La commission européenne a beau jeu de dire qu’elle ne fait que pointer du doigt les adversaires illibéraux d’une vision démocratique dont l’UE serait le parangon, voire l’incarnation. Elle est en train de se brouiller aussi avec les États-Unis de Joe Biden.
Bruxelles dénonce aussi bien la Pologne et la Hongrie que le Brésil de Jair Bolsonaro. Et il y a peu les États-Unis de Donald Trump. Pourtant les difficultés qui se font jour avec le Venezuela ou de Joe Biden prouvent que le problème pourrait se situer ailleurs...