« La réforme des retraites ne signe pas la retraite des réformes ». C’est en usant de ce jeu mot à l’humour contestable, que le porte-parole du gouvernement a annoncé dans un entretien au Journal du Dimanche, l’intention d’Emmanuel Macron de poursuivre les réformes « impopulaires, mais nécessaires à l’avenir du pays ». Alors que des centaines de rassemblements ont eu lieu samedi dans toute la France, et que l’intersyndicale prépare sa 10e journée de mobilisation, Olivier Véran assure que la volonté de réforme du gouvernement n’est pas enrayée par la contestation massive contre la réforme des retraites et l’utilisation du 49-3.
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D’autres réformes impopulaires arrivent prévient Olivier Véran, des réformes « impopulaires, mais nécessaires à l’avenir du pays »
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[L’invité] Eugénie Bastié : « Nous sommes la première civilisation qui se donne pour mission de la déconstruire »
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Des centaines d’images pédos au domicile du directeur du parti « Les Centristes ». La drogue transitait par la boutique de son fils adoptif, Mamadou. Il dirigeait aussi une ONG de sensibilisation à l’immigration. (MàJ)
24/03/23
D’après les investigations, l’élu aurait passé de nombreuses commandes sur le Darknet, la partie cachée et clandestine d’Internet, de drogues de synthèse, dont la 3MMC, une substance de plus en plus prisée qui augmente l’euphorie et diminue la fatigue. Le produit était acheminé depuis les Pays-Bas, conditionné dans des emballages de téléphonie et livré par colis postal au magasin de réparation électrique de son fils adoptif, situé dans le XVIe arrondissement.
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Réforme des retraites ? Non, retraite de la démocratie, par Michel Geoffroy
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Macron, le président casseur - JT du vendredi 24 mars 2023
A la une de cette édition, la flambée de violence et le risque d’embrasement dans le sillon de la réforme des retraites et du mépris présidentiel. Nous reviendrons sur une manifestation à Tours.
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Les Français, ces sans-papiers de l’intérieur
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Metz : récemment sorti de prison, il poignarde un homme à plusieurs reprises dans un foyer de migrants, après un différend au sujet d’une cigarette
Les policiers ont interpellé un homme soupçonné d’en avoir poignardé un second, à plusieurs reprises, à Metz, samedi dernier. Le suspect, sorti de prison fin février, est retourné derrière les barreaux après avoir été mis en examen. Un différend au sujet d’une cigarette serait au départ des faits.
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La Macronie, cet « autre monde »…
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Les jeux sont-ils faits concernant la réforme des retraites imposée de force ?
L’utilisation du 49.3 permet certes le passage en force de la loi, mais ensuite ? La Macronie a-t-elle conscience de la colère, des frustrations et de plus en plus du dégoût, sinon de la haine que ressentent des millions de Français à l’encontre d’Emmanuel Macron, de ses Ministres et de leurs soutiens ? Je crains que non. Son logiciel interne – soit leur naissance, leur éducation, leur formation, leurs motivations, leurs valeurs – n’est pas conçu pour prendre en compte une telle donnée.
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Le capitalisme chez les fous : quand le wokisme provoque la faillite
Si Bruno Le Maire annonce beau temps, couvrez-vous, prévoyez un col roulé et n’oubliez pas votre parapluie. C’est qu’une tempête boursière se prépare. « Notre système bancaire est solide », a-t-il proclamé avec l’aplomb d’un Paco Rabanne de la finance positive. Nul besoin de lire dans les entrailles de notre ministre de l’Économie pour savoir que, solide, le système bancaire ne l’est guère. Il n’a pas fallu 48 heures à la Silicon Valley Bank (SVB), 16e institution bancaire américaine, pour voir ses 209 milliards de dollars d’actifs fondre comme neige au soleil. C’est le problème, avec le silicone : c’est mou et aussi inconsistant qu’un discours de Bruno Le Maire. La SVB était pourtant censée être financièrement saine. Rien ne laissait présager un risque de défaillance, sinon son ardeur à s’illustrer dans une bulle spéculative d’un nouveau genre : la bulle du wokisme managérial, à laquelle avait succombé la SVB, avant d’en succomber.
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Université Toulouse Jean-Jaurès : un bâtiment neuf saccagé et pillé, mais personne n’en parle
Faisons un cauchemar dystopique comme la littérature et les universitaires de gauche les aiment : des étudiants « fascistes » occupent un bâtiment entier d'une grande université française, agressent des agents, dégradent, saccagent, pillent ledit bâtiment.
Les choses n'auraient pas duré vingt-quatre heures, l'info ferait la une des médias, tout le ban et l'arrière-ban de la classe politique et des intellectuels se seraient mobilisés, exigeant des sanctions lourdes. On aurait voté des lois, dissout des groupes, manifesté, et j'en passe.