Politiquement dévastatrices.
Démocratiquement effroyablement inquiétantes.
Seul.
Il défile avec toute la pompe républicaine pour retransmettre uniquement à la télévision sa chevauchée dans une berline blindée et verrouillée de toute part.
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Politiquement dévastatrices.
Démocratiquement effroyablement inquiétantes.
Seul.
Il défile avec toute la pompe républicaine pour retransmettre uniquement à la télévision sa chevauchée dans une berline blindée et verrouillée de toute part.
La guerre civile : la perspective s’installe dans les esprits, face à la nation disloquée et à la généralisation de la violence. A Mayotte, 101 ème département français, c’est la députée Estelle Youssouffa qui prévient : « On va basculer dans la guerre civile si le travail n’est pas fait ». Mardi, dans La parole aux Français (CNews), Jean-Christophe Couvy, secrétaire national unité SGP-Police, a mis en garde contre les casseurs « rompus à la guerre civile », qui se sont acharnés contre les forces de l’ordre (406 blessés) en marge des défilés du 1 er mai. Dans un prochain Appel à « sauver la France », d’anciens militaires conduits par Jean-Pierre Fabre-Bernadac vont réitérer leurs craintes exprimées il y a deux ans dans la « Lettre des généraux ».
C’est un de ces nouveaux petits métiers qui se portent très bien, à gauche. Le cran au-dessus de journaliste-ricaneur-redresseur-de-torts : délateur. Un rôle assumé en toute bonne conscience.
C’est ainsi que Yann Barthès, producteur et grand mamamouchi de l’émission « Quotidien », s’est vanté, mardi soir, d’avoir appelé ses confrères de TF1 et France 5 pour leur signaler que le Rassemblement national avait utilisé des extraits de leurs reportages en illustration du banquet/meeting du 1er mai au Havre. Un « emprunt » d’images pour lequel le RN n’a pas payé les droits de reproduction.
Les Britanniques « doivent accepter » d’être plus pauvres et donc renoncer aux revendications d’un ajustement salarial face au coût élevé de la vie. La déclaration a suscité une vive colère des deux côtés de l’échiquier politique britannique.
Pour freiner l’inflation, les ménages et les entreprises britanniques doivent cesser de rechercher des augmentations de salaire et de faire monter les prix
Les ménages et les entreprises britanniques « doivent accepter » d’être plus pauvres et cesser de rechercher des augmentations de salaire et de faire monter les prix, a déclaré l’économiste en chef de la Banque d’Angleterre, Huw Pill, suscitant une vive controverse.
Il faut entendre, ici, les animaux destinés à la reproduction, l’engraissement et l’abattage. Des efforts doivent être faits notamment lorsqu’il s’agit du transport de ces bêtes. Il est évidemment mis en avant le fait que les acteurs économiques en la matière tentent de réduire les coûts et de maximiser les recettes au détriment du bien-être des animaux.
Les « progressistes » sont leurs meilleurs détracteurs. Dix ans après l’adoption du mariage homosexuel, ils s’enivrent des mea-culpa d’opposants d’hier qui avouent s’être trompés de combat. Cette repentance d’esprits faibles, qui acquiescent en conséquence à la PMA sans père en attendant la perspective d’une GPA pour les hommes, est vue comme une victoire contre les « néo-réacs » et autres « populistes ». En réalité, l’inverse s’observe. Il y a plus de dix ans, votre serviteur avait écrit : « De l’urgence d’être réactionnaire » (PUF), en reprenant du réactionnaire la définition qu’en donnait naguère Larousse : « Celui qui prête son concours à une réaction politique ». C’est ce mouvement réactif qui partout s’accélère, à mesure que l’opinion mesure les désastres causés par des décennies de pensées fausses et de reculades face aux tyrannies des minorités sexuelles ou racialistes.
Selon une enquête "L'Opinion en direct" menée par l'institut Elabe pour BFMTV et publiée lundi 24 avril, 69% des Français estiment que la réélection d'Emmanuel Macron a été une mauvaise chose pour la France. Cette opinion a augmenté de +14 points depuis la dernière enquête menée quelques semaines après sa réélection le 24 avril 2022. Seuls 30% des Français considèrent que ce deuxième mandat est une "bonne chose".
L'intervention télévisée du chef de l'État, ce 17 avril, ne dépare pas la série. Collection désormais interminable, la liste s'allonge de ces prestations essentiellement creuses. Or, Emmanuel Macron prétend encore faire perdre leur temps aux drogués du petit écran. Continuellement depuis 2017, l'audimat baisse. Tendance fâcheuse pour les régies publicitaires elle reflète la lassitude des citoyens. Par centaines de milliers, ils s'étaient engouffrés dans le prétendu "grand débat", ouvert en janvier 2019, supposé répondre à la crise des gilets jaunes de l'année 2018. On n'y reprendra plus les Français.