure l’émotion causée. On peut les rassurer. Il ferait beau voir que les Français aient priorité en France. Les élections européennes approchent. Électeurs, souvenez-vous!

    Roland Dubois

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/

  • Face à l’État, l’énergie du désespoir

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    Franck Timmermans,
    membre du BP du Parti de la France
    Le 1er août 2018, le parlement entérinait le vote de la Loi instituant un « Droit à l’erreur », texte bénéficiant d’un a priori favorable des media et donc devenu emblématique de la politique de confiance voulue par le président de la République. Tout d’abord, force est de constater que beaucoup de citoyens n’ont pas compris, et n’ont toujours pas compris la réalité macronienne. Certains ont pensé que le Gouvernement invoquait son « droit à l’erreur » mais dans une auto-critique aussi louable qu’inédite sous la Ve République ! Ensuite, d’autres ont compris de quoi il s’agissait mais ont cru que les fautifs repentants seraient une fois et une seule exonérés ou blanchis, selon la nature de l’erreur. Colossale méprise !
    Examinons l’entourloupe : Le Droit à l’erreur (selon Macron), nous dit le ministère des Finances, garantit aux particuliers de pouvoir régulariser, sous conditions, une erreur commise pour la première fois et de bonne foi, sans s’exposer à une sanction administrative ; ainsi, le particulier repentant et sincère, à condition de restituer les sommes ou avantages indûment reçus, sera dispensé d’avoir à payer des pénalités ou de subir les affres du Contentieux… Tout cela est bel et bien et peut satisfaire des néophytes empêtrés dans les pièges de l’Administration française comme peut apporter une occasion de résipiscence à des tricheurs. Mais, là encore, nous sommes dans la voie à sens unique que l’État s’est ménagée.
    La considération qu’il a des Français augmente en paramètres : des Gaulois irascibles, des perdants, des gens tentés par l’isolationnisme et la fermeture, des rétifs au progrès, des traînards, des retraités trop nombreux, et maintenant des tricheurs ou des imbéciles. Ce qui choque le plus dans tout cela, c’est d’être à nouveau aspergés par l’arrogance de l’infaillibilité supposée de l’État et de son représentant quinquennal.
    Et si l’État reconnaissait un jour enfin ses propres erreurs ? Est-ce trop demander à une démocratie ? Sans doute !
    • Premier exemple : Yvan est un jeune de 23 ans de PACA. En décembre 2017, il décide de s’engager dans l’armée. Il y restera jusqu’en septembre 2018 date à laquelle il décide de démissionner pour rejoindre sa fiancée ; il reçoit alors le même mois son solde de tout compte. Tout va bien jusqu’en janvier 2019 quand il reçoit un courrier de l’administration militaire lui annonçant, qu’à la suite d’une erreur de leurs services, il a perçu indûment 2 211 euros de solde. Nul n’est censé ignorer la Loi mais sommes-nous censés connaître à 23 ans toutes les arcanes administratives, salariales etc. ? En avril 2019, le Trésor public vient de lui envoyer la sommation à payer. Aux yeux de la Loi du « droit à l’erreur », le fautif est donc Yvan, l’État n’est jamais fautif, l’État ne se trompe jamais ! Yvan est en CDD, serveur dans un bar et gagne 600 euros actuellement… Comment va-t-il payer pour les erreurs de l’État ? Question subsidiaire : le service concerné et responsable du trop versé sera-t-il sanctionné ? Les fonctionnaires sont protégés et ne risquent rien de fâcheux. Une telle erreur dans le privé donnerait lieu à un litige devant les tribunaux de commerce ou aux prud'hommes, et le comptable responsable serait probablement remercié. De la même façon, quand l’État « se trompe » de date pour payer ses fournisseurs, ceux-ci savent qu’ils n’ont aucun recours réel et qu’une solution : attendre et survivre pour les plus vulnérables d’entre eux.
    • Second exemple : Brigitte est une Auvergnate de 57 ans et a été victime d’un cancer dont elle s’est heureusement mais péniblement remise. À la fin de sa maladie et de ses chimiothérapies, la Sécu a exercé copieusement son droit à l’« erreur » dans le calcul de ses indemnités journalières, d’un total cumulé de 2 400 euros ! La malheureuse avait pour seules ressources son allocation d’adulte handicapé (AAH) de 500 euros et un salaire à temps partiel de 600 euros, donc un total mensuel de 1 100 euros. Aux yeux de tout macronidé, il eût donc suffi d’un peu plus de 2 mois pour tout rembourser à l’État, étant entendu qu’un jeûne prolongé ne peut certainement pas faire de mal à une cancéreuse ! J’exagère à peine… Scandalisé, son médecin est intervenu (car il faut savoir que les médiateurs sont débordés et que leurs délais d’action sont trop longs pour influer sur l’Administration !) et elle a pu obtenir une réduction (de peine) de 50 %, le reste de 1 200 euros étant à payer à raison de 50 euros mensuels, donc pendant deux ans. Mais elle dut en réalité payer pendant 2 ans et demi car elle et son toubib avaient oublié que l’Administration y ajoutait des intérêts, comme pour un prêt ! Pas folle la guêpe de Bercy !
    Plusieurs leçons sont à retenir, aussi révoltantes qu’édifiantes.
    Dans les deux cas, tout d’abord, il apparaît probable que les deux exemples n’avaient pas les bons prénoms et qu’avec d’autres atouts « ethniques » ils auraient pu bénéficier du soutien actif d’associations et d’ONG pour interpeller l’Administration et la faire capituler.
    Ensuite, le fait de n’avoir jamais été condamné et d’avoir toujours payé ses impôts ne prémunit même pas tout citoyen Français dans la détresse ou la gêne contre le rouleau compresseur fiscaliste qui se met en place. Les meules du seigneur Macron broient finement !
    Aucun avantage pour les Français de base, privilèges et égards pour les castes, le Cac40 et les étrangers, telle serait la triste conclusion des injustices observées ces dernières années.
    De fait, toute administration publique responsable devrait surseoir immédiatement à toutes ses prétentions lorsqu’à l’évidence le citoyen est de bonne foi. Le Droit à l’erreur est peut-être une bonne chose pour quelques cas isolés mais, eu égard aux avantages considérables des fonctionnaires publics et des devoirs des politiques, l’État se doit de réparer ses erreurs, de ne jamais accabler les faibles et les démunis ! De même une autocritique est de rigueur sinon la ploutocratie s’installe ! La précarité des Français se généralise, l’écart se creuse entre les nantis et les autres puisque les classes moyennes sont en voie de paupérisation accélérée sous les frappes conjuguées de l’État fiscal, du mondialisme, de l’Europe de Bruxelles et aussi d’impôts locaux que les collectivités initieront bientôt pour pallier les désengagements et reniements gouvernementaux
    Présentement, les grands sacrifiés des politiques sociales qui se sont succédées sous Sarkozy, Hollande et Macron sont principalement les retraités et les handicapés, exactement comme en Allemagne depuis que Frau Merkel est chancelière. Comment dès lors s’étonner du phénomène des Gilets jaunes ! En d’autres temps, quelques décennies à peine, la révolte eût immanquablement profité au PC champion de la funeste lutte des classes ! Tout se passe comme si Macron élargissait le boulevard réservé à Mélenchon. La France a beaucoup de chance d’avoir des gilets jaunes plus circonspects. Même si notre camp est incapable d’avoir une réelle crédibilité gouvernementale à cause de l’inertie lepénienne, nous pouvons nous réjouir pour notre Pays que l’extrême gauche reste encore contenue.
    Mais sachons bien que la Droite nationale de demain devra toujours préserver une dimension sociale et populaire, sinon nous n’aurons rien compris à la France profonde.
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    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-grand-debat-et-petites-reponses-journal-du-lundi-15-avril-2019